Il y a moins de deux ans, Raymond Aron avait tracé l'esquisse d'une théorie de l'histoire des relations internationales. En voici la pratique, dans un traité qui, rompant avec le cadre chronologique, cherche — entreprise inédite — à déterminer les mobiles de la politique étrangère et à déceler les mécanismes des relations internationales.
Ouvrages complémentaires, s'il en fut, puisque l'un utilise les faits historiques — comme de façon interchangeable — pour donner un support à une construction théorique, alors que celui-ci bâtit à partir des faits, et comme empiriquement, une méthode, et rien de plus, afin que l'historien conserve une constante disponibilité d'esprit.