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La Conjoncture économique de la Belgique

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Ives divers mouvements de la conjoncture économique dont la formation ou l’apparition éventuelle avait été notée dans la chronique précédente se sont précisés ou présentés. La stabilisation du volume des moyens de paiement a été pratiquement atteinte au troisième trimestre de 1946. Le resserrement observé sur le marché de l’argent s’est poursuivi et étendu, en fin d’année, au marché des capitaux. La hausse des prix internationaux a continué, entraînant des augmentations d’ampleur différentes dans les marchés intérieurs. Une stagnation du volume global de l’emploi, suivie d’une lé ère récession a coïncidé, avant l’hiver, avec une augmentation de la production.

La présente chronique, établie sur une description plus précise et plus approfondie du mouvement des marchés met en relief les tendances diverses qui caractérisent la période actuelle de haute prospérité et de transition.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1946

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References

(1) Voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, tome XII, fascicule 2 (février 1946), p. 129.

(1) Voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, tome XII, fascicule 4/6, (septembre 1946), p. 429.

(2) Voir SIMON G., A propos des coefficients de trésorerie, de couverture et de solvabilité. Revue de la Banque, 1946, fascicule 7/8, p. 266.

(1) Le montant des billets et monnaies circulant pour le compte du Trésor, n’a pas été inclus sous le poste « billets », mais il est compris dans le total.

(2) Sont désignés sous le nom de comptes courants nets en banques, les comptes courants libres globaux en banques diminués de leurs encaisses et comptes à la Banque nationale et à l’Office des chèques postaux.

(3) La dette publique effective est la dette juridique diminuée du montant des emprunts extérieurs résultant de la première guerre, et augmentée du montant du clearing constitué sous la seconde occupation.

(1) L’expression «Banque centrale», entendue au sens large, désigne la Banque nationale et l’Office des Chèques postaux.

(1) Voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, tome XII, fascicule 4/6 (septembre 1946) p. 436, note 1.

(1) Pour les émissions nettes, voir in fine notes des col. 45 à 48.

(1) Voir graphique XXXI, figure 1.

(2) Voir graphique XVII, rationnement de la viande.

(1) Quantités respectives de charbon ou d’énergie dérivée entrant dans la confection d’une unité de produit.

(1) L’évolution de l’indice des prix des produits divers subit l’influence du mouvement des prix du tabac qui est altéré par la charge fiscale.

(1) Voir graphique XXXI, figures 1 et 2 et graphique XXII.

(2) Voir graphique XXXII, figure 2.

(3) La base du calcul de la consommation des denrées libérées se justifie par la constance des habitudes de vie.

(4) Le minimum alimentaire a été garanti à tous les ouvriers exclus du régime plus favorable, par l’octroi de rations supplémentaires compensant les réductions successives de la valeur calorique des produits rationnés. Voir les arrêtés des 11 mars, mai et juillet 1946.

(1) Par calories nettes, il faut entendre les calories contenues dans la partie des aliments réellement consommée, c’est-à-dire dans le poids total des rations diminué des déchets de préparation et d’assiette. La valeur calorique nette des divers aliments a été puisée dans E.-J. Bigwood et G. Roost, L’alimentation rationnelle et les besoins énergétiques d’une population ouvrière. Institut de Sociologie Solvay, Bruxelles, 1934, pp. 22 et suiv.

(1) Voir, d’ailleurs, Bulletin à’Informations Sociales et Economiques, lère année, numéros 3/4 (juillet-octobre 1946) p. 43.

(1) Voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, fascicule 4/6 (septembre 1946), pp. 449–450 et p. 452.

(1) Cotisations; allocations familiales, couverture des risques.

(2) L’alimentation minimum, s’entendant pour la population non active, n’est pas prise en considération dans le calcul.

(1) Le nombre des travailleurs assurés, occupés dans l’industrie et le commerce proprement dits, est estimé à 1 million.

(2) Les indices de salaires, actuellement affectés d’une certaine imprécision par suite de la coexistence de tarifications officielles et effectives dans le système de rémunérations, ne peuvent être interprétés dans le menu détail.

(1) Les dislocations observées entre les indices partiels ne permettent pas de conclure à des coïncidences particulières. La coïncidence moyenne observée peut faire place à un nouveau décalage de nature conjoncturelle.

(1) La variation saisonnière n’a pas été soustraite du volume de la distribution de gaz.

(1) L’indice des autorations de bâtir est pondéré en comptaut les constructions pour 1 et les restaurations pour 0,5.

(1) Le nombre d’ouvriers occupés dans l’industrie et le commerce proprement dits a été estimé à 1 million.

(1) Après 1939, la superficie totale cultivée a été diminuée des terrains réquisitionnés, des territoires enlevés et des terres dévastées.

(1) Abstraction faite des quantités écoulées au marché clandestin.

(1) Voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques, tome IX, fascicule 4 (août 1938), pp. 321 et suivantes.

(1) Voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, toaie XII, fascicule 4/6 (septembre 1946), p. 469.