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Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
1 Basham, A. L., The Wonder That Was India (1981), p. 8Google Scholar
2 Manou, en Sanscrit, signifie «homme»; dans la légende hindoue, ce nom est donné à 14 ancêtres, dont chacun a été maître du monde pendant une manavantara (soit, pendant 4 320 000 années). Le premier Manou portait le nom de Swayambhuya, fils de celui qui existe par lui-même. Selon le Mahâbhârata, il est l'auteur de la Smriti de Manou, dont on dit qu'à l'origine elle était composée de 100 000 vers, mais que beaucoup se sont perdus. Les historiens contemporains estiment que la Smriti de Manou a été composée entre 660 av. J.-C. et 300 après Je'sus-Christ. Elle contient des règies régissant les cérémonies et les rituels, ainsi que des préceptes moraux et sociaux.
Vaivasvata, fils du Soleil, le Manou de l'époque contemporaine est le 7e Manou. La légende hindoue, dont on trouve les différentes versions dans le Mahâbhârata, le décrit comme le Noé hindou de l'épisode du Déluge.
Parmi les nombreuses traductions anglaises, il convient de citer: «The Laws of Manu», vol. XXV, Sacred Books of the East, éd. Muller, F. M., (1886).Google Scholar Les renvois aux divers chapitres et vers se font de manière traditionnelle.
3 Derett, J. D. M., Religion, Law, and State in India, (1968) p. 99.Google ScholarGanga Sahai c. Lekhraj Singh, (1886), 9 I L R (All) 253: la Haute Cour d'Allahabad a «reconnu» que les Pourânas étaient un «complément apporté aux Ecritures et, par conséquent, constituent un cinquième Véda».
Voir Shastri, M. N. D., Agni Purana: A Prose English Translation, (1967)Google Scholar, et «Ancient Indian Traditions in Mythologie Series, (1970), plusieurs volumes contenant le texte des Pourânas.
4 Traduction anglaise: voir Roy, P. C., The Mahâbhârataa, 11 volumes (1919–1935).Google Scholar Les citations renvoient aux parvas (parties), chapitres et versets.
La nouvelle traduction anglaise, en plusieurs volumes de Van Buitenen, J. A. B., Mahâbhârataa, University of Chicago Press, Volume 1 (1973)Google Scholar, 2 (1975), 3 (1978), ne couvre que les 3 premiers livres du Mahâbhârat.
5 Traduction anglaise: voir Raghunathan, N., Srimad Valmiki Rânâyanam, 3 vols. (1981–1982).Google Scholar Les références renvoient aux Kanda (parties), chapitres et versets.
Une nouvelle traduction anglaise, en plusieurs volumes, est en cours de publication par la Princeton Library of Asian Translations, sous l'autorité de Goldman, Robert P., et a pour titre The Râmâyana of Valmiki-An Epic of Ancient India, volumes 1 (1984)Google Scholar et 2 (1986); elle ne couvre que la première partie du Ramayan.
6 Supra no 1, p. 127.
7 Santi Parva, 102. 34 à 38.
8 Yuddhakanda, p. 116.
9 Singh, N., India and International Law, vol 1, (1973), pp. 72Google Scholar et suivantes.
10 Voir, J. M.Mc Crindle, Ancient India as described by Megasthenes, (1926) p. 33.Google Scholar
11 Cité dans Viswanatha, S. V., International Law in Ancient India, (1925), p. 18.Google Scholar
12 Manu Smriti, 7.90.
13 Yajnavalkya Rajadharma Prakaranam, pp. 322–3.
14 Shati Parva, 11.3.
15 Sacred Books of the East, tome II, (1876), 10.17.
16 Ibid., 7.89.
17 Ibid., 7.91–93.
18 Ibid., 10.18.
19 7.216, cité par P. V. Kane, History of Dharmashstra, tome III, (1973), p. 208.
20 Ibid., p. 210
21 Sacred Books of the East, tome XIV, (1882), I, 10.18, 11.
22 Ibid., tome II, II.5.10, 10 à 11.
23 Shanti Parva, 95.6 à 16.
24 Karna Parva, 90.109 à 110.
25 Shanti Parva, 100.27 à 29.
26 Ibid., 62.56 à 59.
27 Yuddhkanda, 18.27 à 34.
28 Ibid., 4.1177 à 1179.
29 Kangle, R. P., The Kautilya Arthasashtra, IIe Partie, (1972)Google Scholar, 1332.4.52.
30 Kalki Purana, pt. 3, ch. 1.
31 Matsya Purana, 59.113.
32 10.3.47. Voir aussi Kane, op. cit., p. 208.
33 Shanti Parva, 95.13 à 14.
34 Ibid., 102.32.
35 Voir Puggot, S., Prehistoric India, (1950), p. 155.Google Scholar
36 236.61 à 65.
37 1.342 à 343.
38 Shanti Parva, 100.273.
39 7.203.
40 7.16.26 à 30.