For a definition of the term huong-hỏa, we can do no better than give two quotations, one from a Frenchman, the other from a Vietnamese. ‘Le huong-hỏa’, says Professor M. R. Deloustal ‘est une institution trop connue pour qu'il soit nécessaire de s'appesantir longuement sur sa description. En principe, c'est une portion de patrimoine, quelquefois une certaine somme d'argent, dont les revenus servent à entretenir l'encens ( huong) et le luminaire (hỏa) sur l'autel des ancêtres, c'est-à-dire à subvenir aux frais de leur culte et à l'entretien de leurs tombeaux.’1 Mr. Le Van Dinh tells us ‘La masse de biens créée pour le service du culte ancestral, c'est le huong-hoa, biens de “l'encens et du feu”, biens susceptibles d'assurer au culte qu'ils desservent tout l'éclat, toute la splendeur désirables, ainsi qu'une pérennité temporelle et spatiale’.2