Il y a une dizaine d'années, je tentai de démontrer que les fresques paléolithiques étaient composées et non distribuées au hasard des parois décorées. Cette composition me semblait se référer à un système de la nature où s'opposaient un principe mâle symbolisé par les bovidés et un principe femelle symbolisé par les équidés.
L'idée fut reprise par A. Leroi-Gourhan, et celui-ci, après une étude détaillée, arrivait à une conclusion inverse et suggérait que, dans l'art paléolithique, le bovidé était femelle, et l'équidé, mâle.