1. Cf. par exemple, R. Fox et G. Weisz, The Organization of Science and Technology in France (1808-1914), Paris, Cambridge, Éd. de la Maison des Sciences de l'Homme, Cambridge U.P., 1980 ; G. Weisz, The Emergence of Modem Universities in France, 1863-1914, Princeton, Princeton U.P., 1983. Pour des comparaisons internationales : K. H. Jarausch éd. The Transformation of Higher Learning, 1860- 1930, Stuttgart, Klett-Cotta, 1982 ; et tout récemment : C. Charle et R. Ferré éds, Le personnel de l'enseignement supérieur aux XIX^e et XX^e siècles, Paris, Éd. du CNRS, 1985, actes du colloque organisé par l'IHMC et l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, où l'on trouvera une première discussion du travail de Pierre Bourdieu et ses réponses, pp. 177-184.

2. Revue d'Histoire moderne et contemporaine, octobre-décembre 1975, pp. 497-507, notice commentée p. 115. Aux dires de Duroselle, il s'agit d'un état de choses révolu (Renouvin a pris sa retraite en 1964), du fait de la multiplication des thèses et des sous-spécialités en histoire.

3. P. Bourdieu le reconnaît quand il écrit : « seul un ensemble de monographies permettrait de saisir la logique des échanges dans lesquels entrent les universitaires à l'occasion des jurys de thèses (…), des élections (…), des comités de rédactions (…), des commissions de recrutement, etc. » (p. 129).

4. P. 221, note 11.