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Université Catholique db Louvain Institut des Sciences Économiques Centre de Recherches Économiques 2b rue E. Van Eren - Louvain - Belgique
Published online by Cambridge University Press: 17 August 2016
Abstract
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- Type
- Research Article
- Information
- Recherches Économiques de Louvain/ Louvain Economic Review , Volume 36 , Issue S1 , May 1970 , pp. S1 - S20
- Copyright
- Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1970
References
Références
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f à h : D’aprés la Revue du Travail, sept. 1951, p. 896. Un budget de la main-d’œuvre beige, revu et complété par les rapports sur lévolution de la population active du Ministère de l’Emploi. L’ensemble de la population comprend tous ceux qui à titre de patron, d’aidant, d’appointé, de salarié, ou d’indépendant exercent une profession lucrative tant dans une entreprise privée que dans un service public ou d’intérêt général. Cet ensemble comprend également les militaires et miliciens. Les dépendants comprennent les personnes liées par un contrat d’emploi dans les entreprises et services tant privés que publics. L’industrie comprend les industries extractives, manufacturières et la construction.Google Scholar
i : D’après l’Annuaire statistique; comprend les élèves des enseignements moyens et secondaires du degré supérieur, des enseignements normals, techniques et supérieurs et similaires inscrits au début de l’année.Google Scholar
j à m : D’après les calculs et estimations de M. F. Baudhuin, publiés annuellement dans le Bull. I. R. E. S. Les données se rapportent au revenu national net évalué au coût des facteurs (ensemble des revenus tirés de la production des biens et des services, y compris ceux provenant de l’étranger).Google Scholar
n : D’après le Moniteur Belge; revenus de l’État : ensemble des recettes à l’exception de celles provenant des emprunts; comptes par exercice.Google Scholar
O : Ensemble des dépenses inscrites au budget ordinaire, et au budget extraordinaire. Les données relatives aux trois dernières années sont provisoires.Google Scholar
p et q : D’après le Bull, de Statistique.
Google Scholar
r et s: D’après l’I.N.S. Recensements au 15 mai de toutes les exploitations qui vendent leurs produits et des exploitations de + de la de grandes communautés.Google Scholar
t : D’après les données du Ministère de l’Agriculture.Google Scholar
u : Calcul I.R.E.S.P. Indice pondéré par les prix de 1953 de la production totale brute des principaux produits de culture agricoles.Google Scholar
v et w : D’après’le Bull, de Statistique.
Google Scholar
x et y : D’après l’I.N.S. : produits pétroliers énergétiques.Google Scholar
à 3 : Indices calculés par l’I.R.E.S.P. : moyenne simple de 6 indices de prix de métaux et de 11 indices de prix de produits d’origine agricole relevés sur les marchés les plus sensibles du monde et exprimés en dollars. Base, 1953 = 100. Pour l’interprétation cfr Bull. n° 6, 3 sept. 1952, p. 553.Google Scholar
Indice «Trip Charter» de la Chamber of Shipping of the U.K.
Google Scholar
à 26 : Indices calculés par l’I.R.E.S.P. sur des prix relevés entre le ler et le 10 du mois. La méthode d’établissement et la composition sont décrites dans le Bulletin de juin 1956, p. 423 et suivantes.Google Scholar
à 31 : Source : Service de l’index du Ministère des Affaires économiques.Google Scholar
à 39 : Le salaire-coût est établi en ajoutant les charges sociales légales incombant à l’employeur (sécurité sociale et assurances) aux gains horaires des ouvriers qui comprennent déjà les rétributions de certaines heures non prestées mais obligatoirement payées. L’appointement-coût s’obtient en ajoutant les charges sociales patronales (sécurité sociale, assurances, vacances) à l’appointement brut. Le calcul de l’appointement horaire est basé sur une prestation théorique moyenne de 45 heures par semaine jusqu’en 1958, puis ce nombre d’heures a décliné progressivement pour atteindre 41 à partir de 1969. Le salaire social se calcule en ajoutant les avantages pécuniaires alloués par la sécurité sociale à un salaire mensuel théorique net, c’est-à-dire gain horaire multiplié par le nombre moyen normal d’heures de travail d’un mois et diminué des charges sociales retenues. Les charges fiscales ne sont pas soustraites.Google Scholar
à 47 : Calculés à l’I.R.E.S.P., d’après le Bull, de Statistique, cours au 1er du mois jusqu’en 1957, au 10 du mois à partir de 1958. La composition des différents groupes est donnée dans «Éléments du diagnostic». L’indice global comptant comprend l’ensemble des actions belges, congolaises et étrangères.Google Scholar
à 51, et 53 et 54 : Source B.N.B.Google Scholar
Calcul I.R.E.S.P.Google Scholar
Calcul I.R.E.S.P. le 15 du mois.Google Scholar
Calcul I.R.E.S. P.: 1° Sociétés à bilan au 31 décembre: le taux est le dividende net rapporté au cours du 1er avril suivant la date du bilan. Ce taux est inscrit au mois de juin. 2° Sociétés à bilan entre avril et octobre : le taux est le dividende net rapporté au cours du 1er octobre. Ce taux est inscrit au mois de décembre. Voir «Eléments du diagnostic» p. 221.Google Scholar
à 59 : Source : B.N.BGoogle Scholar
et 61 : Établi par l’I.R.E.S.P.Google Scholar
à 67 : D’après la B.N.B., dernière situation du mois.Google Scholar
Établi par l’I.R.E.S.P. Représente les avoirs nets de la B.N.B, pouvant servir aux paiements à l’étranger.Google Scholar
à 74 : D’après le Moniteur belge. Le taux de trésorerie est le rapport du poste de l’actif : encaisse, avoirs en compte à la B. N. B. et chèques postaux aux comptes courants à 30 jours au plus.Google Scholar
Source : B.N.B. Établi sur un échantillonnage représentant environ 80% du total des dépôts à vue; voir Bull. B.N.B., XXVme année, Vol. II, N° 4, p. 222.Google Scholar
Source : Office des chèques postaux.Google Scholar
Calculé par l’I.R.E.S.P. Rapport de l’ensemble du débit par 25 jours aux avoirs libres globaux en fin de mois.Google Scholar
D’après la B.N.B., voir bilan intégré des organismes monétaires.Google Scholar
Calcul I.R.E. S. P. : Somme des dépôts à terme et sur carnets à plus de 30 jours et carnets de dépôts dans les banques, des dépôts à la C.G.E.R. et des dépôts dans les caisses d’épargne privées.Google Scholar
à 86 : D’après le Bull. B.N.B, et le Bull. Statistique.
Google Scholar
à 92 : Établis par l’I.R.E.S.P.; moyennes de cotations hebdomadaires.Google Scholar
et 94 : D’après le Moniteur belge. Les impôts directs comprennent : l’ensemble des contributions directes tel qu’il est publié au Moniteur diminué des taxes de circulation sur les automobiles, des taxes sur jeux et paris et sur appareils automatiques et augmenté des droits de successions et de la taxe sur les associations sans but lucratif. Tous les autres impôts et taxes sont classés dans les impôts indirects.Google Scholar
à 104 : D’après le Bull. B.N.B.
Google Scholar
et 106 : Calcul I.R.E.S.P. Le degré d’emploi est le pourcentage chômage complet soustrait de 100. Le degré de travail est le pourcentage de chômage complet et partiel soustrait de 100. Les pourcentages de chômage sont les rapports en pour cent du nombre de chômeurs au nombre d’assurés contre le chômage. Les pourcentages publiés concernent les ouvriers seuls.Google Scholar
Calcul I.R.E.S.P. Comprend les ouvriers occupés dans les industries soumises à l’obligation d’un recensement mensuel. Les branches d’industries fortement concentrées (entre autres les charbonnages et la sidérurgie) sont représentées dans leur entièreté. Par contre d’autres branches ne sont représentées que par les entreprises comptant 5 ouvriers et plus ou 10 ouvriers et plus. En fin de compte sur un total de 1.308 mille ouvriers inscrits à l’O.N.S.S. en 1953, 1.005 mille sont recensés dans les indices. Voir le Bulletin de juin 1956, p. 435.Google Scholar
et 109 : D’après l’Office national de l’Emploi. Indice, 1953 = 100 de la moyenne mobile de 3 mois des offres d’emploi reçues des employeurs et des offres non satisfaites; V.S. éliminées.Google Scholar
à 115 : Les données brutes sont communiquées par l’Office national de l’Emploi. La méthode de calcul des variations saisonnières est décrite dans le Bulletin de juin 1956, p. 435.Google Scholar
D’après l’Administration des Mines du Ministère des Affaires économiques.Google Scholar
Calcul I. R. E. S. P. Rapport de l’indice de production des industries manufacturières à l’indice du nombre d’heures effectives de travail du personnel ouvrier et employé. Le calcul se fait deux fois par an : respectivement pour la moyenne des mois de mars, avril, mai et septembre, octobre, novembre. Ce calcul a été amélioré sur la base 1961 = 100Google Scholar
Ensemble des jours du mois ou de l’année moins les dimanches et jours fériés légaux.Google Scholar
à 156 : Calcul de l’I.R.E.S.P. (cfr Recherches Economiques de Lounain, Annexe Statistique 1967, n’ 2, p. 234). Indices, base 1961 = 100, de production de groupes de produits pondérés par leurs valeurs ajoutées brutes. Les valeurs relatives des cocfficients de pondération (valeurs ajoutées des branches industrielles) sont les suivantes.
Google Scholar
D’après le Bull, de Stat. de la C.E.E.Google Scholar
et 159 : D’après le Bull, de Stat.Google Scholar
D’après la Direction générale des Mines.Google Scholar
D’après l’I.N.S.Google Scholar
à 167 : Calcul I.R.E.S.P. Les indices de transport et de manutention sont calculés par mois d’égale longueur et pondérés par la valeur ajoutée de chaque branche de transport. Les indices ont pour base 1953 = 100 et les valeurs ajoutées sont celles de la même année.Google Scholar
Source : Administration du Port d’Anvers.Google Scholar
Calculé par l’I.R.E.S.P. en divisant le montant des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses taxes. Les données publiées sont les indices 1953 = 100 par mois d’égale longueur.Google Scholar
Indices pondérés des ventes au détail des grands organismes : grands magasins coopératives, entreprises de commerce à succursales et ventes en libre service de petites et moyennes entreprises. Source : I.N.S. Base 1961 = 100, V. S. éliminées.Google Scholar
D’après le Bull, de l’I.N.S. Depuis 1969 l’indice est celui de la valeur globale des ventes des entreprises précitées.Google Scholar
et 173 : D’après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l’Union économique belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
à 185 : Indices du volume du commerce extérieur et des valeurs unitaires calculés par l’I.R.E.S.P. Les indices de volumes, base 1961, sont des sommes de quantités (poids) pondérées par leurs valeurs unitaires en 1961 et rapportées aux valeurs des mêmes produits de l’année 1961. Ce sont donc des indices selon la formule de Laspeyres. Les indices de valeurs unitaires moyennes sont calculés selon la formulede Paasche, Les indices comprennent plus de 400 rubriques couvrant environ 90% de la valeur du commerce extérieur — Pour description plus détaillée, cfr Service mensuel de conjoncture de Louvain, «Statistiques» juillet et septembre 1967.Google Scholar
à 189 : Calcul I.R.E.S.P.Google Scholar
à 194 : Calcul I.R.E.S.P. L’indice du coût-rémunération par unité produite est le rapport de l’indice du salaire-coût horaire (source : F.I.B, et nos indices) à l’indice de productivité horaire du personnel dans l’industrie manufacturière. Si l’indice des appointements-coût ne diffère pas beaucoup de l’indice du salaire- coût ce rapport peut également s’appeler indice du coût-salaire et appointement par unité produite.Google Scholar
(T 1079) Imprimé en Belgique par Ceuterick s.a. Brusselse straat 153 3000-Leuven Adm.-dir. L. Pitsi Bertemse baan 25 3008-Veltem-BeisemGoogle Scholar