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Statistiques économiques(1) disponibles au 2 septembre 1953

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1953

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References

Références

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l. j à m: D’après les calculs et estimations de M. P. Baudhuin, publiés annuellement dans le Bull. I. R. E. S. Les données se rapportent au revenu national net évalué au coût des facteurs (ensemble des revenus tirés de la production des biens et des services, y compris ceux provenant de l’étranger). Les données des revenus du travail et des revenus mixtes ne sont pas comparables entre l’avant et l’après-guerre: avant guerre une partie des revenus des artisans et des agriculteurs était considérée comme salaires.Google Scholar
l. n: Revenus de l’Etat: Ensemble des recettes à l’exception de celles provenant des emprunts.Google Scholar
l. o: Ensemble des dépenses inscrites au budget ordinaire, à celui résultant de la guerre et au budget extraordinaire. Les données relatives aux trois dernières années sont provisoires et approximatives.Google Scholar
l. p et q: D’après le Bull, de Statistique: Les prairies et pâtures comprennent l’ensemble des prairies permanentes et temporaires, pâturées et fauchées. Les vergers pâturés y sont aussi inclus. A partir de 1952, le recensement ne tenant plus compte des exploitations de moins de 1 ha. les données pour l’ensemble de l’agriculture ont été établies par extrapolation et ne sont donc qu’approximatives.Google Scholar
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col. 30 et 31: Indice intérimaire et provisoire calculé par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 32: D’après le Bull. B.N.B. Pour établir le salaire moyen utilisé ensuite dans la confection de l’indice, on divise le montant global dû aux ouvriers d’une entreprise, avant les déductions sociales et fiscales, par le nombre total d’heures prestées. L’indice qui en résulte est dénommé indice des salaires horaires moyens, mais pourrait s’appeler indice des gains horaires.Google Scholar
col. 33 à 38: Etablis par l’I. R. E. S. en multipliant les indices des salaires bruts par les coefficients de variation par rapport à 1936-1938 des charges et des avantages annexés aux salaires.Google Scholar
col. 39 à 41: Calculés à l’I.R.E.S. d’après le Bull. B. N. B. jusqu’en 1946, d’après le Bull, de Statistique à partir de 1947; cours au 1er du mois. La composition des différents groupes est donnée dans « Eléments du diagnostic ».Google Scholar
col. 42: D’après l’Echo de la Bourse. Moyenne de 4 ou 5 semaines du mois du montant des capitaux traités par semaine type de 5 jours.Google Scholar
col. 43 à 45: Calculés par l’I. R. E. S. Les taux de capitalisation des certificats de trésorerie sont calculés le 15 du mois sur les dernières émissions en prenant la série à remboursement le plus rapproché et en tenant compte des primes de remboursement. Les autres taux ne tiennent pas compte du cours de remboursement.Google Scholar
col. 46: Source: B. N. B.>>Google Scholar
col. 48: Etablipar l’I.R.E.S. en fin de mois et comprend: les billets de la B.N.B.. la monnaie divisionnaire et d’appoint, les comptes courants libres à la B. N. B., les dépôts libres à 30 jours au plus dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des comptables de l’Etat aux chèques postaux. De ce total sont soustraits: les avoirs de la B.N.B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en compte courant à la B.N.B. et aux chèques postaux des banques privées.Google Scholar
col. 49 et 50: Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 51 à 57: D’après la B. N. B., dernière situation du mois.Google Scholar
col. 58: Etabli par l’I. R. E. S. Représente les avoirs nets de la B.N.B. pouvant servir aux paiements à l’étranger.Google Scholar
col. 59 à 63: D’après le Moniteur belge. On entend par « Trésorerie » le poste de l’actif: Encaisse, avoirs en compte à la B.N.B. et chèques postaux.Google Scholar
col. 64: D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 65: Source: B.N.B. Etabli sur un échantillonnage représentant environ 80% du total des dépôts à vue, voir Bull. B.N.B., XXVme année, Vol. II, N° 4, p. 222.Google Scholar
col. 66 à 68: Source: Office des chèques postaux.Google Scholar
col. 69: Calculé par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 70 à 75: D’après le Bull. B.N.B. et le Bull, de Statistique.Google Scholar
col. 76 à 80: Etablis par l’I. R. E. S.: Moyenne journalière des cotations à Bruxelles exprimée en % de la parité officielle.Google Scholar
col. 81 à 84: D’après le Moniteur.Google Scholar
col. 85 à 91: D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 92 à 97: D’après l’Office national du placement et du chômage, anciennement le Fonds national de soutien des chômeurs.Google Scholar
col. 98 et 99: Degré d’emploi: Calculé par l’I. R. E. S. La différence entre l’ensemble des journées de travail possibles (effectifs ouvriers x nombre de jours ouvrables du mois) et l’ensemble des journées de chômage représente le nombre de jours d’occupation effective. En soustrayant des mêmes journées de travail possibles, les journées de chômage des chômeurs complets seuls, on obtient le nombre de journées écoulées pour ceux qui sont occupés Complètement ou partiellement c’est-à-dire le degré d’emploi, complet et partiel. Chaque élément du calcul est exprimé en % du nombre de journées de travail possibles.Google Scholar
col. 100: Calcul de l’I. R. E. S. d’après le Bull, de Statistique comprenant le personnel ouvrier occupé dans les charbonnages, les cokeries, les fabriques d’agglomérés, la production d’azote, la sidérurgie, la production de métaux non ferreux, les fabrications métalliques, les carrières, les fours à chaux, le traitement des calcaires et dérivés, les cimenteries, les fabrications de terres-cuites, céramiques et verres, les bonneteries, les filatures, les tissages, les préparations diverses textiles, les fabriques de papier, de tabac, de cuir, de chaussures et pantoufles, le travail du bois et enfin dans 214 entreprises de construction.Google Scholar
col. 101: Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 102 à 105: D’après la Direction générale des Mines. La consommation de charbon est obtenue en faisant la somme algébrique de la production, des importations nettes, et de la différence des stocks entre la fin et le début du mois.Google Scholar
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col. 109: D’après l’I.N.S.Google Scholar
col. 110: D’après l’AGEFI. Indice de production des principaux produits de base de l’industrie, non ajusté pour l’inégale longueur des mois. Ne comprend pas la production d’industries de biens de consommation telles que industries alimentaires, du cuir, du tabac.Google Scholar
col. 111 à 130: Indices de la production industrielle de base de l’I. R. E. S. Etablis par l’I.R.E.S. selon la méthode décrite dans« Sources et traitement des données statistiques » Bull. I.R.E.S. sept. 1950, p. 54 et Bull, précédent modifié depuis juillet 1951 par l’adjonction de l’indice partiel de production des industries de fabrications métalliques.Google Scholar
col. 131 à 136: Indices des transports et manutentions de l’I. R. E. S. Indices calculés par la même méthode que celle utilisée pour le calcul de la production industrielle.Google Scholar
col. 135: Source: S. N. C. F. B.Google Scholar
col. 137: Source: Administration du Port d’Anvers.Google Scholar
col. 138: Calculé par l’I.R.E.S. en divisant le montant des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses taxes.Google Scholar
col. 139: Moyenne d’indices de vente dans les grands magasins, magasins à succursales et coopératives établis par la B.N.B. et par l’I.N.S.Google Scholar
col. 141 à 143: D’après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l’Union économique belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
col. 144 à 152: Indice du volume du commerce extérieur de l’I. R. E. S. établi par l’I. R. E. S. selon la méthode décrite dans « Éléments du diagnostic » modifiée comme suit à partir du fascicule 4 de 1952 (juin).Google Scholar
col. 153 à 161: Indices des valeurs unitaires moyennes du commerce extérieur établis par l’I. R. E. S. selon la formule de Paasche (base 1936 à 1938) dans laquelle p1 et po représentent respectivement les valeurs unitaires moyennes de la période actuelle et de la période de base, et q1 les quantités de la période actuelle.Google Scholar
col. 162: D’après le Bulletin Statistique de l’O. E. C. E.Google Scholar
col. 163: D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar