col. 1 à 18: Calculé par l’I.R.E.S. Pour la méthode et la composition voir ce bulletin p. 39. Note sur nos nouveaux indices des prix de gros.Google Scholar

col. 19 et 20: Source : Service de l’index du Ministère des affaires économiques.Google Scholar

col. 21 et 22: Calculé provisoirement par l’I. R. E. S.Google Scholar

col. 23 et 24: D’après le Bull. B.N.B. A défaut de référence en 1936 et 1937, les données de la col. 16 sont des cours nominaux réels.Google Scholar

col. 23 et 24: La comparaison de ces données avec les données d’anciens indices calculés sur la base 1936–1938 montrerait cependant que l’on peut considérer les données exprimées en valeur nominale comme voisines de celles que donnerait un indice sur la base de 1936 à 1938 = 100.Google Scholar

col. 25 à 28: D’après le Bull. B.N.B. jusqu’en 1946, d’après le Bull, de Statistique à partir de 1947.Google Scholar

col. 25 à 28: La composition des différents groupes est donnéedans « Eléments du diagnostic ».Google Scholar

col. 29 à 37. D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar

col. 31 à 33: De septembre 1940 au 31 août 1944, les données représentent le situations réunies de la Banque nationale de Belgique et de la Banque d’Emission à Bruxelles ; le poste devises et valeurs-or, comporte les billets et monnaies à livrer par la Banque de France, les créances et devises sur l’étranger, le compte de virement de la Reichskreditkasse, le compte d’échanges des Reichskreditkassenscheine, les Reichskredit-kassenscheine et autres monnaies et billets étrangers; les postes « portefeuille effets et avances sur fonds publics » sont remplacés par le poste « crédit à l’économie privée », dont les données sont inscrites dan la colonne « effets sur la Belgique ».Google Scholar

col. 35: Depuis 1945, y compris les avances faites pour les comptes Office d’Aide Mutuelle et Forces Alliées.Google Scholar

col. 38: D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar

col. 39 à 46: D’après le Moniteur belge.Google Scholar

col. 47: Calcul de l’I.R.E.S.Google Scholar

col. 48 à 56: D’après le Bull. B.N.B. Les émissions nettes comprennent,en ce qui concerne les actions, les montants libérés sur souscriptions d’actions, les primes d’émission moins les libérations autres qu’en espèces et éventuellement la partie des émissions destinées au remboursement d’anciens emprunts, qui dépasse les émissions d’obligations ; en ce qui concerne les obligations, les montants nominaux des émissions moins les émissions destinées aux remboursements d’anciens emprunts.Google Scholar

col. 57 à 65.: D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar

col. 66 : Calcul de l’I.R.E.S.Google Scholar

col. 67 à 70: D’après la Direction générale des Mines.Google Scholar

col. 71 et 72: D’après le Bull, de Statistiques. Distribution de gaz (col. 72) jusqu’en 1947 distribution publique de gaz, à partir de 1948distribution totale de gaz.Google Scholar

col. 73: Calcul de l’I.R.E.S. L’indice des autorisations de bâtir est pondéré en attribuant les coefficients 1 aux transformations et reconstruc-tions, et 2 aux constructions nouvelles :Google Scholar

col. 74 à 91: Indices de la production industrielle en Belgique. Google Scholar

col. 74 à 91: A partir de la livraison de mars 1949 les indices publiés sont ceux d’un nouvel indice, élaboré de la façon suivante:Google Scholar

1. INDICES PARTICULIERS.Google Scholar

a. Base. - Tous les indices particuliers sont calculés à partir des séries statistiques réelles en pourcentage de la moyenne des années de 1936 à 1938. Le nombre de séries a été porté à 90.Google Scholar

b. Réduction par mois type. - Tous les indices particuliers sont ajustés afin d’éliminer les effets dus à l’inégale longueur des mois.Google Scholar

c. Elimination de la variation saisonnière. - Les écarts dus à l’influence des saisons ont été corrigés par l’élimination de la variation saisonnière normale dans les séries suivantes : houille, coke, gaz, électricité, fonte, alcools,laiteries, abattoirs, brasseries, margarineries, raffineries de sucre.Google Scholar

d. Moyenne mobile. - La moyenne mobile de trois mois est calculée dans le but d’obtenir un indice moins heurté dans la productiondes huiles combustibles.Google Scholar

2. INDICES DE SECTEURS, DE GROUPES ET INDICE GLOBAL.Google Scholar

2. Les indices partiels et globaux sont des moyennes pondérées des indices de produits particuliers. La valeur ajoutée aux matières premières par le processus de production détermine le coefficient de pondération de chaque indice particulier et permet leursommation.Google Scholar

Voir la composition des indices à la page suivante.Google Scholar

col. 92 à 97: D’après « Statistiques » de la Société nationale des chemins de fer belges.Google Scholar

col. 98 et 99: D’après le Bull, de Statistique.Google Scholar

col. 100 à 109: Calcul de l’I.R.E.S. Pour les données se rapportant aux années 1945 et précédentes, voir Yves URBAIN, Les transports intérieurs, Bull. I.R.E.S., tome XII, no° 3 (avril 1946), p. 414.Google Scholar

col. 110 à 117: D’après leBull, de Statistique.Google Scholar

col. 118 à 125: Calcul de l’I.R.E.S. Pour la formation des indices, voir Eléments du diagnostic.Google Scholar

col. 126: D’après le Bulletin mensuel du Fonds de soutien des chômeurs.Google Scholar

col. 127 à 129. — Données du Ponds de soutien des chômeurs, corrigées par l’élimination des variations saisonnières.Google Scholar

col. 130: Calcul de l’I.R.E.S. Voir note(2) p. 52 du Bull. I.R.E.S. XV, no° 2 (juillet 1949).Google Scholar

col. 131: Calcul de l’I.R.E.S.Google Scholar

col. 132 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar