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Abstract
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- Recherches Économiques de Louvain/ Louvain Economic Review , Volume 18 , Issue 6 , September 1952 , pp. 575 - 594
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- Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1952
Footnotes
(1)
Les traitements statistiques et les sources sont donnés in fine.
References
Références
1. a à d : D’après le Bull, de Statistique; le taux de reproduction est le nombre de naissances pour mille femmes âgées de 15 à moins de 45 ans.Google Scholar
1. e : D’après le Bull, de Statistique.Google Scholar
1. f à » : D’après la Revue du Travail, sept. 1951, p. 896, Un budget de main-d’œuvre belge. L’ensemble de la population au travail comprend tous ceux qui a titre de patron, d’aidant, d’appointé, de salarié, ou d’indépendant exercent une profession lucrative tant dans une entreprise privée que dans un service public ou d’intérêt général. Cet ensemble comprend également les militaires et miliciens. Les appointés et salariés comprennent les personnes liées par un contrat d’emploi dans les entreprises et services tant privés que publics. Les effectifs de l’industrie comprennent les appointés et salariés des industries extractives, manufacturières, et de la construction.Google Scholar
1. j à m : D’après les calculs et estimations de M. F. Baudhuin, publiés annuellement dans le Bull. I. R. E. S. Les données se rapportent au revenu national net évalué au coût des facteurs (ensemble des revenus tirés de la production des biens et des services, y compris ceux provenant de l’étranger).Google Scholar
1. n : Revenus de l’Etat : Ensemble des recettes à l’exception de celles provenant des emprunts.Google Scholar
1. o : Ensemble des dépenses inscrites au budget ordinaire, à celui résultant de la guerre et au budget extraordinaire. Les données relatives aux trois dernières années sont provisoires et approximatives.Google Scholar
1. p et q : D’après le Bull, de Statistique : Les prairies et pâtures comprennent l’ensemble des prairies permanentes et temporaires, pâturées et fauchées. Les vergers pâturés y sont aussi inclus.Google Scholar
col. 1. : Indice « Moody ». Indice des prix de gros de matières premières de base établi pour les marchés des Etats-Unis.Google Scholar
col. 2 : Indice « Reuter ». Indice des prix de gros des principales matières premières établi pour les marchés du Royaume-Uni.Google Scholar
col. 3 à 26 : Calculés par l’I.R.E S. entre le 1er et le 10 du mois. Pour la méthode et la composition voir Bull. I.R.E.S., nov. 1949, p. 39, Note sur nos nouveaux indices des prix de gros et Bull. I.R.E.S., sept. 1950, p. 52, Sources et traitement des données statistiques.
Google Scholar
col. 28 et 29 : Source : Service de l’index du Ministère des affaires économiques.Google Scholar
col. 30 et 31 : Indice intérimaire provisoire calculé par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 32 : D’après le Bull. B.N.B. Pour établir le salaire moyen utilisé ensuite dans la confection de l’indice, on divise le montant global dû aux ouvriers d’une entreprise, avant les déductions sociales et fiscales, par le nombre total d’heures prestées. L’indice qui en résulte est dénommé indice des salaires horaires moyens mais pourrait s’appeler indice des gains horaires.Google Scholar
col. 33 à 38 : Etablis par l’I. R. E. S. en multipliant les indices des salaires bruts par les coefficients de variation par rapport à 1936–1938 des charges et des avantages annexés aux salaires.Google Scholar
col. 39 à 41 : Calculés à l’I.R.ES. d’après le Bull. B. N. B. jusqu’en 1946, d’après le Bull, de Statistique à partir de 1947, cours au 1er du mois. La composition des différents groupes est donnée dans « Eléments du diagnostic ».Google Scholar
col. 42 : D’après l’Echo de la Bourse. Montant des capitaux traités par semaine type de 5 jours : moyenne de 4 ou 5 semaines du mois.Google Scholar
col. 43 à 46 : Calculés par l’I. R. E. S. Les taux de capitalisation des certificats de trésorerie sont calculés le 15 du mois sur les dernières émissions en prenant la série à remboursement le plus rapproché et en tenant compte des primes de remboursement. Les autres taux ne tiennent pas compte du cours de remboursement.Google Scholar
col. 47 : D’après la B. N. B.Google Scholar
col. 48 : Etabli par l’I.R.E.S. en fin de mois et comprend : les billets de la B.N.B. la monnaie divisionnaire et d’appoint, les comptes courants libres à la B. N. B., les dépôts libres à 30 jours au plus dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des comptables de l’Etat aux chèques postaux. De ce total sont soustraits : les avoirs de la B.N.B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en compte courant à la B.N.B. et aux chèques postaux des banques privées.Google Scholar
col. 49 et 50 : Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 51 à 57 : D’après la B. N. B., dernière situation du mois.Google Scholar
col. 58 : Etabli par l’I. R. E. S. Représente les avoirs nets de la B.N.B. pouvant servir aux paiements à l’étranger.Google Scholar
col. 59 à 63 : D’après le Moniteur belge. On entend par « Trésorerie » le poste de l’actif : Encaisse, avoirs en compte à la B.N.B. et chèques postaux.Google Scholar
col. 64 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 65 : D’après la B.N.B. Etabli sur un échantillonnage représentant environ 80% du total des dépôts à vue., voir Bull. B.N.B., XXVme année, Vol. II, N° 4, p. 222.Google Scholar
col. 66 à 68 : Source : Office des chèques postaux.Google Scholar
col. 69 : Calculé par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 70 à 75 : D’après le Bull. B.N.B. et le Bull, de Statistique.Google Scholar
col. 76 à 80 : Etablis par l’I. R. E. S. : Moyenne journalière des cotations à Bruxelles exprimée en % de la parité officielle.Google Scholar
col. 81 à 84 : D’après le Moniteur.Google Scholar
col. 85 à 91 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 92 à 97 : D’après le Fonds national de soutien des chômeurs devenu l’Office national du placement et du chômage.Google Scholar
col. 98 et 99 : Degré d’emploi : Calculé par l’I. R. E. S. La différence entre l’ensemble des journées de travail possibles (effectifs ouvriers x nombre de-jours ouvrables du mois) et l’ensemble des journées de chômage est le degré d’occupation effective. En soustrayant des mêmes journées de travail possibles, les journées de chômage des chômeurs complets seuls, on obtient le nombre de journées travaillées par ceux qui sont occupés complètement ou partiellement c’est-à-dire le degré d’emploi, complet ou partiel. Chaque élément du calcul est exprimé en % du nombre de journées de travail possibles.Google Scholar
col. 100 : Calcul de l’I. R. E. S. d’après le Bull, de Statistique.Google Scholar
col. 101 : Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 102 à 105 : D’après la Direction générale des Mines.Google Scholar
col. 106 et 107 : D’après le Bull, de Statistique ; la col. 107 donne la distribution publique de gaz jusqu’en 1947 et la distribution totale de gaz à partir de 1948.Google Scholar
col. 108 : D’après l’I.N.S.Google Scholar
col. 109 : D’après l’AGEFI. Indice de production des principaux produits de base de l’industrie, non ajusté pour l’inégale longueur des mois. Ne comprend pas la production d’industries de biens de consommation telles que industries alimentaires, du cuir, du tabac.Google Scholar
col. 110 à 130 :
Indices de la production industrielle de base de l’I. R. E. S. Etablis par l’I.R.E.S. selon la méthode décrite dans « Sources et traitement des données statistiques » Bull. I.R.E.S. sept. 1950, p. 54 et Bull, précédent modifié depuis juillet 1951 par l’adjonction de l’indice partiel de production des industries de fabrications métalliques. Ces industries représentent 22 % de l’ensemble des industries recensées dans l’indice global et, à la suite de leur incorporation, les pourcentages des autres industries se trouvent modifiés comme suit.
Google Scholar
col. 131 à 138 :
Indices des transports et manutentions de l’I. R. E. S. Indices calculés par la même méthode que celle utilisée pour le calcul de la production industrielle.Google Scholar
col. 134 : Source : S. N. C. F. B.Google Scholar
col. 135 : Source : Administration du Port d’Anvers.Google Scholar
col. 139 : Calculé par l’I.R.E.S. en divisant le montant des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses taxes.Google Scholar
col. 140 : Moyenne d’indices de vente dans les grands magasins, magasins à succursales et coopératives établis par la B.N.B. et par l’I.N.S.Google Scholar
col. 141 à 143 : D’après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l’Union économique belgo-luxenibourgeoise.Google Scholar
col. 144 à 152 :
Indice du volume du commerce extérieur de l’I. R. E. S. établi par l’I. R. E. S. selon la méthode décrite dans « Éléments du diagnostic » modifiée comme suit à partir de ce fascicule.Google Scholar
Les indices sont des données mensuelles alors que avant juin 1952, ils représentaient des moyennes des trois derniers mois. D’autre part, les groupements ont été modifiés et permettent maintenant de distinguer trois stades de fabrication au lieu de deux.Google Scholar
En résumé, voici les modifications successives apportées aux indices de volume du commerce extérieur : jusqu’au fascicule n° 2 de 1950 inclus les indices de volume étaient ceux établis selon la méthode décrite dans « Les éléments du diagnostic » c’est-à-dire qu’ils étaient calculés en données trimestrielles en tenant compte du commerce net (importations moins exportations ou vice versa) des aliments et des matières brutes.Google Scholar
Depuis le fascicule n° 4 1950 jusqu’au fascicule n° 1 1952, les calculs sont faits en données trimestrielles sur le commerce brut (importations ou exportations totales).Google Scholar
A partir du fascicule n° 2 1952, les données sont mensuelles. Les produits ne sont plus groupés suivant leur courant principal et on a établi des groupes permettant de distinguer trois stades de fabrication.Google Scholar
col. 153 à 161 : Indices des valeurs unitaires moyennes du commerce extérieur établis par l’I. R. E. S. selon la formule de Paasche (base 1936 à 1938) dans laquelle p, et pa représentent respectivement les valeurs unitaires moyennes de la période actuelle et de la période de base, et qt les quantités de la période actuelle.Google Scholar
col. 162 : D’après le Bulletin Statistique de l’O. E. C. E.Google Scholar
col. 163 : D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar