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Note sur la théorie monétaire et le problème des influences monétaires sur le taux d'intérêt

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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L'histoire considérera sans doute comme un des traits caractéristiques de la pensée économique contemporaine le développement d'un certain nombre de doctrines qui s'efforcent de constituer une théorie « monétaire » du taux d'intérêt, c'est-à-dire une théorie qui explique le niveau auquel le taux d'intérêt se fixe et les variations qu'il subit par l'influence de conditions telles que l'existence de la monnaie, la quantité de monnaie, les réactions du public à l'égard de la monnaie, etc… Le contenu de ces théories monétaires de l'intérêt est en général incorporé à l'explication des cycles, du niveau de l'emploi et d'autres phénomènes économiques importants.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1952

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References

(1) J. M. Keynes a analysé le jeu du motif de spéculation dans le chef de personnes qui hésitent à acheter des obligations. Il ne semble pas avoir aperçu que le motif de spéculation puisse inciter à préférer la monnaie aux biens en général et vice versa. Cfr à cet égard, l’addendum au présent article.

(1) Encyclopedia Britannica, voir Money.

(1) Cfr addendum au présent article.

(1) Federal Reserve Bulletin, juin 1950, p. 627.

(1) Keynes, J.M. General Theory of Employment, Interest and Money, New York, Harcourt, Brace & Co, p. 199.Google Scholar

(2) ibidem, pp. 205–208.

(1) ibidem, p. 168.