In the present work, external annual radiation doses in human body due to presence of 226Ra, 232Th, 238U and 40K in conventional building materials and by-products from coal power plants which are being used or have the potential for use in buildings and soil in India were calculated in the human body by using GENII radiation dose calculation computer programme (Napier et al., 1988). In the calculations, human beings receive the most radiation dose from building materials from 1.0 × 10-6 Sv from 40K and the least from 2.3 × 10-11 Sv from 232Th. It has been calculated that human beings receive total 6.3 × 10$^{-7} \pm$ 2 × 10-7 Sv radiation dose exposure from soil. Data obtained are acceptable in comparison with radiation doses attributable to building materials in OECD countries.

The International Atomic Energy Agency has, under its Statute, specifically defined functions relating to radiation safety, in particular, responsibilities for the development of standards of safety and provision for their application. These functions are fulfilled through the development of a wide range of standards, including those on preparedness and response to nuclear accidents or radiological emergencies. It also devotes considerable effort to assisting countries in applying those standards. In addition, the Agency has responsibilities placed on it by virtue of a number of Conventions, two of which are relevant to nuclear accidents or radiological emergencies: the Convention on Early Notification of a Nuclear Accident (Early Notification Convention) and the Convention on Assistance in the Case of a Nuclear Accident or Radiological Emergency (Assistance Convention). Under the Assistance Convention, assistance may include medical response. This paper provides an overview of the Agency's work regarding emergency preparedness and response, with specific reference to a number of recent events. It also discusses new initiatives regarding the safety and security of radiation sources, which have, as a principal objective, the reduction of the risk of such events.

Dans le cadre de ses missions d'expertise pour la protection de l'homme contre les rayonnements ionisants, l'IPSN a pour objectif de dresser un bilan des accidents d'origine radiologique survenus dans le monde ayant causé des effets déterministes afin d'en tirer les enseignements et d'établir un retour d'expérience. Une base documentaire informatique “ ACCIRAD ” de ces événements est établie en reprenant des données acquises à l'IPSN au cours de ses propres expertises, mais également des informations issues d'un travail de recherche bibliographique. Un recensement sous forme de tableau résumé est présenté dans cet article et une synthèse permettant d'établir un certain nombre de faits marquants a été réalisée. Dans un second temps, une consultation via Internet sera envisagée pour rendre accessible la base de données “ ACCIRAD ” au public intéressé.

There is currently a revitalized concern about the potential impact of ionizing radiation on the environment that calls for the construction of a system ensuring an adequate radioprotection of the non-human biota and their associated biotopes. This paper first sets the context of the problem both, with respect to the general philosophy of environmental protection as a whole, but also with respect to the consideration of the environment achieved so far in the purpose of human radioprotection. The current accumulated knowledge on the effects of ionizing radiation to biota (fauna and flora) is then briefly reviewed, encompassing effects at individual and community/ecosystem level, situations of acute and chronic exposure to high and low doses, finally leading to the identification of the most critical gaps in scientific knowledge: effects of mixed low dose rates in chronic exposure to communities and ecosystems. The most significant current international efforts towards the identification of environmental radioprotection criteria and standards are finally presented along with some relevant national examples.

ECRS (European Commission Radon Software) est un logiciel pour évaluer le risque et les contre-mesures associés à l'exposition au radon dans les habitations destiné aux micro-ordinateurs sous Windows. Il a été développé conjointement par le CEPN (Centre d'étude sur l'évaluation de la protection dans le domaine nucléaire) et le NRPB (National Radiological Protection Board) au Royaume-Uni, avec le support de la Commission européenne, DG ENV. L'objectif d'ECRS est de réaliser des calculs de risque spécifiques aux populations européennes pour différents profils d'exposition au radon, et d'évaluer, en termes de réduction de risque, l'efficacité dans les habitations de différentes contre-mesures. Ce logiciel évalue le risque de cancer du poumon associé à des expositions au radon individuelles ou collectives, selon l'approche épidémiologique ou dosimétrique. Dans les deux cas, les données démographiques spécifiques de la population sélectionnée sont utilisées et l'effet sur le risque de la consommation tabagique est pris en compte. Les principaux indicateurs de risque sont le risque de mortalité sur la vie entière et la perte d'espérance de vie. Un système de valeurs monétaires de l'année de vie perdue permet également de réaliser une analyse coût-efficacité des contre-mesures. ECRS est, en premier lieu, un outil d'évaluation permettant aux utilisateurs de se familiariser avec les risques associés au radon et les techniques de réduction de son impact sanitaire. Par ailleurs, son système de base de données, ses capacités d'analyse de sensibilité, ainsi que ses possibilités de configuration en font un outil qui devrait permettre aux experts de l'évaluation du risque de différents pays d'Europe d'effectuer des calculs adaptés aux conditions locales d'exposition au radon.