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La Jeunesse de Diderot: Quelques Précisions

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

Lester Gilbert Krakeur*
Affiliation:
Queens College

Extract

L'exactitude des Mémoires de Mme de Vandeul a toujours été, en J plusieurs endroits, suspecte. La correspondance de Diderot nous a révélé quelques incompatibilités et a fourni matière à quelques déductions nouvelles; cet article en résume les conclusions.

Type
Research Article
Information
PMLA , Volume 57 , Issue 1 , March 1942 , pp. 133 - 139
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1942

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References

Note 1 in page 133 Cf. Correspondance inédite de Diderot, éd. Babelon (Paris: NRF, 1931), t. 2. “Voilà la quittance d'arrêté du compte final avec M. Foucou de Paris. Je lui ai écrit une lettre le 23 mai 1736, de ne rien avancer à Diderot ni le prendre chez lui, qu'il devait être chez le procureur.”

Note 2 in page 133 M. Babelon admet que Diderot a quitté le bureau en 1736 et qu'il y est resté deux ans, mais au lieu de faire une déduction très facile, dit qu'il y est entré en 1732, peu après le décernement de son diplôme (op. cit., p. 9).

Note 3 in page 133 R. Salesses: “Les Mystères de la jeunesse de Diderot,” Mercure de France, cclviii (15 décembre 1937), 500.

Note 4 in page 134 Diderot (Paris: les Editions de France, 1932), pp. 66–69.

Note 5 in page 134 Op. cit., pp. 15–16.

Note 6 in page 134 Ibid.

Note 7 in page 134 L'établissement de cette date est donné dans notre étude, La Correspondance de Diderot, son intérêt documentaire, psychologique et littéraire (New York: Kingsley Press, 1939), p. 109.—Nous nous permettons de répéter ici nos déductions. La huitième lettre de Diderot à sa fiancée est datée du 24 décembre 1742. Diderot y dit qu'il ne lui avait pas écrit le vendredi précédent, parce qu'il était malade. Le 24 décembre 1742 tombe un lundi; le vendredi précédent fut donc le 21 décembre. La septième lettre fut écrite “lundy,” mais ne porte pas de date. Ce ne peut être que lundi, le 17 décembre. (Il faut rejeter le 10 décembre parce qu'il est évident, en lisant ces lettres, que celle du 24 décembre est la deuxième lettre écrite de Langres, et que Diderot n'a laissé passer qu'un vendredi sans écrire.) Or, à la fin de la septième lettre, il dit qu'il ne sait pas la date, mais que c'est le dixième jour depuis son départ de Paris. Par conséquent, il a quitté Paris le 7 décembre 1742.

Note 8 in page 135 Cf. Mémoires de Mme de Vandeul, dans Diderot, Œuvres, éd. Assézat et Tourneux (1875–77), 1, xxxviii.

Note 9 in page 135 Cf. Babelon, op. cit., p. 28: “les larmes que j'ai versées lorsque j'étais sur le point de te perdre.”

Note 10 in page 135 Ibid., p. 23.

Note 11 in page 136 Diderot lui-même a très mauvaise mémoire pour les dates, on le remarque une douzaine de fois en lisant sa correspondance. La date exacte d'un événement, la durée de la liaison avec Sophie, et mème son âge précis—il n'en est jamais sûr.

Note 12 in page 136 M. Billy dit dans un endroit que la différence est de trois ans, et quelques pages plus loin qu'elle est de quatre ans (op. cit., pp. 66, 73). D'après Assézat et M. Jal, elle n'était son ainée que de deux ans. (Cf. Œuvres, i, xxxix).

Note 13 in page 136 Cf. Babelon, op. cit., p. 11.

Note 14 in page 136 Ibid., L'érudit était M. Jal.

Note 15 in page 136 Ibid., p. xxxvii.

Note 16 in page 137 Op. cit., p. 11.

Note 17 in page 137 Ibid., p. 39, la lettre de Diderot à sa fiancée.

Note 18 in page 137 Ibid., p. 18.

Note 19 in page 137 Ibid., p. 40.

Note 20 in page 137 Œuvres, i, xli et note; Billy, op. cit., p. 84.

Note 21 in page 137 Ibid., p. xlv.

Note 22 in page 138 Franco Venturi, Jeunesse de Diderot (Paris, 1939), pp. 135–141.

Note 23 in page 138 Op. cit., p. xlv.

Note 24 in page 138 Œuvres, i, xlii.