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The Animadversions of Bishop Bossuet upon the Quakers and Quietists

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

Dorothy Lloyd Gilbert
Affiliation:
Guilford College, N. C.
Russell Pope
Affiliation:
Guilford College, N. C.

Extract

The power of Jacques-Bénigne Bossuet's intellect is not yet spent; few theologians—Catholic or Protestant—have wielded a major premise so cogently; that premise for him, hors de l'église, point de salut; and of this premise, the most impressive conclusion is still, after two hundred and fifty years, the work entitled Histoire des Variations des Eglises Protestantes. It is quite true that his adversaries, for the moment dismayed by the appalling results of the Reformation, as therein portrayed, rallied and returned to the attack, asking whether, indeed, variation was necessarily so great an evil, whether in fact it was not the very genius of Protestantism; to which there is but one answer, and that pragmatic rather than metaphysical. But here, too, the Bishop of Meaux was singularly equipped, for the penchant of his thought is assuredly towards the Visible; the Six Avertissements aux Protestans sur les Lettres du Ministre Jurieu contre l'Histoire des Variations were in the nature of a brilliant counter-attack; they were to be the Bishop's last word on this question. What, asks Bossuet, is the result of disobedience to the Church Universal? He concludes, “que faute de se soumettre à une autorité si inviolable, on se contredit sans cesse, on renverse tous les principes qu'on a établis, on renverse la Réforme même et tout ce que jusqu'ici on y avoit trouvé de plus certain; et qu'enfin on se jette dans le fanatisme et dans les erreurs des Quakers.” His Ultima Thule, then, of nonsense, was the doctrine of the Society of Friends.

Type
Research Article
Information
PMLA , Volume 57 , Issue 1 , March 1942 , pp. 105 - 115
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1942

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References

Note 1 in page 105 M. Rébelliau, “Bossuet's most acute biographer,” comments on the bishop's tendency to treat disputes less by dialectic than by citation of facts: “Notons que, cependant, l'époque où Bossuet étudiait à Paris, fut celle où la ‘théologie positive,’ c'est-à-dire, l'étude historique des Pères et des antiquités de l'Eglise commençait de se substituer à la théologie purement métaphysique et logique. On peut croire que cette tendance nouvelle eut sur Bossuet une influence appréciable.” Histoire de la Langue et de la Littérature Française, (Petit de Julleville), v, 261–262.

Note 2 in page 105 “Troisième Avertissement.” Bossuet, Œuvres, Lebel edition (Versailles, 1816), xxi, 233–234.

Note 3 in page 106 “La dispersion lui fait horreur,” says Faguet, Dix-Septième Siècle. p. 399.

Note 4 in page 107 Bossuet's reference (xxi, 217) reads: Les Princ. de la Vér. etc. avec les Thèses théolog. impr. à Roterd en 1675. Th. 2, p. 21–22. The “Thèses théolog.” are Barclay's fifteen Theses (or propositions) which are usually printed with the complete A pology, but in this instance, with John Crook's Truth's Principles (1663); identification is established by the list in Smith's Descriptive Catalogue of Friends' Books. (London, 1867), i, 487.

Note 5 in page 107 The translation into French was exact, as may be seen by the comparison of the English text of the Apology cited above, with the following citation from Bossuet's version in Troisième Avertissement: Les révélations divines et intérieures, lesquelles nous croyons absolument nécessaires pour former la vraie foi; comme elles ne contredisent point au témoignage extérieur des Ecritures, non plus qu'à la saine raison; aussi n'y peuvent—elles jamais contredire. Il ne s'ensuit pas toutefois de là que ces révélations divines doivent être, soumises à l'examen du témoignage extérieur des Ecritures, non plus qu'à celui de la raison naturelle et humaine, comme à la plus noble et la plus certaine règle et mesure: car la révélation divine et illumination intérieure est une chose qui de soi est évidente et claire et qui contraint par sa propre évidence et clarté un entendement bien diposé à consentir et qui le meut et le fléchit sans aucune résistance; ne plus ne moins que les principes naturels meuvent et fléchissent l'esprit au consentement de vérités naturelles, comme sont: Le tout est plus grand que sa partie: Deux contradictoires ne peuvent être ensemble vrais ou faux. D'où (interpolates Bossuet) s'ensuit la troisième thèse que “de ces saintes révélations de l'Esprit de Dieu sont émanées les Ecritures” dont la thèse fait une espèce de dénombrement; et puis elle poursuit en cette sorte; “Cependant ces Ecritures n'étant seulement que la déclaration de la source d'où elles procèdent et non pas cette même source, elles ne doivent pas être considérées comme le principal fondement de toute vérité et connoissance, ni comme la règle première et très-parfaite de la foi et des mœurs; quoique rendant un fidèle témoignage de la première vérité elles en soient et puissent être estimées la seconde règle subordonnée à l'esprit, duquel elles tirent toute l'excellence et toute la certitude qu'elles ont.” Œuvres, xxi, 217–218.

Note 6 in page 109 Les Maximes des Saints constituent l'événement important de la querelle du quiétisme.... leur apparition mettait le feu aux poudres, et la lutte ne pouvait prendre fin qu'avec la défaite de l'un des partis en présence.“ Gabriel Joppin. Fénelon et la Mystique du pur Amour (Paris, 1938), pp. 99–100.

Note 7 in page 109 J. Calvet, La Littérature Religieuse de François de Sales à Fénelon (Paris, 1938), p. 492. Certain ejaculations of Bossuet are, indeed, “violent and deplorable”; his reference to Fénelon as “une bête féroce qu'il faut poursuivre pour l'honneur de l'épiscoplat et de la vérité, jusqu'à ce qu'on l'ait terrassée ...” is most unhappy. Yet “truth” is above all; “Saint Augustin n'a-t-il pas poursuivi Julien jusqu'à la mort?” Deschanel, Le Romantisme des Classiques (Paris, 1888), p. 305.

Note 8 in page 109 Cited by Joppin, op. cit., p. 9.

Note 9 in page 109 Citation by Lanson, Bossuet (Paris, 1894), p. 411.

Note 10 in page 109 Bossuet, Relation sur le Quiétisme, Œuvres, xxix, 549.

Note 11 in page 110 Indeed, it is doubtful, according to Janet, whether Bossuet would have seen any more venom in the quietism of Fénelon and his friend, Mme. Guyon, than he saw in Saint Theresa or Mme de Chantal, had he not been aroused by the Molinos affair. Paul Janet, Fenelon (Paris, 1892), p. 85.

Note 12 in page 110 Bossuet, in a letter (Oct. 13, 1687) to the abbé Renaudot, Œuvres, xlii, 626.

Note 13 in page 110 Bossuet, op. cit., xxix, 579.

Note 14 in page 110 Fénelon, “Réponse a ... Summa Doctrinae,” Œuvres, Edition Lebel, iv, 534–535.

Note 15 in page 110 Remarques Sur La Réponse de M. L'Arch. de Cambray ... (Paris, 1698), pp. 85, 86, 101.

Note 16 in page 110 Cited by Deschanel, op. cit., p. 305.

Note 17 in page 111 “C'est sans doute cet esprit mal déguisé d'indépendence et de revolte qui valut aux Quiétistes l'appui'du Protestantisme ... les Protestants ne cessaient de publier en faveur de Quiétistes....” J. H. Overton, William Law (London, 1881), p. 17, citing Bonnel, De la Controverse de Bossuet et de Fénelon sur le Quiétisme, Introd., p. xxviii.

Note 18 in page 111 St. Cyres, François de Fénelon (London, 1906), p. 119.

Note 19 in page 111 Leon Brunschvicg, Le Progrès de la Conscience dans la Philosophie Occidentale, i, 220; cited by Gabriel Joppin, op. cit., p. 8.

Note 20 in page 111 Brunchvicg, op. cit., p. 219.

Note 21 in page 111 Œuvres, Edition Lachat, xviii, 393. Cited in Bossuet and His Contemporaries by the Author of A Dominican Artist (London, 1874), p. 374.

Note 22 in page 112 Bossuet, Œuvres, Edition Lachat, xiii, 476, cited also in Bossuet and His Contemporaries pp. 56–57.

Note 23 in page 112 Maxims of the Saints, xxix.

Note 24 in page 112 Ibid.

Note 25 in page 112 E. K. Saunders, Fénelon, His Friends and His Enemies (London, 1901), p. 101.

Note 26 in page 112 Fénelon: Explication des Articles d'Issy (Paris, 1915), p. 97.

Note 27 in page 112 Réponse à la Déclaration des Trois Evêques, Œuvres, iv, 428.

Note 28 in page 112 Explication des Articles d'Issy, pp. 45, 102.

Note 29 in page 112 Ibid., pp. 17, 101.

Note 30 in page 112 Ibid., p. 110.

Note 31 in page 113 Ibid., pp. 109–110.

Note 32 in page 113 Lanson: Bossuet, p. 413.

Note 33 in page 114 “Relation,” Œuvres, xxix, 534. But others have seen much more in the dispute than this. “Le monde moderne voulait naître en s'opposant au monde ancien. C'est ainsi que la querelle du quiétisme, crise de la piété chrétienne, s'incère dans cette crise générale de la conscience humaine qui a marqué la fin du XVIII” siècle; elle en révèle même un des aspects les plus curieux et les plus profonds puisqu'elle oppose l'expérience à la règle l'autorité de l'individu à l'autorité de la tradition, les droits et les lumières de l'instinct aux commandements de la raison. Elle est donc en soi et par ses conséquences une chose dramatique. (Calvet, op. cit., p. 501.) The conclusion of Leibniz, regarding l'affaire du Quiétisme is interesting: ‘Selon les apparences,’ dit-il, ‘Madame Guyon est une orgueilleuse visionnaire et l'archevêque de Cambrai a été trompé par son air de spiritualité ... ’ Sa conclusion sur le tout....“ Je suis prevenu pour deux choses (persuadé de deux choses): l'une est l'exactitude de Monsieur de Meaux, l'autre est l'innocence de Monsieur de Cambrai.’ (Cited by Emile Deschanel, op. cit., p. 306.)

Note 34 in page 114 Bossuet, Œuvres, xxix, 648–649.

Note 35 in page 114 Ibid., pp. 599–600.

Note 38 in page 114 Ibid., pp. 646–647.

Note 37 in page 114 Lanson: Bossuet, p. 413.

Note 38 in page 115 Ibid., p. 411, Letter of Bossuet, Nov. 18, 1697. But Calvet thinks that the Bishop of Meaux was very weary: “En d'autre temps, Bossuet, aussi energique, aurait gardé plus de calme et de mesure. Mais débordé par la vie, irrité par des difficultés sans cesse renouvellées, excité par son neveu, il se jeta dans la querelle des mystiques avec une loyauté emportée qui fermait la porte aux accomodements.” Op. cit., pp. 352–353.

Note 39 in page 115 Bossuet: Œuvres, xli, 169–170.

Note 40 in page 115 The Influence of Quietism on the Society of Friends, a lecture delivered at Bryn Mawr College, April 30, 1900.