Published online by Cambridge University Press: 05 February 2009
page 259 note 1 L'absence d'une mention de l'éVangile chez Matthieu est considérée par plusieurs exégétes comme un élément essentiel pour les divergences entre Matthieu et Marc. Pour ceci voir Schniewind, J., Das Evangelium nach Matthäus (NTD 1) (Göttingen, 1950 4), p. 33.Google Scholar
page 260 note 1 Même les paralléles ne sont pas signalés par D. Buzy, Evangile selon S. Matthieu (La Sainte Bible, de L. Pirot-A. Clamer) (Paris, 1950), pp. 26, 46.Google Scholar
page 260 note 2 Trilling, Voir W., Das Evangelium nach Matthäus (Geistliche Schriftlesung B 1(1)) (Leipzig, 1961), p. 76Google Scholar ns.; Schlatter, A., Der Evangelist Matthäus. Seine Sprache, sein ziel, seine Selbständigkeit (Stuttgart, 1933 2) P. 117.Google Scholar
page 260 note 3 ‘Die erste—dit W. Trilling—ist wie der Schatten, die jetzige wie die Sache selbst’ (Das Evangelium nach Matthäus, p. 77, cf. 53). Voir aussi J. Schniewind, Das Evangelium nach Markus, p. 23. M. Dibelius souligne surtout le caractére artificiel de la coïncidence entre Jean-Baptiste et Jésus. Mais cet auteur ne répond pas à la question: qui a employé pour la premiére fois l'expression contenant l'exhortation au repentir et l'annonce de la venue du Royaume des Cieux?Google Scholar
page 260 note 4 Trilling, Voir W., Das Evangelium nach Matthäus (Geistliche Schriftlesung 1 (1)) (Leipzig, 1962), p.77. D'aprés quelques auteurs ce n'est pas l'administration du baptême qui constitue la note caractéristique de l'activité de saint Jean-Baptiste mais l'exhortation au repentir. Pour ceci voir: P. Vielhauer, RGG, iii, 804–9; H. Thyen, Bάπτισμα μενανοίας είς άϕεσιν άμαρτιῶν (Zeit und Geschichte: Dankesgabe an Rudolf Bultmann) (Tubingen, 1964), p. 97.Google Scholar
page 262 note 1 ‘V. 2 wird so zu erklären sein—dit P. Gächter—daß Matth. das Wort Jesu entlehnt und als formelles Zitat dem Täufer in den Mund gelegt hat, um die Verkündigung des Täufers nach ihrem vollen Gehalt zu kennzeichen’ (Das Matthäus-Evangelium (Innsbruck, 1963), p. 84 ns.).Google Scholar
page 262 note 2 Cf.P. Gachter, ibid. p. 85; Marxsen, W., Der Evangelist Markus. Studien zur Redaktionsgeschichte des Evangeliums (Forschungen zur Religion und Literatur des Alten und Neuen Testaments 67) (Göttingen, 1959 2), P. 30, n. 4.Google Scholar
page 262 note 3 Schnackenburg, Voir R., Gottes Herrschaft und Reich (Freiburg-Basel-Wien, 19612), p. 60; G. Bornkamm, Enderwartung und Kirche im Matthäusevangelium (The Background of the New Testament and its Eschatology—Studies in Honour of C. H. Dodd) (Cambridge, 1956), p. 223.Google Scholar
page 262 note 4 Ibid.
page 262 note 5 Schmid, J., Das Evangelium nach Matthäus (Regensburger Neues Testament 1) (Regensburg, 1959 4) P. 56.Google Scholar
page 263 note 1 Schniewind, J. dit à ce propos: ‘Schon im Wort des Täufers war Gottes Handeln die Voraussetzung der Umkehr: wendet euch zu Gott, denn Gott wendet sich jetzt zu euch’ (Das Evangelium nach Matthäus, p. 33).Google Scholar
page 263 note 2 Thyen, Voir H., Bάπτισμα μετανοíας, p. 97, n. 2.Google Scholar
page 263 note 3 Schniewind, Voir J., Das Evangelium nach Matthäus, p. 33.Google Scholar
page 263 note 4 Cf. Lohmeyer, E., Das Evangelium des Markus (Krit. exeget. Kom. überdas N.T. 1, 2) (Gottingen, 1959 15), pp. 14 s.; M. Dibelius, RGG 3, in, 315; J. Schniewind, Das Evangelium nach Markus, p. 10; E. Klostermann, Das Markus-Evangelium, p. 10.Google Scholar
page 264 note 1 Par exemple: Clem. Al.; Euseb.; Orig.; versio Afra, Syrsin; Syrcur etc. Pour ceci voir J. Behm, ThWNT, iv, 996, n. 154.Google Scholar
page 264 note 2 Schniewind, Voir J., Das Evangelium nach Matthäus, p. 33.Google Scholar
page 265 note 1 Isolée est aussi la construction: πιστεύετε έν τῷ εύαγγελíῳ au lieu de π. τῷ εύαγγελíῳ. Les textes qu'on cite bien souvent comme paralléles, en réalité ne sont pas paralléles. L'allusion au Ps. nous paraît la plus probable. II faut reconnaître pourtant, que ce verset du Psaume, ainsi que d'autres textes cités parfois à cette occasion (par ex. Ps. lxxvii (lxxviii). 22; Jr. xii. 6; Deut. i. 32) révélent aussi quelques variantes et c'est c'e qui donne des divergences avec Marc.Google Scholar
page 265 note 2 AinsiJ., Weiss, Das älteste Evangelium. Ein Beitrag zum Verständnis des Markus-Evangeliums und der ältesten evangelischen Überlieferung (Gottingen, 1903), p. 31; E. Lohmeyer, Das Evangelium des Markus, pp. 30 s.Google Scholar
page 265 note 3 ‘Eine ganz sekundäre Bildung unter dem Einfluß der spezifisch christlichen Terminologie…’ (Bultmann, R., Die Geschichte der synoptischen Tradition (Berlin, 1961 4), p. 124); voir aussi G. Friedrich, ThWNT, ii, 725.Google Scholar
page 265 note 4 Der Evangelist Markus. Studien zur Redaktionsgeschichte des Evangeliums.Google Scholar
page 266 note 1 Il est done clair que le terme εύαγγέλιον a été introduit dans la tradition synoptique par saint Marc, ce qui s'harmoniserait bien avec l'opinion de plusieurs exégétes selon qui Jésus lui-même n'a jamais employé ce terme.Google Scholar
page 266 note 2 Il est bien probable que Luc non seulement a été influencé par Marc mais c'est pour les mêmes raisons qu'il n'a pas cité directement cette formule résumant briévement l'enseignementde saint Jean.Google Scholar
page 266 note 3 Marxsen, W., Der Evangelist Markus, pp. 95–8.Google Scholar
page 267 note 1 Voici ce que dit à ce propos H. Schürmann: ‘Lk. iv. 14–15, 16 ist deutlich ein Torso, erklärt sich mit seinen Unebenheiten am besten als Rudiment eines ursprünglich umfassenderen Berichtes, dessen Elemente hier—nicht ganz geschickt verleimt—stehengeblieben sind’, Der ‘Bericht vom Anfang’. Ein Rekonstruktionsversuch auf Grund von Lk. iv. 14–16 (Studia Evangelica, edit, by Cross, F. L.Berlin, 1964), p. 244.Google Scholar
page 267 note 2 Pour ceci voir A. W. Argyle, ‘The Theory of an Aramaic Source in Acts ii. 14–40’, JThS, iv (1953), 213 ss.Google Scholar
page 267 note 3 Voir aussi: Cerfaux, L., ‘La composition de la premiére partie du Livre des Actes’, ETL, xiii (1936), 672; P. de Ambroggi, ‘I discorsi di S. Pietro negli Atti: realtà storica o finzione letteraria?’, Sc. Cat. lvi (1928), 81–97, 161–86.Google Scholar