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Le Livre de la Sagesse dans le Nouveau Testament
Published online by Cambridge University Press: 05 February 2009
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‘Il y a beaucoup de raisons d'affirmer — constatait G. Kuhn il y a plusieurs années déjà — que le livre de la Sagesse jouissait d'une grande estime chez les auteurs du Nouveau Testament. On le lisait assidûment et ses traces se retrouvent aujourd'hui aussi bien chez saint Paul que dans l'Apocalypse, dans les Evangiles et, peut-être, dans I'Epître aux Hébreux et dans l'Epître de Jacques.’
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- Copyright © Cambridge University Press 1968
References
page 498 note 1 ‘Beiträge zur Erklärungdes Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXVIII (1929), 338 s. Lagrange, Voir aussi M. J., ‘Le livre de la Sagesse. Sa doctrine des fins dernirères’, R.B. IV (1907), 104. E. Gärtner a dressé la liste de 38 termes que l'on rencontre seulement dans le livre de la Sagesse et dans le Nouveau Testament, voir: Komposition und Wortwahl des Buches der Weisheit (Berlin, 1912), pp. 107–229.Google Scholar
page 499 note 1 Mais il ne manque pas d'exégètes qui cherchent l'explication du texte de Mat. 11, 19 dans le livre de la Sagesse. Feuillet, Voir aussi A., ‘Jésus et la Sagesse divine d'après les évangiles synoptiques’, R.B. LXII (1955), 161–96.Google Scholar
page 499 note 2 Cf. Th.W.N.T. VII, 516.
page 499 note 3 ‘De même que la Sagesse décline en quelque sorte ses titres de noblesse pour amener les hommes à suivre ses enseignements, de même Jésus souligne ses relations ineffables et uniques avec le Père pour pousser ses auditeurs à se faire ses disciples’, ‘Jésus et la Sagesse divine d'après les évangiles synoptiques’, R.B. LXII (1955), 180. Voir aussi G. Ziener, Bibeltheol. Wörterbuch, p. 1220.
page 499 note 4 Cf Kuhn, G., ‘Beiträge zur Erklärung des Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXVIII (1929), 336.Google Scholar
page 500 note 1 Par exemple:Braun, F. M., ‘L'arrière-fond judaïque du quatrième Evangile et la Communauté de l'Alliance’, R.B. LXII (1955), 5–44;Google ScholarBrown, R. E., ‘The Qumran Scrolls and Johannine Gospel and Epistles’, C.B.Q. XVII (1955), 403–19, 559–74.Google Scholar
page 500 note 2 Pour plus de détails, Ziener, voir G., Die theologische Begriffssprache im Buche der Weisheit (Bonner Biblische Beiträge, 11) (Bonn, 1956), pp. 85–7. Voir aussi, inaperçu par G. Ziener, l'article de A. Drubbel, ‘Le conflit entre la Sagesse profane et la Sagesse religieuse’, Bb, XVII (1936), 45–70, 407–28. Jugeant toute la littérature sapientielle cet auteur constate: ‘La source immédiate de la littérature sapientiale sera bien à chercher dans le même milieu, chez le même peuple qui nous a donné les livres prophétiques et la Pentateuque’ (art. cit. p. 419).Google Scholar
page 500 note 3 C'est depuis longtemps qu'on apercevait la ressemblance de la doctrine de saint Jean sur le Logos avec les renseignments du livre de la Sagesse sur la nature et les vertus de la Sagesse (vii. 12, 22; viii. 5; ix. 4, 9, 10). Voir aussi P. Heinisch, Theologie des Alten Testaments, p. 83; F. M. Braun, Jean le théologien. Les grandes traditions d'Israël. L'accord des Ecritures d'après le quatrième Evangile (Paris, 1964), II, 137–53.
page 500 note 4 ‘Weisheitsbuch und Johannes-Evangelium’, Bb XXXIII (1957), 396–418; XXXIX (1958), 37–60. Dillon, Voir aussi R.J., ‘Wisdom Tradition and Sacramental Retrospect in the Cana Account (Jn ii. 1–11)’, C.B.Q. XXIV (1962), 268–96.Google Scholar
page 500 note 5 ‘How did John Treat his Sources?’, J.B.L. LXXIII (1954), 61–75.
page 501 note 1 Dillon, Voir R. J., ‘Wisdom Tradition and Sacramental Retrospect in the Cana Account (Jn ii. 1–11)’, C.B.Q. XXIV (1962), 268–96.Google Scholar
page 501 note 2 Dans l'Evangile de Jean, c'est surtout le mot Ψυχ⋯ qui exprime I'idée de la vie terrestre. Cf. F. Mussner, Zoë. Die Anschauungen vom ‘Leben’ im vierten Evangelium (München, 1962), pp. 171–6. Le terme ʓω⋯ signifie d'habitude la vie éternelle. Dans le livre de la Sagesse le terme ʓω⋯ est assez rare. Plus souvent on y rencontre le mot β⋯ος. Pour exprimer l'idée de la vie éternelle l'auteur du livre de la Sagesse possède deux termes: ⋯θαναο⋯α et ⋯φθανασ⋯α. Cf Weisengoff, J. P., ‘Death and Immortality in the Book of Wisdom’, C.B.Q. III (1941), 122 nn.;Google ScholarBückers, H., Die Unsterblichkeitslehre des Weisheitsbuches. Ihr Ursprung und ihre Bedeutung (Münster, 1938), p. 17 nn.Google Scholar
page 503 note 1 Burrows, Voir M., More Light on the Dead Sea Scrolls (New York, 1959), p. 130;Google ScholarBrown, R. E., ‘The Qumran Scrolls and the Johannine Gospel and Epistles’, C.B.Q. XVII (1955), 571;Google ScholarBraun, F. M., ‘L'arrière-fond judaïque du quatrième évangile et la Communauté de l'Alliance’, R.B. LXII (1955). 31 s., 44.Google Scholar
page 503 note 2 Cf Windisch, H., Die göttliche Weisheit der Juden und die paulinische Christologie (Neutest. Studien für G. Heinrici) (Tübingen, 1914), pp. 220–34; du même auteur: Die Weisheit und die paulinische Christologie (Untersuchungen zum Neuen Testament) (Leipzig, 1912);Google ScholarGraffe, E., Das Verhältnis der paulinuchen Schriften zur Sap. Sal. (Theol. Abh. f. C. v. Weizsäcker) (Berlin, 1892), pp. 251–86; U. Wilckens, Th.W.N.T. VII, 518–25;Google ScholarMichel, O., Paulus und seine Bibel (Gütersloh, 1929); H. St J. Thackeray, The Relation of St Paul to Contemporary Jewish Thought (London, 1900);Google ScholarRoberts, B. J., ‘St Paul and the Book of Wisdom’, The Intemat. Journ. of Apocrypha (July 1909);Google ScholarEllis, E. E., Paul's Use of the Old Testament (Grand Rapids, 1957), pp. 77–80;Google ScholarCastellino, G., Il paganesimo di Romani 1, Sapienza 13–14 e la storia delle religioni (Studiorum Paulinorum Congressus Internationalis Catholicus) (Rome, 1961), II, 255–63; Emmanuele da S. Marco, L'ira di Dio si manifesta in ogni genere di empietà e di ingiustizia (Rom. i. 18)Google Scholar, Ibid 1, 259–69; Gunkel, H., Wirkungen des Heiligen Geistes (Göttingen, 1899)Google Scholar
page 503 note 3 Die Entstehung der Weisheit Salomes (Göttingen, 1913), pp. 113–26.
page 503 note 4 Komposition und Wortwahl des Buches der Weisheit (Berlin, 1912), pp. 37–46.
page 503 note 5 Wirkungen des Heiligen Geistes (Göttingen, 1899), p. 76.
page 503 note 6 ‘Die Stellung der Sapientia Salomonis in der Literatur und Geistgeschichte ihrer Zeit’, Z.N.W. XXXVI (1937), 113–32.
page 503 note 7 Auferstehungshoffnung und Pneumagedanke bei Paulus (Leipzig, 1912), p. 191.
page 503 note 8 ‘Beiträge zur Erklärung des Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXVIII (1929), 334–41.
page 503 note 9 Exégèse rabbinique et exégès paulinienne(Paris, 1939), p. 192.
page 503 note 10 Paulus und das Judentum (Societas orientalis Fennica, Studia orientalia 11) (Helsinki, 1928), pp. 1–87.
page 503 note 11 Le péché originel dans l'Ecriture (Lectio divina 20) (Paris, 1958), pp. 96–103.
page 503 note 12 Paulus und seine Bibel (Gütersloh, 1929), pp. 32–7.
page 503 note 13 P. Heinisch fait observer: ‘Die zahlreichen Übereinstimmungen und Anklänge beweisen daß der Apostel das Buch oft gelesen hat, und daß er es in derselben Weise benutzt wie andere alttestamentliche Schriften, so hat er es für ebenso heilig gehalten wie diese’. Das Buch der Weisheit, xliii; voir aussi J. Weber, Le livre de la Sagesse, p. 397.
page 504 note 1 Das Verhältnis der paulinischen Schriften zur Sapientia Salomonis (Theologische Abhandlungen für C. von Weizsäcker) (Freiburg, 1892), pp. 251–86.
page 504 note 2 Life and Work of Paul (London, 1879), 11, 643 ss.
page 504 note 3 The Relation of St Paul to Contemporary Jewish Thought (London, 1900), p. 78.
page 504 note 4 A Critical and Exegetical Commentary on the Epistle to the Romans (ICC) (Edinburgh, 19605), pp. 267–9.
page 504 note 5 Saint Paul. Epître aux Remains (Bible de Jérusalem) (Paris, 19592) (vol. séparés), p. 90, n. b.
page 504 note 6 Péhé d'Adam et péché du monde (Théologie 48) (Paris, 1961), 11, 268.
page 504 note 7 Ibid 11, 268. Voir aussi A. M. Dubarle, Le péché originel dans l'Ecriture, p. 91, mais avec réserve quant à la dépendance doctrinale. Cf Michel, O., Der Brief an die Römer (Krit.-exeget. Kom. über das NT) (Göttingen, 1957 11), p. 122.Google Scholar
page 504 note 8 Voir Appendice II (‘Le péché originel et l'exégèse de Rom. v. 12–14’), cf. J. Huby, Saint Paul, Epître aux Romains (Verbum Salutis x) (Paris, 1957), p. 526 s.; voir aussi D.B.S. VII, 535. Si saint Augustin nie si énergiquement un parallélisme quelconque entre Rom. v. 12 et Sg. ii. 24, c'est parce que l'évêque d'Hippone — dit le P. Lyonnet — pensait qu'un tel parallélisme favoriserait l'interprétation pé1agienne de la doctrine paulinienne sur le péché originel.
page 504 note 9 Cf. S. Lyonnet, Le péché originel el l'exégèse de Rom. V. 12–14, P. 526, n. 1.
page 504 note 10 Cf. Strack–Billerbeck à propos de Rom. v. 12.
page 504 note 11 Lyonnet, Voir S., ‘Le sens de; πειρ⋯ʓειν en Sap. ii. 24 et la doctrine du péché original’, Bb, XXXIX (1958), 27 n. 2;Google ScholarKühl, E., Der Brief des Paulus an die Römer (Leipzig, 1913), p. 272;Google ScholarKuss, O., Der Römerbrief (Regensburg, 1957), 1, 227.Google Scholar
page 504 note 12 A. M. Dubarle fait la remarque suivante: ‘C'est pourquoi ce verset a pu être compris comme préludant à Saint Paul: Par un seul homme le péché est entré dans le monde (Rom. v. 12). La ressemblance presque totale des expressions invite à supposer une pensée semblable’ (Le péché originel dans l'Ecriture, p. 91); de même L. Ligier: ‘Il [Paul] emprunte à cette fin à Sag. ii. 24 la formule qui, introduisant la mort dans le monde, ne mentionnait alors que ce régne’ (Péché d'Adam et péché du monde, 11, 268).
page 505 note 1 ‘En bonne méthode, une exégèse de Rom. v, 12 doit done tenir grand compte de Sap. 11, 24: reproduire le texte même du livre de la Sagesse, c'était équivalemment se référer à ce passage qui constituait d'ailleurs à ses yeux le plus authentique commentaire du récit de la Genèse’ (S. Lyonnet, DBS, VII, 536).
page 505 note 2 En soutenant l'hypothèse de la citation consciente du livre de la Sagesse ii. 24 dans Rom. v. 12, nous faisons abstraction du problème des points d'accord ou de désaccord entre saint Paul et l'auteur du livre de la Sagesse quant à la nature de la mort et aux causes de son entrée dans le monde. Pour ceci, voir A. M. Dubarle, Le péché originel dans l'Ecriture, pp. 91–8. ‘La dépendance littéraire de Paul — écrit A. Feuillet — à l'endroit du Pseudo-Salomon est done indubitable, et l'on s'étonne de la voir si rareraent signalée’ (Le Christ Sagesse de Dieu d'après les épîtres pauliniennes, p. 336).
page 505 note 3 Cf Prat, F., La théologie de saint Paul (Paris, 1930 20), pp. 490 ss.Google Scholar
page 505 note 4 Cf. E. Grafe, Das Verhältnis der paulinischen Schriften zur Sapientia Salomonis, p. 269; Feuillet, A., ‘La connaissance naturelle de Dieu par les hommes d'après Rom. i. 18–23’, LV XXXII (1954), 207–24; ‘De tous les écrits pauliniens, l'épître aux Romains contient les plus nombreuses allusions au livre de la Sagesse’ (S. Lyonnet, DBS, VII, 536).Google Scholar
page 505 note 5 Cf. L. Ligier, Péché d' Adam et péché du monde, 11, 177.
page 505 note 6 Pour les raisons que nous venons d'énumérer, cette indépendance est soutenue par F. Focke, Die Entstehung der Weisheit Salomos, p. 117, et par O. Michel, Paulus und seine Bibel, pp. 19 ss., 291.
page 506 note 1 ‘In conclusione, quanto al contenuto, Sapienza e Romani, nonostante una piccola sfasatura al principio e alla fine, presentano una concordanza sostanziale’ (G. Castellino, Il paganesimo di Romani 1, Sapienza 13–14 e la storia delle religioni (Studiorum Paulinorum Congressus Internationalis Catholicus (Rome, 1961), 11, 260).
page 506 note 2 Ibid n. 1.
page 506 note 3 Bonsirven, J., Exégèse rabbinique et exégèse paulinienne (Paris, 1939), p. 288, et H. Duesberg, Les Scribes inpirés (Paris, 1939), II, 561, ne voient aucun lien entre Rom. i. 18 et Sg. xiv. 22–31.Google Scholar
page 507 note 1 Kuhn, G., ‘Beiträge zur Erklärung des Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXVIII (1929), 339.Google Scholar
page 507 note 2 H. W. Schmidt remarque: ‘Die Worte χρηστ⋯της, χρηστ⋯ν und μακροθυμ⋯α weisen deutlich auf Weish. 15, 1 hin’ (Der Brief des Paulas an die Römer, p. 43, n. 3; cf. O. Kuss, Der Römerbrief, p. 63).
page 507 note 3 Cf Goodspeed, E. J., Index patristicus sine Clavis Patrum Apostolicorum (Naperville, 1907).Google Scholar
page 507 note 4 Cf. S. Lyonnet dans J. Huby, Saint Paul, L'Epître aux Remains, p. 579.
page 508 note 1 Kuhn, Voir G., ‘Beiträge zur Erklärung des Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXXIII (1929), 339; E. Grafe, Das Verhältnis der paulinischen Schriften zur Sapientia Salomonis, p. 266. Cet auteur fait remarquer aussi l'existence d'autres parallèles assez importantes: même façon de présenter la toutepuissance de Dieu et la faiblesse de l'homme, même bienveillance de Dieu envers les pécheurs, mêmes effets déplorables du culte des idoles, même relation entre l'âme et la chair.Google Scholar
page 509 note 1 A. Feuillet termine ainsi ses réflexions sur le texte I Cor. ii. 6–8: ‘La pensée paulinienne s'alimente à des sources variées: tradition chrétienne primitive… le judaïsme alexandrin avec en particulier ses spéculations sur la Sagesse…’: Les ‘chefs de ce sièle’ et la Sagesse divine d'après I Cor. ii. 6–8 (Studiorum Paulinorum Congressus Internationalis Catholicus (1961) (Rome, 1963), 1, 383).
page 509 note 2 Cf Kuhn, G., ‘Beiträge zur Erklärung des Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXVIII (1929), 339.Google Scholar
page 510 note 1 Le Christ Sagesse de Dieu d'après les épîtres pauliniennes, pp. 87–112. Bourke, Voir aussi M. M., The Eucharist and Wisdom in First Corinthians (Studiorurm Paulinorum Congressus Internationalis Catholicus) (Rome, 1963), I, pp. 367–81.Google Scholar
page 511 note 1 ‘En raison des emprunts qu'auparavant, dans I Cor., l'Apôtre a déjà faits à la littérature de Sagesse, et spécialement à la Sagesse du Pseudo-Salomon, il nous semble absolument exclu que les rencontres verbales que nous venons de signaler puissant être l'effet du hazard’ (A. Feuillet, Le Christ Sagesse de Dieu, pp. 151 s.).
page 511 note 2 Bonnefoy, Voir I., La primauté du Christ selon l'Ecriture et la tradition (Rome, 1959), pp. 90–120;Google ScholarConzelmann, H., ‘Paulus und die Weisheit’, N.T.S. XII (1966), 231–44;Google ScholarWindisch, H., Die Weisheit und die paulinische Christologie (Untersuchungen zum Neuen Testament) (Leipzig, 1912);Google ScholarKnox, W. L., St Paul and the Church of the Gentiles (Cambridge, 1939), chap, III, IV, V, VII. Le caractère sapiential de la christologie de Paul est présenté pour la premiére fois de façon détaillée et systématique dans l'œuvre monumentale de A. Feuillet, Le Christ Sagesse de Dieu d'après les Epîtres pauliniennes, passim.Google Scholar
page 512 note 1 Feuillet, Voir A., ‘L'explication typologique des événements du désert en I Cor. x. 1–4’, Studia Montis Regii, VIII (1965), 115–35.Google Scholar
page 512 note 2 ‘Le meilleur commentaire de la phrase de Colossiens est probablement Sg. vii. 25 sq….’ (L. Cerfaux, Le Christ dans la Théologie de Saint Paul, p. 387). Büchsel, Voir aussi F., Theologie des Neuen Testaments (Güitersloh, 1937), p. 200.Google Scholar
page 513 note 1 Conzelmann, Voir H., ‘Paulus und die Weisheit’, N.T.S. XII (1966), 231–44; L. Cerfaux, Le Christ dans la théologie de Saint Paul, p. 207. Pour certaines ‘couches’ des idées empruntées par Paul à la tradition ancienne, voir Fr. Mussner, ‘Schichten in der paulinischen Theologie dargetan an I Kor. 15’, B.Z.. IX (1965), 64.Google Scholar
page 513 note 2 Voir, ‘Beiträge zur Erklärung des Buches der Weisheit’, Z.N.W. XXVIII (1929), 335–9.Google Scholar
page 513 note 3 Voir, ‘La Sagesse et les origines de la christologie’, R.Sc.Ph.Th. XXI (1932), 54–67.Google Scholar
page 513 note 4 Ibid.
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