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Philosophie du droit international: Suárez, Grotius et épigones

Published online by Cambridge University Press:  19 April 2010

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Parce qu'il aura été le premier républicain convaincu et s'avouant tel, d'aucuns ont accusé Francisco Suárez, le «prince des juristes modernes», d'être un grand antimonarchiste, voire le premier régicide.

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Review Article
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References

1 RICR, no 797, septembre-octobre 1992, pp. 430–449.

2 Voir mon article intitulé «L'École espagnole du nouveau droit des gens», dans RICR no 797 de septembre-octobre 1992. J'écrivais notamment, p. 456: «Vitoria, d'une façon circonstanciée, et Suárez, de manière plus générale, jetèrent les bases de la philosophie du droit, quel qu'il soit».

3 Les confessions, Livre neuvième, Éditions GF-Flammarion, Paris, 1968, vol. II, p. 177.

4 Cicéron fut également le premier à parler du «jus bellicum, fidesque jurisjurandi», dans De Officiis, livre III, chapitre XXIX, formulation s'apparentant à «pacta sunt servando».