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Philosophie du droit international: Suárez, Grotius et épigones
Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
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Parce qu'il aura été le premier républicain convaincu et s'avouant tel, d'aucuns ont accusé Francisco Suárez, le «prince des juristes modernes», d'être un grand antimonarchiste, voire le premier régicide.
- Type
- Review Article
- Information
- International Review of the Red Cross , Volume 79 , Issue 827: Dossier. Vingt ans de Protocoles additionnels , October 1997 , pp. 577 - 591
- Copyright
- Copyright © International Committee of the Red Cross 1997
References
1 RICR, no 797, septembre-octobre 1992, pp. 430–449.
2 Voir mon article intitulé «L'École espagnole du nouveau droit des gens», dans RICR no 797 de septembre-octobre 1992. J'écrivais notamment, p. 456: «Vitoria, d'une façon circonstanciée, et Suárez, de manière plus générale, jetèrent les bases de la philosophie du droit, quel qu'il soit».
3 Les confessions, Livre neuvième, Éditions GF-Flammarion, Paris, 1968, vol. II, p. 177.
4 Cicéron fut également le premier à parler du «jus bellicum, fidesque jurisjurandi», dans De Officiis, livre III, chapitre XXIX, formulation s'apparentant à «pacta sunt servando».
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- Cited by