^{page 691 note 1} Voir notamment : Salle, Archives de méd. et pharm. militaires, 1914.

^{page 692 note 1} Judet. Soc. des chirurgiens de Paris, 21 mai 1915. Chirurgie à la guerre dans les ambulances de l'avant.

^{page 692 note 2} A. Carrel et ses collaborateurs, Acad. de Médecine, 30 octobre 1915.

^{page 692 note 3} Uffoltz. Arch. méd. et pharm. militaires, janvier 1916.

^{page 693 note 1} Voir, notamment, Presse médicale de Paris, Nos de 1914 à 1919.

^{page 693 note 2} Etude histologique des premiers stades de l'évolution des blessures, 30 août 1915, réunion médicale de la VI^me Armée française. (Voir Presse médicale, 1915).

^{page 696 note 1} Longuet, Archives de méd. et pharm. militaires, février, 1919.

^{page 697 note 1} H. Vincent. Soc. de chirurgie, 18 juillet 1917. Sur le pansement prophylactique des plaies au poste de secours.

^{page 698 note 1} Lettre du Service de santé de l'armée anglaise, le 24 mars 1928.

^{page 698 note 2} Lettre du Service de santé de la Reichwehr, 30 mars 1928.

^{page 700 note 1} Quénu, Soc. de chirurgie, 11 octobre 1916, Paris.

^{page 701 note 1} Le traitement des plaies de guerre par les solutions antiseptiques très diluées. Acad. de Méd., 31 janvier 1915. M. J. Danysz, Paris.

Voir aussi Presse médicale, 15 avril 1916 : La chimiothérapie dans le traitement des plaies de guerre.

^{page 701 note 2} Le traitement abortif de l'infection des plaies de guerre. Acad. Méd., 5 oct. 1915. A. Carrel, avec la collaboration de Mrs Dakin, Daufresne, Dehelly et Dumas.

^{page 701 note 3} Au sujet de l'emploi de certaines substances antiseptiques dans le traitement des plaies infectées: H. Dakin, CR. Acad. Sciences, 2 août 1915 et Presse médicale, 30 septembre 1915.

^{page 701 note 4} Presse médicale, 27 sept. 1915. La cytophylaxie.

^{page 702 note 1} Le sérum polyvalent dans le traitement des plaies et des infections consécutives. Arch. méd. et pharm. militaires, 66–1916.

^{page 702 note 2} Sur le traitement immédiat des plaies de guerre par les solutions concentrées de NaCl. Soc. de chirurgie, 12 mai 1915.

^{page 703 note 1} Des eczémas artificiels durables causés autour des plaies de guerre par l'abus des antiseptiques. Presse médicale, 14 février 1916.

^{page 703 note 2} Réunion médicale de la IIme Armée Française, 17 juillet 1915. « Du choix des antiseptiques dans le traitement des plaies infectées ».

^{page 704 note 1} Soc. de biologic 14/12–18. « Le problème de l'antisepsie chirurgicale dans les différentes variétés de plaies de guerre ». L. Bazy et Fauré-Frémiat.

^{page 705 note 1} Medical History of the War (Official History-Chapter XII).

^{page 707 note 1} Faut-il recourir à l'asepsie ou à l'antisepsie dans le traitement des plaies fraîches ? Beiträge zur klinischen Chirurgie, T. C, fasc. I. 1916. p. 19.

^{page 710 note 1} Revue générale des Sciences. L. Leroux, mars 1928.

^{page 711 note 1} Schumacher a démontré expérimentalement, d'autre part, que des substances tout à fait insolubles dans l'eau peuvent pénétrer intégralement dans l'intérieur de certaines cellules.

^{page 711 note 2} Bibliographie du chimisme de la désinfection :

Richard Edwin Lee et Gilbert : Chemistry, 1918, t. XXII. Gutstein : Oentralblatt f. Bakter, 1927, CIV; bibliographie importante, 1925, XCV.

Vermast : Bioch. Zeitsch., 1921, T. 89, etc., etc.

^{page 712 note 1} « L'osmose comme facteur important dans l'action des antiseptiques », Surgery Gynecology and Obstetrics, vol. XII, 1911, pp. 262–278Google Scholar.

^{page 712 note 2} La justification de l'emploi de l'alcool dans la désinfection des mains. E. Marquis. Presse médicale, 11 janvier 17 (Voir aussi la bibliographie concernant la désinfection des mains en chirurgie).

^{page 712 note 3} « Technique d'étude de la pénétration des antiseptiques en milieux solides ». MM. P. Carnot et J. Dumart, dans le but de déterminer les conditions de pénétration des antiseptiques au niveau des plaies, ont recherché d'abord leur diffusion en milieux solides et se sont adressés à cet effet à la gélose. La technique qu'ils décrivent (voir le mémoire) fixe numériquement la diffusion et partant, la valeur stérilisante de l'antiseptique employé. Soc. Bio. 14/12 18.

^{page 713 note 1} Voir notamment, Kenneth Taylor : « La spécificité en matière d'antiseptique ». Archives méd. et pharm. militaires, 67–1917.

^{page 714 note 1} Les chiffres représentent des pourcentages du liquide. Vu que ce liquide est composé d'aprés une formule compliquée, il est difficile de déterminer la valeur bactéricide exacte de chacun de ses constituants.

^{page 714 note 2} …De l'emploi alternatif des antiseptiques par Ch. Richet, Acad. Sc, nov. 1916.

^{page 714 note 3} H.-P. Goodrich, Brit. Med., I 647, 19 mai 1917, d'après The Pharm. Journal and Pharmacist (4) XLIV, p. 453, 1917.

Journal de pharmacie et de chimie, 7me série, T. XVI, N° 6, 1917, août.

^{page 715 note 1} Au sujet de l'emploi de certaines substances antiseptiques dans le traitement des plaies infectées. Travail du laboratoire de chimie de la Rockefeller Foundation. Hôpital temporaire 21, à Compiègne, par H. Dakin.

C. R. Acad. Sciences, Paris, 2 août 1915 ; Presse médicale, 30 sept. 1915.

^{page 715 note 2} Etude bactériologique faite par Maurice Daufresne.

^{page 717 note 1} Delbet et Karajanopoulo, loc. cit.; voir aussi : P. Delbet, Action des antiseptiques sur le pus. Acad. Sc., janvier 1916.

— A. Lumière, Action des hypochlorites sur le pus. Acad. Sc., mars 1916.

^{page 717 note 2} «Action des antiseptiques sue les leucocytes polynucléaires du pus ». Réunion médicale de la VIme Armée française, novembre 1915. Presse médicale, 1915.

^{page 718 note 1} Voir notamment :

S. N. Brown. Chem. Trade J. 1923. T 73. N° 1903, p. 545–546. 9. nov. «Etude sur les désinfectants». Résumé des propriétés désinfectantes des antiseptiques les plus connues de l'industrie chimique.

^{page 721 note 1} Voir notamment : J. Pharm. et chimie, mars 1912. — Dr H. Martin. Schw. Apoth. Ztg. 13 avril 1922; Répertoire de pharmacie, 16 mai 1922.

^{page 721 note 2} Droste (Pharm. Zentralhalle, 1914) U. Mauri. Boll. chim. farm. 1922. T. 61, N° 23, p. 737 à 741. 15/12.

^{page 721 note 3} Sur la solubilité de l'iode dans le chloroforme. J. Pharm. chimie, 1924. T. 29 N° 1. 5–8 janvier, par L. Grimbert, M. Malmy, G. Poirot.

^{page 721 note 4} Etude sur les propriétés du tétrachlorure de C et ses applications. G. Groii-Boll. chim. farm. 1922. T. 61, N° 20, 30, 10.

^{page 721 note 5} Société de médecine de Paris, 10 mars 1916. «Les pansements et la teinture d'iode ».

^{page 722 note 1} Sur le monochlorure d'iode ; Fourneau et Dokard-Bull. de Pharmacologie 1920 T. 27 N° 561, p. 629 et Soc. de Biologie, 14/12 1918. Voir aussi : Propriétés antiseptiques et mode d'emploi du monoclilorure d'iode. W. Mestryat et Th. Casalis. Soc. Biologie 14–12–18.

^{page 722 note 2} Acad. Sciences, 10 sept. 17. A. Lumière : l'emploi de l'iodure d'amidon dans le traitement des plaies infectées (essais in vitro et in vivo sur animaux).

^{page 722 note 3} L'emploi du charbon iodé dans le traitement des plaies iniectées. Dr L. Lemaire ; Presse méd., 18/2. 1915.

^{page 723 note 3} Traitement des blessures de guerre graves et compliquées par l'iode colloïdal électrochimique. Dr Auregau, Le Caducée, 1915, 15 septembre, pp. 116–118.

^{page 723 note 1} Pansement individuel à l'iode naissant solubilisé. Montpellier, 23/12, 1914. Imaginé par MM. Fonzes-Diacon et Astruc, de Montpellier, Soc. de chirurgie, 3 mars 1915 et Soc. chimique de France.

^{page 723 note 2} Voir également le pansement individuel espagnol « Cambronero ». Revue internationale de la Croix-Rouge, janvier 1927.

^{page 725 note 1} La bibliographie des travaux parus sur le vioforme est déjà très. abondante. Citons notamment :

Recherches bactériologiques et cliniques sur le vioforme. Prof. Tavel. Zeitschrift für Chirurgie, 558- B.LV.

Blake. « Vioforme ». Inaugural-Dissertation, Bonn, 1902.

Tavel, E. « Bakteriologisches und Klinisches über Vioform ». Deutsche Zeitschrift für Chirurgie, Vol. 55, p. 558, 1900.

Thomann, J. « Ueber chemische und physikalische Eigenschaften des Vioform-Sterilisation von Vioformpulver und Vioformgazen. Quantitative Untersuchung von Vioform und Vioformverbandstoffen». Schweizer Wochenschrift für Chemie und Pharmazie, N° 27, p. 361–366, 1905.

Brunner, Conrad, v. Gonzenbach und Ritter. «Experimentalle Untersuchungen über Erdinfektion und Antiseptik. Ein Beitrag zur richtigen Einschatzung der chemischen Wund-Antiseptik.»

Brun's Beiträge zur klmischen Chirurgie, Vol. CXI, H. 3, p. 572–684, 1918.

Chirurgie. — C. Arnd. «Nos expériences sur le traitement de la tuberculose chirurgicale». Correspondenz-Blatt f. Schweizer Aerzte, N° 26, p. 803, 1914.

Ophtalmologie. — A. Dutoit: « Expériences thérapeutiques sur le Vioforme dans quelques affections et lésions de la cornée et du chorion ». Arch. f. Augenheilkunde, t. 75, p. 228, 1913.

Oto-rhino-laryngologie. — A. Schönemann: « Affections typiques du domaine oto-rhino-laryngologique et leur traitement par le praticien ». Sehweiz. med. Wochenschrift, N° 11, p. 269, 1922.

Gynécologie. — A. Lebreton: « Note sur l'emploi du Vioforme en gynécologic ». Journal de médecine interne du 20 mai 1913.

Dermatologie et vénéréologie. — J. Hochsttäter: « Le vioforme en dermatologie ». Dermatol. Wochenschrift, N° 10, p. 282, 1913.

M. Dumesnil: « A propos du traitement de l'eczéma ». Le Courrier médical, N° 27, p. 313, 1921.

R. Péiissier: « Quelques applications du vioforme en vénéréologie». Gazette des Hôpitaux, N° 47, p. 722, 1911.

^{page 727 note 1} Voir notamment, Haegler, Sur l'Airol - Bruns Beiträge zur klinischen Chirurgie 1897, Vol. 15, N° 1. — Etude sur l'action antiseptique, la toxicité sur l'animal et l'efficacité de l'airol sur l'animal et en clinique.

^{page 727 note 2} Soc. Biologie, 14/12–18.

^{page 727 note 3} Arch. méd. et ph. milit., 69–1918–720.

^{page 729 note 1} H. Vincent, loc. cit., 18 juillet 1917.

^{page 729 note 2} Latouche : Archives de méd. et pharm. militaires, février 1919.

^{page 730 note 1} Mode de préparation de l'hypochlorite de soude chirurgical, différence entre la solution de Dakin et celle de Labarraque, par Maurice Daufresne. Laboratoire du Rockefeller Institute et de l'hôpital temporaire de Compiègne. Presse méd., 23 octobre 1916.

^{page 730 note 2} Préparation et conservation de la liqueur de Dakin. A. Gherli, Pharm. Acta Helv., 1927 - T. 2. N° 5, 85–105 mai. Conclusions : la conservation et l'alcalinité de la solution de Dakin sont en relations étroites.

^{page 731 note 1} Stabilisation de la solution Carrel-Dakin par certaines substances chimiques. Harrison, Amer. Pharm. Assoc. 1924 - T. 13, N° 10, 9.

^{page 731 note 2} Sur l'influence de certaines amides sur la stabilité de la solution de Dakin-J.-C. Krantz ; M. J. Vidal, Amer. Pharm. Association, 1926 T. 15, N° 5, p. 359–362, mai.

^{page 731 note 3} 15 gr. d'eau de Javel dans 1 litre d'eau = 0 gr. 042 % d'hypochlorite de soude, soit 12 fois moins que le Dakin.

^{page 732 note 1} Société de biologie, 25 janvier 1918. Propriétés bactéricides de l'eau chlorée. MM. R. Weissenbach et W. Mestrezat.

Voir encore :

Solutions d'hypochlorite. R. M. Davis et H. A. Langenham, Amer. Pharm. Assoc. 1924 T. 13, N° 1, 34, janvier, N° 2, 127–133, février. N° 3, 219–222, mars. N° 4, 321–330, avril. N° 5, 445–447, mai (contribution à l'étude de tous les antiseptiques cilorés).

^{page 732 note 2} Soc. de biologie, 30 juin 1917. L'action antiseptique des hypochlorites alcalins et en particulier de la solution Dakin-Daufresne, par MM.Noel Fiessinger et René Clague.

^{page 733 note 1} « Substances chlorées antiseptiques propres au traitement des plaies infectées » par Henry Dakin. CR Acad. sciences, 1915, 2 août.

^{page 734 note 1} L'action désinfectante de la chloramine, de Heyden, V., par Supfle, K.. Central Bakt. Paras., juillet 1926, T. 99 1–3Google Scholar.

T., Dichloramine et Salkin, Chloréosan. B., Amer. Pharm. Assoc., 1924, T. 10, N° 7, 613–618Google Scholar, juillet.

Recherches sur la chloramine Heyden. Dr E. Bergin, id. 1924. T. 92, N° 5, 6, 465–569, août… Le mélange avec du sérum diminue naturellement la puissance antiseptique mais cette diminution est moindro qu'avec le sublimé.

Les chloramines de Dakin, par J. Boujault, J. Ph. chem. 15–16, 1917.

Etc. etc.

^{page 735 note 1} H. Thron., loc. cit.

^{page 736 note 1} Danysz. Essais de chimiothérapie et vaccinothérapie dans le traitement des plaies de guerre. Presse médicale, 15 avril 1915.

^{page 736 note 2} H. Dakin. Au sujet de l'emploi de certaines substances antiseptiques dans le traitement des plaies infectées. C. R. Acad. Sc. Paris, 1915, août.

^{page 737 note 1} Voir: analyse du matériel de pansement et de sutures, par MM. Moreau, Le Bourdelles, Al. Jonescu. 3me congrès de meéd. et pharm. militaires, Paris, 1925.

^{page 737 note 2} Sublimat und sein Ersatz bei der Durchtränkung der Verbandstoffe., 1913, bearbeitet in der Medizinal Abteilung des Königlich. Preussichen Kriegsministeriums.

^{page 738 note 1} Action des rayons ultra-violets sur’ le sublimé dissous et sur quelques sels de mercure. Jean Pouguet, Acad. Sc. sept. 1915.

^{page 738 note 2} L'augmentation de l'action antiseptique du sublimé en solution acide. Dr Nagel. Zeitschrift Hygiene-Infektionskrankheiten, 1926. T. 105, 31 Janvier.

^{page 738 note 3} G. Joachimoglu, Bio. chem. Zeitschrift, 1923. T. 154, 5–6 Janvier : « Influence des concentrations des ions hydrogène sur l'action antiseptique du sublimé ».

^{page 739 note 1} L'action bactéricide de l'oxycyanure de Hg. Ph. D. Tomicek et M. U. M. Kredba. Chem. Ztg, 1923. T47, N° 69, p. 489–490, 9 juin.

^{page 740 note 1} Contribution à l'étude de Hg. Fabre et J.Josset, Pharmacie et Chimie, 1923. — T.28, N° 3, 81–89, 1^er août.

^{page 740 note 2} C. R. Acad. Sc, 8 juin 1914.

^{page 740 note 3} W. F. Mackenna et H. A. Fischer. Presse méd., 15 sept. 1920. De l'emploi de l'iodure double de Hg et K pour la désinfection de la peau.

^{page 741 note 1} Le pouvoir germicide comparé du phénol, du Hg Cl, et de l'iodure double de K et de Hg.

J-G. Cadora, Amer. Pharm. Assoc. 1923. T. 22, N° 5, p. 401–405, mai.

^{page 742 note 1} Schamberg, Kolmer et Taiziss (de Philadelphie). Toxicité comparée des différentes préparations mercurielles, The Journal of cutaneous diseases. T. XXXIII, N° 12, 1915, décembre, pp. 819–838).

^{page 743 note 1} Sur l'activité therapeutique de l'or colloïdal et son action sur les globules blancs du sang. C. R. Soc, biol. 1925, T 92, N° 4, 6 février, par V. Conterno.

^{page 745 note 1} Préparée par Benda dans le laboratoire d'Ehrlich.

^{page 745 note 2} Thèse de Bordeaux 1919. M. Jeanaotte. Contribution au traitement des maladies infectieuses par un dérivé argentique soluble.

^{page 746 note 1} La bibliographic des travaux sur le septacrol est très abondante; citons, notamment :

Desfarges. « De l'emploi d'un sel soluble d'argent, le nitrate de diméthyl-diamino-méthyl-acridine-argent dans les infections graves. Le Progrès médical, N° 7, p. 69–72, 1920.

Fehrmann, W. « Septacrol. Experimentelle und klinische Erfahrungen ». Schweizer medizinische Wochenschrift, N° 18, p. 452–57, 1923.

Forgues, E. « Contribution à l'étudo d'un antiseptique nouveau, le Septacrol» (composé argentique soluble). Son emploi dans la peste, la blennorragie ». Bull. génér. de thérapeut. Vol. 170, N° 16, p. 714–725, 1919.

Jeansotte, B. A. J. « Contribution au traitement des maladies infectieuses par un dérivé aregentique soluble, le nitrate double d'argent et de Diméthyl-di-amino-méthyl-acridine. » Thèse de Lyon, 1919. Ref. Gazette des hôitaux, N° 29, p. 460, 1920.

Ritter, A. « Neuere klinische Erfahrungen und experimentelle Ergebnisse bei Tiefeuantisepsis und Chemotherapie ».

Schweizerische medizinische Wochenschrift, N° 2, p. 67–70, 1924.

Ritter, A. und Scheukel, E. « Experimentelle Untersuchungen über die Wirkungen des Sepatorols. (Beitrag zur systematischen Prüfungsmethodik antiseptischer Mittel) ». Zeitschrijt für die gesamte experimentelle Medizin, Vol. 36, N° 1/3, p. 141–152, 1923.

^{page 747 note 1} La bibliographie de la trypaflavine comporte actuellement plus de 300 mémoires. Voir spécialement la très intéressante brochure sur la Trypaflavine éditée par l'I. G., à Francfort s/M.

^{page 747 note 2} Browning, Kenneway, Gulliausen, Thornton…

^{page 748 note 1} Browning, Kenneway, Gulbranson, Thornton : Antiseptiques agissant puissamment avec une faible toxicité pour les tissus. British Med. Journal, 1917.

— C. H. Browning et R. Gulbranson: The antiseptic potency of acriflavine with considerations on the variability of results in testing antiseptices.

^{page 748 note 2} Braun : Prüfungsmethoden der Wundantiseptika im Tierexperiment. Klin. Wochensehr. 1922.

^{page 748 note 3} Kolle : Neue Beobachtungen über die Chemotherapie neuer chemischer Substanzen. Revista Medica de Hamburgo. 5. 1921.

^{page 748 note 4} Ritz et H. Schlossberger : Ueber die Wirkung chemischer Mittel auf Gasbrandbakterien in vitro und in vivo. — Zentralblatt für Bakter. u. Parasitenkunde und Infektionskr., 70–1920.

— Ritz : Zur Wirkungsweise und Anwendung des Trypaflavins, Deutsche Zeitschr. für Ohirurgie, 159–1920.

^{page 749 note 1} « Recherches chimio-thérapeutiques sur les composés de 3–6 diaminoacridine et sur les autres colorants », par O. Schiemann et W. Baumgarten. Hyg. und Infektionskr., 1922, T. 97. No 1–2.

^{page 749 note 2} La bibliographie des travaux parus sur le « rivanol » est très étendue; voir la très intéressante brochure éditée par l'I-G à Francforts/M. et notamment aussi :

Morgenroth, Schnitzer et Rosenberg. Ueber ein neues Antiseptikum (2 aetoxy 6–9-diaminoakridinchlorhydrat). Deutsche med. Wochenschrift, 1921, No 44Google Scholar.

Rosenstein. Ueber chemotherapeutische Antiseptis. (Erfahrungen mit Rivanol-Morgenroth) ibid, 1921, No 44.

R. Klapp. Ueberblick über den gegenwärtigen Stand der Gelenkchirurgie. Berl. klin. Wochenschr., 1921, No 45.

Hartelet v. Kishalmy. Chemotherapeutische Behandlung akuter Eiterung. Deutsche med. Wochenschr., 1921–933. etc., etc.

^{page 751 note 1} Voir notamment:

« Behandlung infizierter Wunden mit Pyoktaningaze », par Dr Blumann.

Beitrag zur therapeutischen Verwendung des Methylviolett. « Therapie der Gegenwart » par Rolf Hey. Berliner klin. Wochenschr., 1917, 2, 1920, No 5.

« Das Pyoktanin in der Kriegschirurgie ». Dr Schrumpf und Dr von Oettingen, Münchener medizinische Wochenschr., 1915–12.

^{page 751 note 2} Le chlorhydrate de quinine en solution comme pansement des plaies infectées. Lancet, 1915, 4 sept., p. 583 et British medical journal. Kenneth-Taylor.

^{page 752 note 1} Nouveaux médicaments du groupe des alcaloïdes de la quinine H. Thron, Zeitschr. für angew. Chemie, T. 37, no 2, p. 17–19, 10 janvier.

^{page 752 note 2} J. Messner, Zeitschr. für angew. Chemie, 1919. No 104, no 102.

32. Nouveaux médicaments importants introduits au cours des quatre dernières années.

^{page 753 note 1} Sur le dosage de l'argent dissous en présence d'argent colloïdal. Pharm. Zentr., 1925, T. 66, No 45.

^{page 753 note 2} L'action antiseptique de l'acide benzoïque, de l'acide salicylique, de l'acide cinnamique et de leurs sels. R. I. Watermann et Kuiper, Rec. Trav. chim., 1924, T. 4323, No 4.

^{page 753 note 3} Recherches sur le pouvoir antiseptique des acides salicylique et benzoïque et sur la valeur antiseptique des papiers salicylés.

Bornand. Techn. Ind. Chem. Ztg., 1925, No 23–24.

^{page 754 note 1} Le traitement des plaies de guerre par les solutions antiseptiques très diluées. C R. Acad. sc. med. de Paris, 13/1, 1915.

Voir aussi : Essais de chimiothérapie et vaccinothérapie dans le traitement des plaies de guerre. J. Danysz. Presse médicale, 15 avril 1915.

^{page 755 note 1} La flore bactérienne des plaies de guerre. Soc. de biologie, 20 nov. 1914.

Voir également : Recherches sur la flore bactérienne des plaies de guerre, H. Teissier. Acad. Med., 31 oct. 1916.

La flore microbienne des blessures de guerre, A. Cayrel. Paris chirurgical. VIII, No 2, 1916, février, p. 81.

La flore bactérienne des plaies récentes par projectiles de guerre, Laerven et Hesse. Münchener medizinische Wochenschrift, T. LXIII, No 19, 9 mai 1916, p. 688, etc., etc.

Bactériologie des plaies de guerre au début. M. Saquépée. Arch. méd. et pharm. militaires, 67–1917.

^{page 757 note 1} Intoxication par pansement boriqué. Savariaud, Acad. Med. Paris, 28 juillet, 14.

^{page 757 note 2} Il s'agit ici de francs-or.

^{page 760 note 1} Le pansement japonais est au sublimé: 0.75 ‰ (avec du chlorure de potassium). Il est coloré en rose par de la phloxine qui est le sel alcalin de la tétrabromo-tétrachlorofluorescéine (C₂₀ H₄ Cl₄ Br₄ O₅); l'éosine étant celui de la tétrabromofluorescéïne C₂₀ H₈ Br₄ O₅. L'analyse quantitative du sublimé. resté libre, dans la gaze du pansement, n'a pas été faite : Date de fabrication du pansement individuel japonais : 1927.