“Although up to now the [visual] image has been [understood as] a construct of reason,” Kepler observes in the fifth chapter of his Ad Vitellionem Paralipomena (1604), “henceforth the [visible] representations of objects should be considered as paintings [picturae] that are actual[ly projected] on paper or some other screen.” While not intended as a historical generalization (“up to now” having surely been meant within the narrow context of the treatise itself), this claim nonetheless reflects historical reality. Virtually all visual theorists before Kepler did, in fact, conceive of optical images as subjective, not objective constructs – or, to put it in modern terms, as virtual rather than real entities. By current lights, of course, the distinction between virtual and real images is both obvious and common-place: whereas the latter can be physically projected upon a screen, the former cannot.

N. Oresme passe pour l'un des rares (sinon le seul) grand universitaire médiéval mathématicien. C'est ainsi que son grand traité De Configurationibus qualitatum et motuum est vu traditionnellement comme un traité de mathématiques et analysé comme tel. En fait, l'examen de ses Questiones super Physicam montre qu'Oresme est un philosophe de la nature original. Ses thèses sont souvent en opposition avec celles de Buridan et saméthode est différente: ses arguments empruntent fort peu à la logique et presque exclusivement à la philosophie naturelle.

Dans sa description de l'œuvre en langue vulgaire de Lorenzo Ghiberti, Giorgio Vasari, quoiqu'il en dénigre certains aspects, saisit bien, nous semble-t-il, les traits marquants des Commentaires de Lorenzo, en particulier ceux du troisième livre concernant l'optique: Scrisse Lorenzo un'opera in volgare nella quale trattò di molte cose, ma sì fattamente che poco costrutto se ne cava… [que l'on en tire très peu de connaissances utiles…] Né tacerò che egli mostra il libro essere stato fatto da altri [Je ne tairai pas qu'il montre que le livre a été fait par d'autres personnes]

In diesem Aufsatz möchte ich einen Überblick über unser heutiges Wissen bezüglich der Übersetzung der Elemente Euklids ins Lateinische geben. Cicero hat als Quästor in Sizilien (im Jahre 75 v. Chr.) das Grab des Archimedes aufgesucht und instandsetzen lassen, er nennt gelegentlich Euklid und Archimedes (De oratore III, 33, 132) und er zitiert in Academica I, Buch II, § 116, die Definitionen von Punkt und Linie. Vor dem 6.

Les correspondances littérales relevées dans I.R.M. et F.D.G. conduisent naturellement à se demander si elles sont le signe d'une parenté entre ces deux textes et, si c'est le cas, à s'interroger sur le degré d'originalité de la doctrine rhétorique du premier de ces traités.