1. La bibliographie des différents chapitres est riche, mais elle gagnerait à présenter séparément les ouvrages essentiels et les études de détail, dont le choix pourrait faire l'objet d'une révision et de compléments dans une édition ultérieure.

1. G. Schmiedt et R. Chevallier, « Caulonia e Metaponto. Applicazioni délia fotografia aerea in ricerche di topografia antica nella Magna Grecia », Florence (Institut géographique militaire), 1959, 63 p., 31 fig. et 51 photographies de détail (extrait de YVniverso, Rivista bimestrale dell'Istituto Geografico Militare, xxxix, n°” 2 et 5). Cet article vient également de paraÎtre en français dans la Rev. Arch., 1960, I, p. 1-31, mais avec une illustration beaucoup plus réduite.

1. Ajoutons que l'emploi des tuiles est pratiquement réservé, pour l'époque archaïque, aux monuments publics. L'utilisation des fragments de tuiles provenant d'habitations, nécessairement d'époque classique — et vraisemblablement d'habitations déjà détruites —, ne peut se concevoir à Caulonia qu'après 389.

2. En arrière de la ville ont été identifiés 39 limites couvrant une zone de 6 400 hectares, séparés les uns des autres par des intervalles de 210 mètres ; le plus long de ces fossés peut se suivre sur une distance de treize kilomètres, jusqu'aux portes de la cité : A l'ouest du Basento, une autre zone de 4 800 hectares, un peu oblique par rapport à la précédente, est divisée par 24 limites, distants entre eux de 240 mètres.