page 371 note 1. Louvain, Publications Universitaires ; et Paris, Vrin, 1952 ; in-16°, 292 pages.

page 374 note 1. Le gros problème d'une Cité d'obédience marxiste est plutôt esquivé que traité (p. 286, n. 1, et p. 287, n. 1). Etienne Gilson l'exclut de son exposé parce que, en tant que Cité de l'Homme érigée contre la Cité de Dieu, a la société universelle de Marx non seulement n'ajoute rien à l'athéisme de Comte — mais se révèle à l'analyse incomparablement plus pauvre de contenu ». Peut-être eût-il valu la peine de se mettre plus en frais avec une doctrine qui s'est rallié tant de partisans hors de l'U. R. S. S. — de cette U. R. S. S. où « le marxisme devenu un léninisme, puis un stalinisme » se prétend cependant « la même vérité scientifique dont se réclamait, il y a plus de cent ans, le Manifeste communiste ». Ce qui me gêne dans le rapprochement de Marx et de Comte — c'est que bien au contraire le Comtisme fait volontiers figure de « vaccin » contre le communisme, là où il a pris jadis fortement. — Tout cela est un peu rapide?