Hostname: page-component-78c5997874-m6dg7 Total loading time: 0 Render date: 2024-11-06T04:18:26.595Z Has data issue: false hasContentIssue false

Les contes d'Ahmadou Koumba (p. 32) ; quant à Bakary Diallo, auteur du roman Force-Bonté, paru en 1926, il devient Baraké Diallo, auteur de Force- Beauté (p. 19).

Published online by Cambridge University Press:  25 May 2018

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Les Domaines de l'Histoire
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1973

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

page 1551 note 1 Amadou Hampâté Bâ et Lilyan Kesteloot, Kaïdara, récit initiatique peul, rapporté par Amadou Hampâté Bâ, édité par Amadou Hampâté Bâ et L. Kesteloot, Paris, Julliard, coll. « Classiques africains », 1969.

page 1551 note 2 Dans Présence Africaine, 2e série, série des numéros spéciaux, n° 16, Trois écrivains noirs, 1954.

page 1551 note 3 En réalité, Léon Gontran Damas, et non Louis Damas.

page 1552 note 1 De même, l'auteur considère comme deux poètes distincts Francesco Nditsouna (Fleurs de latérite, 1954) et François Sengat-Kuo (Collier de cauris, 1970) alors que Francesco Nditsouna n'est que le pseudonyme de Sengat Kuo (cf. p. 122).

page 1552 note 1 Cf. par exemple, p. 238 : « Le noyau noir, lui-même, n'est pas égal en toutes ses parties. L'étude de la littérature en Côte d'Ivoire a fait ressortir une légèreté poétique combien différente de la profondeur camerounaise. Ici et là ont joué, de façon déterminante, l'histoire et les origines ethniques. » « Au niveau proprement littéraire, nous savons aussi que d'un bout à l'autre du monde noir le rythme compte plus que le sens dramatique des œuvres, et que les poètes puisent la même inspiration auprès des immenses fleuves, des prodigieuses masses d'eau qui animent le continent noir tout entier. S'agissant du roman, il se fait volontiers messianique, et cette tendance est naturelle au sein d'une culture foncièrement pratique, pédagogique, où rien n'est gratuity » (pp. 238-239).