1. Les graphiques ne sont pas tous bien lisibles, en raison de leur dimension et surtout de leur surcharge.

1. Titre de l'ouvrage célèbre de Campillos, Lo que hay de más y de menos en España..., Madrid, 1971.

1. Cf. Viñas y Mey, El problema de la tierra en la España de los siglos XVI y XVII, Madrid, 1941 ; P. Chaunu, « Les Espagnes périphériques dans le monde moderne », Revue d'Histoire Économique et Sociale, 1963, n° 2.

1. Toutes les villes n'ont pas bénéficié de l'administration méticuleuse de Ségovie, où les registres du Conseil municipal enregistrent semaine après semaine les cours des principaux produits. J. P. Le Flem promet une édition de cette mercuriale. Une telle source doit cependant exister dans d'autres villes. Signalons sans plus attendre la publication de la thèse de Maria Alvarez Pantoja sur Les prix à Séville de 1800 à 1834, Séville, 1971, qui prolonge les séries d'Hamilton à partir des mêmes sources.

1. P. Ponsot, « En Andalousie occidentale : les fluctuations de la production du blé sous l'Ancien Régime », Études Rurales, n° 34, 1969, pp. 97-112.

1. Pour le XIX^e siècle nous disposons de la bonne esquisse de Nicolas Sánchez Albornoz, « En Espagne au XIX^e siècle : géographie des prix », dans Mélanges... en hommage au Professeur Antony Babel, Genève, 1963, pp. 191-209, reprise dans son recueil : España hace un siglo : una economla dual, Barcelone, 1968. Cf. mon compte rendu dans cette revue, mars-avril 1970, pp. 400-402.

1. Cf. P. Vilar, La Catalogne dans l'Espagne moderne, Paris, 1962, t. II, pp. 419 ss. et 574-575. Je dis « semble-t-il » parce que les conclusions s'appliquent ici à un complexe de revenus englobant droits seigneuriaux et rente foncière proprement dite. Cette question est rendue ardue par les multiples formes que revêt la rente.

1. Cf. Pablo de Olavide, Informe sobre la ley agraria, éd. par R. Carande, dans Boletín de la Real Academia de la Historia, CXXXIX, 1956, et M. Défourneaux, Pablo de Olavide, Paris, 1959, chap. VI.