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Une Enquête : La Forge de Village
Published online by Cambridge University Press: 25 October 2017
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Les lecteurs des Annales connaissent, par une note1 de son très dévoué et actif secrétaire, Mr André Varagnac, la Commission des Recherches Collectives — cette « coopérative de travail scientifique » que j'ai voulu greffer sur le jeune tronc de l’Encyclopédie Française, et que j'ai pu réaliser avec le concours du Centre International de Synthèse, la Fondation de mon ami Henri Berr. Des deux enquêtes actuellement en cours de diffusion, l'une concerne les usages de moisson et, notamment, les divers types de construction des gerbes en France ; l'autre porte sur l'ancienne forge de village, ses rapports avec la charronnerie, son outillage artisanal et ses récentes transformations.
- Type
- Research Article
- Information
- Copyright
- Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1935
References
page 603 note 1. Annales, t. VII, 1935, p. 302-307.
page 603 note 2. Inutile de dire que les réponses complètes à l'enquête — de véritables et précieux mémoires — sont à la disposition des travailleurs au siège scientifique de la Commission. S'adresser au secrétaire, Mr André Varagnac, au siège du Comité de l'Encyclopédie Française, 13, rue du Four, Paris (VIe).
page 604 note 1. Paulin Lebas, Sévigny-la-Forêt (Ardennes).
page 604 note 2. Rothonnet, Ajain (Creuse).
page 604 note 3. Albert Hugues, Saint-Geniès de Malgoirès (Gard).
page 605 note 1. André Lacombe, forgeron, Le Peuch, par Saint-Germain-les-Vergnes (Corrèze).
page 605 note 2. G. Molimer, professeur agrégé (Paris), Les Graulges (Dordogne).
page 606 note 1. « Mon grand-père transportait à dos de mulet dans la vallée du Bandiat le minerai ramassé dans nos bois, à la surface du sol ou à quelques centimètres de profondeur. »
page 606 note 2. Miie Auriac, directrice d'école, Astien (Ariège).
page 607 note 1. G. Molimer.
page 607 note 2. L. Lavigne, directeur d'école (Verdun), Avillers-Sainte-Croix (Meuse).
page 607 note 3. G. Molinibr.
page 607 note 4. Verghol, instituteur, Messeix (Puy-de-Dôme).
page 608 note 1. R. Simon, instituteur, Ambemao (Charente).
page 608 note 2. Les outils préhistoriques, pierres taillées et polies, étaient interprétés par les anciens et par nos paysans comme autant de produits du ciel : on leur attribuait toutes sortes de vertus magiques. Cf. Saintyves, P., Corpus du folklore préhistorique, t. II (Paris, Nourry, 1935)Google Scholar [A. Varagnac].
page 608 note 3. TH. Chalmel (Saint-Malo), Noyal-sous-Bazouges (Iiie-et-vilaine).
page 609 note 1. Rothonnet, directeur honoraire de cours complémentaire (Guéret), Saint- Laurent (Creuse).
page 609 note 2. Nous tenons à remercier Miie G. Brizard, membre de la Commission des Recherches Collectives, qui nous a valu cette intéressante collaboration.
page 609 note 3. Cf. p. 605, n. 1.
page 610 note 1. Mêmes indications sous la plume de M” Paulin Lebas, de Sévigny-la-Forêt (Ardennes) : « Chaque maréchal avait son secret de trempe dans l'eau pure, l'eau de savon, la lessive, la graisse, l'huile, l'urine… avec des nuances de chauffe allant du brun sombre au rouge presque blanc. »
page 610 note 2. Voir la note précédente.
page 611 note 1. Le « couperon » était la lampe en forme de sabot, parfois un simple sabot de bois. La fête de la fin des veillées, ou « noyade du couperon », est décrite au t. I des Travaux du Comité du Folklore Champenois. Quant à la lampe à bec, elle est représentée par la gravure sur bois qui figure sur toutes les éditions du Comité du Folklore Champenois [A. V.].
page 611 note 2. Cf., p. 604, n. 3.
page 612 note 1. François Gelard, Sainte-Croix-en-Guingamp (Côtes-du-Nord.
page 613 note 1. Urbain Gibert, instituteur, Lauraguel (Aude).