page 97 note 1. L'essai de Max Weber n'a pas été traduit en français. Nous en avons publié un exposé assez étendu dans Les origines puritaines du capitalisme moderne dans Revue d'histoire et de philosophie religieuse (Strasbourg), mars-avril 1925.

page 97 note 2. H. M. Robertson. Aspects of the rise of économie individualism. A criticism of Max Weber andhis school (Cambridge studies in économie history). Cambridge, University Press, 1933 ; in-8°, XVI-223 p. (Cf. L. Febvre, Une critique de Weber dans Annales, t. VI, 1934, p. 515).

page 97 note 3. Dans le chapitre I^er, Mr Robertson critique l'interprétation, par Max Weber, du terme Beruf, introduit par Luther dans sa traduction de la Bible ; on trouvera beaucoup de textes curieux. Mais un Français s'étonnera d'apprendre que le mot o//ice, dans le sens d'emploi, évoque une idée religieuse, parce que le même mot désigne aussi le culte religieux.

page 98 note 1. Voir, en particulier, chap. iv, l'Église et le capitalisme. Mais il en résulte que c'est contre les grands industriels, les gros banquiers, plus encore que contre les ouvriers, qu'aux XVII^e et XVIII^e siècles l'Église lance ses anathèmes.