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Statistiques économiques courantes

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1956

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References

Références

1. a à d : D'après le Bull, de Statistique; le taux de reproduction est le nombre de naissances pour mille femmes âgées de 15 à moins de 45 ans.Google Scholar
1. e : D'après le Bull, de Statistique.Google Scholar
1. f à i : D'après la Revue du Travail, sept. 1951, p. 896, Un budget de main-d'œuvre belge. L'ensemble de la population au travail comprend tous ceux qui à titre de patron, d'aidant, d'appointé, de salarié, ou d'indépendant exercent une profession lucrative tant dans une entreprise privée que dans un service public ou d'intérêt général. Cet ensemble comprend également les militaires et miliciens. Les appointés et salariés comprennent les personnes liées par un contrat d'emploi dans les entreprises et services tant privés que publics. Les effectifs de l'industrie comprennent les appointés et salariés des industries extractives, manufacturières, et de la construction.Google Scholar
l.j à m : D'après les calculs et estimations de M. F. Baudhuin, publiés annuellement dans le Bull. I. R. E. S. Les données se rapportent au revenu national net évalué au coût des facteurs (ensemble des revenus tirés de la production des biens et des services, y compris ceux provenant de l'étranger). La ventilation des revenus du travail et des revenus mixtes, pour 1936 à 1938 a été modifiée et est comparable aux répartitions d'après 1948.Google Scholar
1. n : Revenus de l'Etat : Ensemble des recettes à l'exception de celles provenant des emprunts.Google Scholar
1. o : Ensemble des dépenses inscrites au budget ordinaire, à celui résultant de la guerre et au budget extraordinaire. Les données relatives aux trois dernières années sont provisoires.Google Scholar
1. p et q : D'après le Bull, de Statistique : Les prairies et pâtures comprennent l'ensemble des prairies permanentes et temporaires, pâturées et fauchées. Les vergers pâturés y sont aussi inclus. A partir de 1952, le recensement ne tenant plus compte des exploitations de moins de 1 ha, les données pour l'ensemble de l'agriculture ont été établies par extrapolation et ne sont donc qu'approximatives.Google Scholar
col. 1 : Indices calculés par l'IRES : moyenne simple de 6 indices de prix de métaux et de 11 indices de prix de produits d'origine agricole relevés sur les marchés les plus sensibles du monde et exprimés en dollars. Base, 1953 = 100. Pour l'interprétation cfr Bull. n° 6, 3 sept. 1953, p. 553.Google Scholar
col. 2 à 24 : Nouvel indice calculé par l'I. R. E. S. sur des prix relevés entre le 1er et le 10 du mois. La méthode d'établissement et la composition sont décrites dans le présent bulletin, p. 423 et suivantes.Google Scholar
col. 25 et 26 : Source : Service de l'index du Ministère des affaires économiques.Google Scholar
col. 27 et 28 : Nouvel indice du coût de la vie calculé pour des familles d'ouvriers à salaire plein et d'employés, selon les enquêtes réalisées entre 1948 et 1953. La méthode d'établissement et la composition sont exposées dans ce bulletin p. 427 et suivantes.Google Scholar
col. 29 à 34 : Etablis par l'I. R. E. S. en multipliant les indices des salaires bruts par les coefficients de variation par rapport à 1953 des charges et des avantages annexés aux salaires.Google Scholar
col. 35 à 40 : Calculés à l'I. R. E. S.d'après le Bull. B. N. B. jusqu'en 1946, d'après le Bull, de Statistique à partir de 1947; cours au 1er du mois. La composition des différents groupes est donnée dans « Eléments du diagnostic ».Google Scholar
col. 41 à 44 : Calculés par l'I. R. E. S. Les taux de capitalisation des certificats de trésorerie sont calculés le 15 du mois sur les dernières émissions en prenant la série à remboursement le plus rapproché et en tenant compte des primes de remboursement. Les autres taux ne tiennent pas compte du cours de remboursement.Google Scholar
col. 45 : Source : B. N. B.Google Scholar
col. 46 : Etabli par l'I. R. E. S. en fin de mois et comprend : les billets de la B. N. B., la monnaie divisionnaire et d'appoint, les comptes courants libres à la B. N. B., les dépôts libres à 30 jours au plus dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des comptables de l'Etat aux chèques postaux. De ce total sont soustraits : les avoirs de la B. N. B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en compte courant à la B. N. B. et aux chèques postaux des banques privées.Google Scholar
col. 47 et 48 : Etabli par 1'I. R. E. S.Google Scholar
col. 49 à 55 : D'après la B. N. B., dernière situation du mois.Google Scholar
col. 56 : Etabli par l'I. R. E. S. Représente les avoirs nets de la B. N. B. pouvant servir aux paiements à l'étranger.Google Scholar
col. 57 à 61 : D'après le Moniteur belge. On entend par « Trésorerie » le poste de l'actif : Encaisse, avoirs en compte à la B. N. B. et chèques postaux.Google Scholar
col. 62 : D'après le Bull. B. N. B.Google Scholar
col. 63 : Source : B. N. B. Etabli sur un échantillonnage représentant environ 80% du total des dépôts à vue, voir Bull. B. N. B., XXVme année, Vol. II, N°4, p. 222.Google Scholar
col. 64 à 66 : Source : Office des chèques postaux.Google Scholar
col. 67 : Calculé par l'I. R. E. S.Google Scholar
col. 68 à 73 : D'après le Bull. B. N. B. et le Bull, de Statistique.Google Scholar
col. 74 à 78 : Etablis par l'I. R. E. S. Moyenne journalière des cotations à Bruxelles exprimée en % de la parité officielle.Google Scholar
col. 79 à 82 : D'après le Moniteur belge, col. 83 à 89: D'après le Bull. B. N. B.Google Scholar
col. 90 à 97 : Données brutes communiquées par l'Office national du Placement et du Chômage. La méthode de calcul des variations saisonnières est décrite dans ce Bulletin, p. 000.Google Scholar
col. 98 et 99 : Degré d'emploi : Calculé par l'I. R. E. S. La différence entre l'ensemble des journées de travail possibles (effectifs ouvriers × nombre de jours ouvrables du mois) et l'ensemble des journées de chômage représente le nombre de jours d'occupation effective. En soustrayant des mêmes journées de travail possibles, les journées de chômage des chômeurs complets seuls, on obtient le nombre de journées de ceux qui sont occupés complètement ou partiellement c'est-à-dire le degré d'emploi, complet et partiel. Chaque élément du calcul est exprimé en % du nombre de journées de travail possibles.Google Scholar
col. 100: Calcul de l'I. R. E. S. Comprend les ouvriers occupés dans les industries soumises à l'obligation d'un recensement mensuel. Les branches d'industries fortement concentrées (entre autres les charbonnages et la sidérurgie) sont représentées dans leur entièreté. Par contre d'autres branches ne sont représentées que par les entreprises comptant 5 ouvriers et plus ou 10 ouvriers et plus. En fin de compte sur un total de 1.308 ouvriers assurés à l'O. N. S. S. en 1953 972 sont recensés dans les indices voir ce Bulletin p. 435.Google Scholar
col. 101 : Calculé par l'I. R. E. S. Les emplois offerts par les industriels au cours du mois sont rapportés à la médiane élargie (2 ou 3 termes) des emplois offerts pendant le même mois au cours des années 1948–1954. L'indice, des offres d'emploi est donc établi selon la formule : Google Scholar
col. 102 : Etabli par 1'I. R. E. S.Google Scholar
col. 103 : Indice AGEFI de l'activité industrielle. Calculé par mois d'égale longueur»Google Scholar
col. 104 à 130 : Nouveaux indices de la production industrielle en Belgique calculés par l'I. R. E. S. et décrits dans ce Bulletin p. 432.Google Scholar
col. 131 à 134 : D'après la Direction générale des Mines. La consommation de charbon est obtenue en faisant la somme algébrique de la production, des importations nettes, et de la différence des stocks entre la fin et le début du mois.Google Scholar
col. 135 et 135 : D'après le Bull, de Statistique.Google Scholar
col. 136: D'après l'I. N. S. S En 1936–38 donnée approximative déduite des constructions nouvelles : ne comprend pas les transformations. De 1946 à 1952 : somme des autorisations de bâtir demandées des constructions nouvelles et de la moitié du nombre des reconstructions et transformations. A partir de 1953 : autorisations de bâtir accordées pour toutes constructions, exceptées les transformations ne modifiant pas le volume de construction.Google Scholar
col. 137 à 142 : Les indices de transport et de manutentions sont calculés par mois d'égale longueur et pondérés par la valeur ajoutée de chaque branche de transport. Les indices ont pour base 1936-38 = 100 et les valeurs ajoutées sont celles des mêmes années.Google Scholar
col. 141 : Source : S. N. C. F. B.Google Scholar
col. 143 : Source : Administration du Port d'Anvers.Google Scholar
col. 144 : Calculé par l'I. R. E. S. en divisant le montant des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses taxes. Les données publiées sont des moyennes mobiles de 3 mois.Google Scholar
col. 145 : Moyenne des indices de ventes dans les grands magasins, magasins à succursales et coopératives calculés par l;O. N. S. S.et la B. N. B. et ramenés à la base 1953 = 100. La variation saisonnière est éliminée. Voir ce Bulletin, p. 437.Google Scholar
col. 146 à 148: D'après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l'Union économique belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
col. 149 à 166 : Indices du volume du commerce extérieur de l'I. R. E. S. Google Scholar
Ces indices sont calculés en utilisant les rubriques des classifications résumées établies par l'I. N. S. et complémentairement quelques rubriques du développement. Jusque fin 1953, la classification utilisée était celle de la « Convention de Bruxelles de décembre 1913 ». A partir de 1954, on utilise la « Classification type pour le Commerce international » recommandée par l'O. N. U. (C. T. C. I.). Il n'y a de continuité raisonnable que pour l'ensemble et les produits alimentaires. Les indices établis selon les deux classifications ne sont pas comparables pour les autres groupes comme on le constatera par les données de 1952 à 1953 publiées.Google Scholar
La méthode de calcul de l'indice de volume est celle de l'indice budgétaire selon la formule de Laspeyres. Les indices de volumes sont donc des indices de valeurs à prix constants.Google Scholar
Les indices de valeurs unitaires moyennes ou prix se déduisent des volumes en divisant les valeurs globales effectives par les valeurs à prix constants par la formule de Paasche.Google Scholar
col. 167: Rapport des col. 157 à 152.Google Scholar
col. 168 : D'après le Bulletin statistique de l'O. E. C. E.Google Scholar
col. 169 : D'après le Bull. B. N. B.Google Scholar