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Etude de la demande d’énergie globale dans le contexte d’une analyse structurelle approfondie des secteurs de la demande intermédiaire belge

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Dans le cadre du programme national de Recherche et Développement en énergie adopté par la Belgique en 1975, le Bureau du Plan s’est vu confier l’exécution d’une partie du volet modélisation du système énergétique national. La tâche du Bureau du Plan a consisté principalement à modéliser la demande énergétique en provenance des secteurs de la demande intermédiaire (secteur transports non compris). Ce travail implique la détermination de modèles permettant de calculer la répartition optimale de la demande totale d’énergie entre les différentes formes d’énergie et d’analyser les niveaux auxquels les différentes formes d’énergie peuvent être substituées l’une à l’autre.

Les modèles d’étude de la répartition et de la substitution entre forme d’énergie constituent un des niveaux du travail entamé par le Bureau du Plan.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1978 

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Footnotes

*

charges de recherche au Bureau du Plan.

Communication au 3e Congrés des Economistes belges de langue française(Namur, 17 nov. 1978). Ce texte fait également partle d'un rapport du Programme national R-D t Energie (Services du Premier Ministre - Programmation de la Politique Scientifique- rue de la Science 8, 1040 Bruxelles - Belgique.

References

(1) Demande d’énergie totale et d’énergie de forme spécifique. Nouvelle approche - Bureau du Plan, Direction Sectorielle, 9 mai 1977, réf. : (77) NG-259/id/1463, p. 6Google Scholar.

(2) Voir Berndt, E.R. et Wood, D.O. : Technology, Prices and the Derived Demand for Energy. The Review of Economics and Statistics, août 1975, p. 260 Google Scholar.

(3) De manière à ce que la matrice des Hessiens soit deux fois différentiable. Voir à ce sujet : Henderson, J.M. Quandt, R.E. : Microeconomic Theory. A mathematical Approach New-York, 1958, p. 271 Google Scholar.

(4) Diewert, Voir W.E. : « Application of Duality Theory » Frontiers of Quantitative Economics, Vol. II, 1974, p. 112 Google Scholar.

(5) Berndt, E.R., Wood, D.O., op. cit., p. 261 et : Demande d’énergie totale et d’énergie de forme spécifique, op. cit., p. 18Google Scholar.

(6) Utilisée dans la suite du travail.

(7) Les services administratifs sont exclus de l’étudeGoogle Scholar.

(8) Source : Office Statistique des Communautés européennes. Statistiques de ľénergie. Annuaire 1970-1975Google Scholar.

(9) Secteurs services et agriculture comprisGoogle Scholar.

(10) Symboles utilisés dans la suite du travail : KS = stock de capital fixe, L = emploi, E = consommation d’énergie, M = consommations intermédiaires. Toutes les grandeurs utilisées sont sectoriellesGoogle Scholar.

(11) La vitesse de rotation du capital indique combien de lois le capital « tourne » sur une période de production définie a priori. Sa mesure peut être approchée par le rapport entre le chiffre d’affaire et le capital du secteur (ou Q/KS). Elle est donc équivalente a la notion de productivité du capitalGoogle Scholar.

(12) On y retrouve donc les industries dites légères, basées sur la scienceGoogle Scholar.

(13) Les niveaux de R-D de chaque secteur sont tirés de ľétude de J. DEFA Y : « Recherche et croissance économique », Services de Programmation de la Politique Scientifique, 1973.Google Scholar

(14) Le modèle KLEM relatif au secteur des services n’est pas présenté dans ce chapitre. Les estimations pour ce secteur seront discutées dans une note ultérieureGoogle Scholar.

(15) Dossier IESEM, Bureau du Plan, direction générale. Rél . (77) HS-HMO-GdA/1304-249/mg/1407du 10 mars 1977Google Scholar.

(16) Et ce résultat ne contredit en rien l’analyse typologique faite précédemment; le niveau des délais d’adaptation doit être mis en parallèle avec l’amplitude des élasticités-prix. Voir à ce sujet le point 4.2.3Google Scholar.

(17) Les matrices d’élasticités-prix doivent se lire comme suit : pour chaque secteur, la première ligne des matrices représente l’élasticité du facteur К par rapport aux prix des 4 facteurs (effet prix direct ou effet croisé), la deuxième ligne représente l’élasticité du facteur L par rapport aux prix des 4 facteurs,... et ainsi de suite pour les autres lignesGoogle Scholar.

(18) L’approche mathématique du phénomène d’élasticités brute et nette est présentée dans un article récent de Berndt et Wood. Voir E.R. Berndt, D.O. WOOD : Engineering and Econometric Approaches to Industrial Energy Conservation and Capital Formation. A reconciliation. - M.I.T., novembre 1977Google Scholar.

(19) Berndt, E.R., Wood, D.O. : Technology, Prices and the Derived Demand for Energy. Review of Economics and Statistics, août 1975.Google Scholar

(20) Le modèle Klem de Berndt et Wood est relatif à l’industrie manufacturière des Etats-Unis. II est estimé sur la période 1947-1971. Nos élasticités constituent une moyenne non pondérée des élasticités calculées pour les secteurs industrielsGoogle Scholar.

(21) Voir tableau 4.1.1. dans le même point.