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Un Motif de la poésie amoureuse au XVIe siècle

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

Marcel Françon*
Affiliation:
Harvard University

Extract

Amusés, les historiens et les critiques ont souvent prêté quelques moments d'attention à la Puce de Mme. Desroches. Se sont-ils toujours doutés que cette puce appartînt à un cycle assez riche: poèmes (et chansons) où l'auteur fait le vœu d‘être changé en quelque chose qui touche la femme aimée, ou dont elle use, ou qui la reflète: non seulement puce ou mouche, mais gants, collier, miroir, ...? On chantait, nous dit-on, voici cinquante ans: “Je voudrais être La Fleur novelle/De son chapeau.” Des couplets comiques mettaient en scène, au commencement du XIXe siècle, un Suisse allemand, un peu lourdaud, qui déclarait à sa belle, en mauvais français: “Moi, je voudrais être une mouche/Pour voler sur ta belle front.” On ferait un livre sur ce simple thème. Qu'il nous suffise d‘étudier quelques exemples.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1941

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References

Note 1 in page 307 Œuvres choisies d'Etienne Pasquier, édit. L. Feugère (Paris, 1849), i, cxlii–cxliii.—Guy de Brémond d'Ars, “Un gaulois de la Renaissance,” Revue des deux Mondes, lxxxvii (1888), 196.

Note 2 in page 307 Ronsard, Œuvres complètes, édit. Laumonier (Paris, 1928), v, 38.

Note 3 in page 308 Ibid., n. 2.—Cf. ibid., p. 35, n. 1 et P. Laumonier, Ronsard poète lyrique, 3e édition (Paris, 1932), p. 265 et ibid., n. 6: “Cf. Catulle, Ad passerem Lesbiae; Lucius in mortem passeris.”

Note 4 in page 308 Catulle. Poésies. Texte établi et traduit par G. Lafaye (Paris, 1922), p. 2, no. 2.—C. Valerius Catullus, ex editione Frid. G. Doeringii (Paris, 1826), p. 35: “Ad passerem Lesbiae.”

Note 5 in page 308 G. Lafaye, Catulle et ses modèles (Paris, 1894), p. 127.

Note 6 in page 308 Catulle ... texte établi et traduit par G. Lafaye (Paris, 1922), p. 4.—C. Valerius Catullus (Paris, 1826), p. 37: “Luctus in morte passeris.”

Note 7 in page 308 Le Rime di Serafino de Ciminelli dall'Aquila, édit. M. Menghini (Bologna, 1894), i, 108.

Note 8 in page 309 Œuvres complètes de Melin de Sainct-Gelays, édition revue ... par P. Blanchemain (Paris, 1873), i, 97.

Note 9 in page 309 Ronsard, Œuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1934), vii, 156.—Cf. A. Meozzi, “La poesia umanistica italiana nella lirica volgare in Europe,” La Rinascita, anno secundo (1939), 415–448.

Note 10 in page 309 Satire e Rime di Lodovico Ariosto (Trieste, 1858), p. 118 (i, 17): De catella puellae.—Cf. Catulle: solaciolum sui doloris (2); quicum ludere (2); mnemosynum mei sodalis (12); comparer aussi mea gaudia et deliciae meae puellae (2).—Cf. Al. Cioranescu, L'Arioste en France (Paris, 1939), i, 37.

Note 11 in page 309 Sur l'influence de Catulle en Angleterre, cf. James A. S. McPeek, Catullus in strange and distant Britain (Cambridge, 1939).—On veut bien me communiquer la note suivante: “Sir Philip Sidney in Astrophel and Stella uses the little dog in sonnet lix.”—Cf. K. A. McEuen, Classical influence upon the tribe of Ben (Cedar Rapids, 1939).

Note 12 in page 309 Œuvres complètes ..., édit P. Blanchemain (Paris, 1873), i, 55.—L'influence de Catulle sur Marot se manifeste dans l‘épigramme “Du passereau de Maupas” (Œuvres de Clément Marot, édit. Guiffrey [Paris, s. d.], iv, 291–293). La pièce de Saint-Gelais présente des analogies avec l‘épigramme de Marot, “De la chienne de la royne Elienor” (ibid., 179–183). —J. A. de Baïf s'est aussi inspiré de Catulle, pour sa pièce Sus larmoyer amourettes (Les Amours de J.-A. de Baïf, édit. Augé-Chiquet [Paris, 1909], pp. 84–87.

Note 13 in page 310 Œuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1928), v, 110.

Note 14 in page 310 Ibid., deuxième tirage (Paris, 1932), iv, 24.

Note 15 in page 310 Œuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1930), vi, 258.—Cf. P. Laumonier, Ronsard, 3e édit. (Paris, 1932), p. 598.—H. Chamard, Histoire de la Pleiade (Paris, 1939), ii, 48–87.

Note 16 in page 310 A. Delboulle, Anacréon et les poèmes anacréontiques. Texte grec avec les traductions et imitations des poètes du XVIe siècle (Le Havre, 1891), p. 65.

16a Peut-on rappeler les vers de Baïf (Euvres en rime, édit. Marty-Laveaux [Paris, 1881], i, pp. 128 & 130): Et bien heureux l'ombrage ...; Heureux les pignes chers ...; ainsi que le sonnet Petits cousins aislez (p. 129)?—Citons aussi Agrippa d'Aubigné (Œuvres complètes ..., édit. Réaume & de Caussade [Paris, 1874] iii, 174) auquel une mouche donne ‘jalouzie et désir’ (ode xxv), ou qui voudrait ‘faire en quelque sorte Un change’ du sonnet qu'il envoie et de lui-même (p. 34, s. 39).—cf. Les Premières Œuvres de ... Desportes (Rouen, 1607)), p. 93, s. V.: O mon petit livret.

Note 17 in page 311 Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), ii, 82: Le voyage de Tours.

Note 18 in page 311 Anthologie grecque. Anthologie palatine (Livre v): texte établi et traduit par P. Waltz et J. Guillon (Paris, 1928), ii, 107, no. 243.—Cette épigramme ne pouvait être connue de Ronsard, n'ayant pas été recueillie par Planude.

Note 19 in page 311 Ibid., p. 21, no. 2.

Note 20 in page 311 Ibid., p. 105, no. 237; “peut-être un rêve viendra-t-il qui me mettra dans les bras de Rhodanthé.”

Note 21 in page 311 Ibid., p. 117, no. 266.

Note 22 in page 311 Ibid., p. 51, no. 84: Si j'etais une rose purpurine! Tu me prendrais dans tes mains et tu me ferais la faveur de m'offrir ton sein de neige.

Note 23 in page 311 Ibid., p. 50, no. 82: Si j'etais le ventl et si tu pouvais, en te rendant à ta maison de campagne mettre à nu la poitrine pour y recevoir mon soufflet

Note 24 in page 311 Ibid., p. 115, no. 261.

Note 25 in page 311 Ibid., p. 130, no. 295.

Note 26 in page 311 Ibid., p. 134, no. 307: Ici le cours de l'Eurotas en Laconic; la femme sans voile, c'est Lêda, celui qui se dissimule sous la forme d'un cygne, le fils de Cronos. Vous que je vois ici, vous enflammez l'amant malheureux que je suis. En quoi me changer à mon tour? En oiseau? Zi Zeus est le cygne, je serai l'alouette.

Note 27 in page 311 Ibid., p. 72, no. 151.

Note 28 in page 311 Bucoliques grecs. T. 1. Thêocrite, texte établi et traduit par Ph. E. Legrand (Paris, 1925), p. 32, no. 3.

Note 29 in page 312 The Deipnosophists or Banquet of the Learned of Athenaeus, transl, by C. D. Yonge (London, 1854), iii, 1111, scolie 16.—M. C. B. Gulick a bien voulu me montrer les épreuves du volume vii de son édition d'Athenaeus, Deipnosophistae xv. 695, Nos. 17 & 18, pp. 226 et 227.

Note 30 in page 312 Amores, ii, 15.—P. Fargues, “Ovide, l'homme et le poète,” R. C. C, 401 (1938–39), 151.

Note 31 in page 312 P. Laumonier, Ronsard poète lyrique, 3e édit. (Paris, 1932), p. 265, n. 6.—Dans le “Discours aux Welches” Œuvres complètes, nouv. édit. conf. à l'édit. Beuchot [Paris, 1879], 25, 244), Voltaire loue l'aménité et le naturel dont a fait preuve Passerai dans la Métamorphose du coucou.

Note 32 in page 312 Anthologie grecque. lère partie. Anthologie palatine. Texte établi par P. Waltz (Paris, 1938), iv, 136–149. —Les épigrammes 189–216, à l'exception de 193, 194, 211, 214, 215, ont été recueillies par Planude.

Note 33 in page 312 D. Murarasu, La poésie néo-latine et la Renaissance des lettres antiques en France (1500–1549) (Paris, 1928).—Cf. A. Hulubei, L'églogue en France au XVIe siècle (Paris, 1938).—Imitations du latin de Jean Bonnefons ..., dernière édition ... (Paris, 1610), pp. 4, 5, 8, 15, 80.

Note 34 in page 313 P. Spaak (Jean Lemaire [Paris, 1926,] p. 53) suggère la possibilité de l'influence du Culex sur les Epistres de l'Amant Vert où Jean Lemaire, après Ovide et Stace, célébra la mémoire d'un perroquet aimé de sa dame.

Note 35 in page 313 Poetae Latini Minores (Paris, 1826), vii, 176

Note 36 in page 313 ZRPh, xxv (1901), 71–93, 215–229, 257, 277, 385–410, 513–532.

Note 37 in page 314 Aennae Sylvii De duobus amantibus Historia, édit, J. I. Dévay (Budapest, 1904), p. 17. —Ce passage est, comme l'indique N. E. Lemaire (op. cit., p. 177, n. 1), cité dans une épître latine publiée dans l'ouvrage suivant: [J. G. Schelhorn], Amoenitates literariae ... (Francofurti et Lipsiae, 1725), i, 265–266.—Sur l'influence d'Aeneas Sylvius en Angleterre, cf. R. Pruvost, Robert Greene et ses romans (Paris, 1938), pp. 84, 90, 149.

Note 38 in page 314 Aeneas Sylvius. Eurialus und Lukrezia übersetzt von Octavien de Saint-Gelais, édit. E. Richter (Halle, 1914), pp. 41–42, vv. 1296–1299.

Note 39 in page 314 J'ai trouvé ce rondeau dans cinq manuscrits. Cf. Marcel Françon, Poèmes de transition (Paris-Cambridge, 1938), p. 376.

Note 40 in page 315 Anthologie grecque (Paris, 1928), t. ii, p. 50, n. 2.

Note 41 in page 315 Outre les exemples déjà cités, rappelons celui de Mireille, et renvoyons le lecteur aux ouvrages suivants: G. Vicaire, Etudes sur la poèsie populaire (Paris, 1902), p. 22;—J. Tiersot, Histoire de la Chanson Populaire en France (Paris, 1889);

Petit oiseau, que tu es heureux
D'ëtre entre les mains de la belle!
Moi, que j'en suis son cher aimant,
Je n'en peux pas m'approcher d'elle, (p. 12, n. 2)
Ah, si j'étais belle alouette grise
Je volerais sur ces mâts de navire, (p. 89)
Si j'étais-t-hirondelle
Que je peuve voler,
Sur votre sein, mamzelle,
J'irais me reposer, (p. 95)

—Tiersot, Chansons populaires recueillies dans les Alpes françaises (Grenoble-Moutiers, 1903), pp. 232–235.—Cf. S. Thompson, Motif-Index of Folk-Literature (Bloomington, 1933), ii, 11–12.

41a Trente chansons à trois et quatre voix de Clément Janequin, mises en partition par Maurice Cauchie (Paris, 1928), p. 97, no. 25 et p. 102, no. 26.

Note 42 in page 315 A. Delboule, op. cit., p. 69.

Note 43 in page 316 Cf. Marcel Françon, Notes sur l'esthétique de la femme au XVIe siècle (Cambridge, 1939), pp. 71 et 183.—Le vœu d'Olivier de Magny se compare à celui de Shakespeare: Bow oft ... Do I envie those laches that nimble leape (The sonnets of Shakespeare, édit. R. M. Alden [Boston & New York, 1916], p. 307) & de Jonson: I have wished myself to be that instrument.

Note 44 in page 316 Œuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1928), v, 110.—En 1555, Ronsard avait déjà formulé le même idée:

car en la forme ronde
Gist la perfection qui toute en soy abonde

(Œuvres ..., édit Laumonier [Paris, 1935], viii, 142). En outre, en 1562, dans la Response de P. de Ronsard ... aux injures et calomnies de je ne sçay quels Predicans ... (Œuvres ..., édit. Vaganay [Paris, 1923], p. 340):

Car rien n'est excellent au monde s'il n'est rond.

Cf. H. Franchet, Le Poète et son oeuvre d'après Ronsard (Paris, 1922), p. 201.

Note 45 in page 316 Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), i, 47: “Les formes rondes sont les plus parfaites selon les Mathématiques.”—Quelle différence de ton aussi entre les quatrains qui décrivent le “jardin de ce sein verdelet” et le tercet final consacré à des réflexions sur la perfection des formes rondes!

Note 46 in page 317 Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), vi, 340.

Note 47 in page 317 G. E. Diller, Les Dames des Roches (Paris, 1936), p. 65. Cf. H. A. Schutz, “The Group of the Dames des Roches in Sixteenth Century Poitiers,” PMLA, xlviii (1933), 648–654.—Vittorio Imbriani, La Pulce (Catanzaro, 1875).—Quoiqu'il ne s'agisse pas de La Puce, cf. J. G. Fucilla: ‘Mesdames des Roches and Accolti’ dans ses “Four notes on Italian influences,” Romanic Review, xxvi (1935), 325–329.—F. Fleuret a publié quelques poèmes de la Puce dans Les Amoureux passe-temps (Paris, s.d.), pp. 77 et 90.

Note 48 in page 317 Le privilège fut donné le 7 novembre 1582.

Note 49 in page 317 R. Chopin (La Puce ..., édit. Jouaust, p. 39) fait allusion à l'éloge de la mouche par Lucien: “muscas Lucianus, apes Maro laudibus ornat.” Lucien conte comment une jeune fille, Mya, fut changée en mouche par Sélène, parce que la jeune fille était, comme la déesse, amoureuse d'Endymion.

Note 50 in page 317 Ibid., p. 18.

Note 51 in page 317 Ibid., p. 21. Dans les vers précédents, Pasquier, semblant se souvenir de Ronsard, avait dit:

Je ne veux ni du Taureau,
Ni du Cyne blanc oiseau,
Ni d'Amphitrion la forme,
Ni qu'en pluie on me transforme.

Note 52 in page 318 D. Jouaust (La Puce de Mme. Desroches 1583, Deuxième réimpression [Paris, 1872], p. 25) imprime: parve pulex et (p. 31): Petit coussin. Dans l'édition de La Ieunesse d'Estienne Pasquier ... (1610), se lisent parve culex (p. 580) et Petit Cousin (p. 582). C'est évidemment une allusion au Culex attribué à Virgile.—Sur la confusion entre musca et musa, cf. Poetriarum octo fragmenta et elogia ... cura et studio Io. Christiani Wolfii (Hamburgi, 1734), p. 53, suite de la n. 8 de la p. 51.

Note 53 in page 318 La Puce ... (1610), pp. 582–583.

Note 54 in page 318 Ibid., p. 586.

Note 55 in page 318 Ibid., p. 597.

Note 56 in page 318 Ibid., p. 628.

Note 57 in page 318 Ibid., p. 626.

Note 58 in page 319 Ibid., p. 579.

Note 59 in page 319 La Puce ..., 2e réimpression publ. par D. Jouaust (Paris, 1872), 120.

Note 60 in page 319 Ibid., p. 121.

Note 61 in page 319 N. Douglas, Birds and Beasts of the Greek Anthology (Florence, 1927), p. 201.

62a Cf. 1' “Amour piqué” d'une puce, La Puce (1872), p. 75.

Note 62 in page 320 La Puce ... (1610), p. 603. Cf. édit. Jouaust, pp. 52–53.

Note 63 in page 320 Cf. le “Ce n'est rien de nouveau” et le “dubius auctor” de Brisson.

Note 64 in page 320 Premières Œuvres et souspirs amoureux de Guy de Tours, édit. P. Blanchemain (Paris, 1878), p. 25.

Note 65 in page 320 Cf. P. de Ronsard. Œuvres ... édit. Laumonier (Paris, 1932), iv, 92:

Dedans le gué d'une beaulté si belle,
Toute une nuict tu apris à nager

Note 66 in page 320 Premières Œuvres ... de Guy de Tours, p. 17.

Note 67 in page 321 Ronsard dans le sonnet Ha, seigneur dieu avait employé l'expression sein verdelet. Cf. aussi les vers de la “Première Folastrie”: Une jeune pucelette/Pucelette grasselette.

Note 68 in page 321 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 43.

Note 69 in page 321 Cf. Pétymologie proposée par Foerster (Margit Sahlin, “Contribution à l'étymologie de pucelle,” Studia Neophilologica, x [1937–38], 62–82).

Note 70 in page 321 Les sonnets êlisabêthains. Les sources et l'apport personnel (Paris, 1929), p. 8.

Note 71 in page 321 Sir Robert Naunton, Fragmenta Regalia, édit. Arber (London, 1870), p. 64.

Note 72 in page 322 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 82: Odet de Tournebu déclare que Virgile “Des mouches chanta bien la vie.”

Cf. J. Gilliéron, Généalogie des mots qui ont désigné l'abeille (Paris, 1918), et E. Rolland, Faune populaire de la France (Paris, 1911), xiii, 146–179.

Note 73 in page 322 Il y a des pucerons aptères et des pucerons ailés.

Note 74 in page 322 Flea: fléah, fléh, fléa, fléo, fie, flee, fia, flae, fleigh, flech, fleck, flea. Quant aux formes de Fly, nous lisons - fléoze, flyze, fleze, flize, vlize, fleoze, flye, vlie, fleze, vleze, fleih, vleigh, flie, flee, flegh, fleeze, fleh, flei, fly.

74a Percy Long veut bien me signaler l'article suivant: Hope E. Allen, “Influence of superstition on Vocabulary,” PULA, l (1935), 1033–46. Cf. ibid, li (1935), 904–920. Le motif du diable sous la forme d'animaux appartient au répertoire populaire: Stith Thompson, op. cit., ii, 12 (D. 102); ibid., iii, 232–233 (G. 303.3.3–303.3.3.18).

Note 75 in page 322 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 85.

Note 76 in page 322 Ibid., p. 124.

Note 77 in page 322 Chopin fait allusion aux vers de Plaute où le poète comique compare un homme aux moustiques et aux puces. Il est vrai que Plaute ajoute à ces insectes les mouches, les poux et les punaises. Comparons les vers de Chopin (La Puce ..., édit. Jouaust, p. 39):

Iam Plautina viris Pulices culicesque preosos
Quae referant, tineas scripta experiantur edaces.

et ceux de Plaute:

Item genus est lenonium inter homines meo quidem animo
Ut muscae, culices, cimices pedesque pulicesque

(Plaute, texte établi et traduit par A. Ernout [Paris, 1935], iii, 92).

Note 78 in page 323 S. Estienne “Ronsard a-t-il su le grec?”, Mélanges P. Laumonier (Paris, 1935), pp. 201–218.

Note 79 in page 323 De même que le terme ‘fut commenté ou traduit de façon à signifier aux yeux noirs et semble, ainsi, avoir contribué à ce goût qu'eurent pour la femme aux yeux noirs certains poètes du XVIe siècle. (Cf. Marcel Françon, Notes sur l'esthétique de la femme au XVIe siècle [Cambridge, 1939], pp. 186–190.— Insistons sur le rôle joué par les traductions en latin des œuvres grecques. R. Lebègue (“L'écolier limousin,” R.C.C., xl [1939], 303) montre que les mots d'origine grecque qu'on remarque dans le vocabulaire de l'écolier limousin sont venus, presque tous, par l'intermédiaire du latin.

Note 80 in page 323 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 22:

C'est que Madame par toy
Se puisse esveiller pour moy,
. . . . . . . . .
Et ayt la Puce en l'oreille.

Note 81 in page 323 Ibid., p. 122: Chacun a la Puce à l'oreille.

Note 82 in page 323 J. B. de la Curne de Sainte-Palaye, Dictionnaire historique de l'ancien langage français. Le roman en vers de très-xcellent, puissant et noble homme Girart de Rossillon, édit. Th. J. A. Mignard (Paris-Dijon, 1858), p. 100, v. 2258: Mais encor en haura telle puce en l'oroille.—Cf. Girart de Rousillon, ..., traduit par P. Meyer (Paris, 1884), pp. cxxiv–cxli. Cf. le chapitre vii du Tiers Livre: “Comment Panurge avoit la pusse en l'aureille ... .”—M. R. Levy a l'amabilité de me signaler les 'Notes lexicographiques) de A. Långfors, Neuphilologische Mitteilungen, xli (1940), 110–112.

Note 83 in page 323 A. Hauffen, Johann Fischart (Berlin and Leipzig, 1921), i, 154–161.—Karl Knortz, Die Insecten in Sage, Sitte und Literatur (Annaberg, 1910), pp. 47–74.—Leo Koszella, Der literarische Flohzirkus (München, 1922).—Ajoutons un exemple de chanson populaire érotique sur les puces: Chansons populaires de la Basse Bretagne, recuieitties et traduites par F.-M. Luzel.—Sonion Breiz-izel (Paris, 1890), ii, 87. Nous pourrions aussi mentionner le poème de Robert Burns: “To a louse, on seeing one on a Lady's Bonnet, At church.”

Note 84 in page 324 Le Proces des femmes et des puces compose par un frere Mineur Pelerin retournant des hirlandes ou il apprint la vraye recette pour prendre et faire mourir les puces; laquelle sera declaree cy apres a la definition du dit proces.—Le thème de la guerre entre les puces et les femmes se retrouve au XVIIIe siècle, comme en témoigne le chapitre ii (“La pulce”) d'une composition sur les insectes, sur la puce, sur la mouche, sur le cousin, publiée dans le recueil suivant: Anacreontici e Burleschi del secolo XVIII de la collection Parnaso italiano (Venezia, 1791), 52, 337.

Note 85 in page 324 Cf. J. Lowes, Convention and Revolt in Poetry, 2nd édit. (London, 1930), p. 98.

Note 86 in page 324 J. William Hebel and Hoyt H. Hudson, Poetry of the English Renaissance (New York, 1929), p. 458.

Note 87 in page 324 The poetical works of William Drummond, édit. L. E. Kastner. (Edinburgh and London, 1913), i, 125 (63).

Note 88 in page 324 Ibid. (64).

Note 89 in page 324 Ibid., pp. 236 and 237.

Note 90 in page 324 Tasso, Aminta, Rime Scelte, Discorsi dell'arte poetica (Firenze, 1824), p. 208: “Per una zanzara morta in seno di Madonna.”

Note 91 in page 324 Ibid., p. xviii; “practically the whole of Ronsard's poetic output.”

Note 92 in page 325 G. Maugain, “Les prétendues relations du Tasse et de Ronsard,” R.L.C., iv (1924), 429.

Note 93 in page 325 The Poems of Thomas Carew, édit. W. Carew Hazlitt (1870), p. 48.

Note 94 in page 325 Ibid., p. 48, n.: “Cleveland has closely imitated this poem in one with the same title.”

Note 95 in page 325 Poems by John Cleavland, Printed by W. Shears (1659), p. 126.

Note 96 in page 326 The Poems of John Cleveland, édit. John M. Berdan (New York, 1903).

Note 97 in page 326 Ibid., p. 65.

Note 98 in page 326 The Works of Christopher Marlowe, édit. A. H. Bullen (London, 1885), i, 245, n. 2.—Cf. The Works and Life of Christopher Marlowe, gen. edit. R. H. Case: The Tragical History of Doctor Faustus, edit. F. S. Boas (London, 1932), p. 95.

Note 99 in page 326 Faustus-Notes (Gand, 1898), pp. 68–70.

Note 100 in page 326 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 26.

Note 101 in page 327 Carl Friedrich Flögel, Geschichte der komischen Litteratur (Leignitz & Leipzig, 1786), iii, 350.

Note 102 in page 328 Ibid., p. 154.

102a Martin Montanus, Schwankbücher (1557–1566), edit. J. Bolte (Tübingen, 1899), p. 328: ‘In einer zech setzt ein fraw ein laus uff ein deller.’ Cf. p. 610, allution au Flöhhaz: ‘Muhier quaedam in symposio ponit pediculum super quadram?—Heinrich Bebels, Schwänte, edit. A. Wesselski (München-Leipzig, 1907), t. ii, p. 64, No. 140: ‘Von einem Lausigen.’—Cf. p. 145.

Note 103 in page 328 V. Imbriani, op. cit., p. 9—Leo Koszella, op. cit. pp. 15–33.

Note 104 in page 328 V. Imbriani, op.cit., pp. 12–13.

Note 105 in page 328 Ibid., p. 11—Leo Koszella, op. cit., p. 374.

Note 106 in page 328 Cf “Pour les débuts de Hoffmann en France. I, Une mention diplomatique de ‘Meister Floh’,” Revue de Litterature Comparée, xiii (1933), 353.

Note 107 in page 328 Ibid., “II. Autour d' ‘Olivier Brusson’,” pp. 353–357.

Note 108 in page 328 V. Imbriani, op. cit., p. 9.

Note 109 in page 329 Œuvres de Boileau, édit. J. Bainville (Paris, 1928), ii, 105—Cf. Imbriani, op. cit., p. 4.

Note 110 in page 329 Parve pulex, et amara lues, inimica puellis, Carmine quo fungar in tua facta ferox?

Note 111 in page 330 La Puce ..., édit, Jouaust (Paris, 1872), p. 32:

Si ton heur tu connoisois
Qu'heureuse Puce, serois

Dans ces vers, Pasquier imitait le latin de Brisson (ibid., p. 25):

Fortunate pulex nimium, tua si bona noris

Odet de Tournebu se sert de la même expression (ibid., p. 88); et relevons aussi le vers: Felices nimium, tenerae salvete puellae qui revient comme un refrain dans une pièce traduite par Henry Estienne: Moschi Bionis, Tkeocrati, elegantissimorum poetarum idyllia aliquot, ab Henrico Stephano latina facta (Venitiis, 1555).—Baïf aussi a dit, enviant le bonheur d'une tasse: “Tasse, ô par trop heureuse Tasse, [...]. O quelle heur, si tu conoyssoys La grand' faveur que tu reçoys.” (Les amours ..., édit. Augé-Chiquet, pp. 69–73).—Ronsard a parodié Virgile, dans son Discours sur la poésie héroique (Cf. J. Hutton, ‘Three notes on French authors,‘ MLN., 55 (1940), 581).

Note 112 in page 330 Oeuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1928), v, 38, n. 4.

Note 113 in page 330 F. Vollmer, Poetae latini minores. I. Appendix vergiliana (Lipsiae, 1910), p. 66.—Le second Donat, dans sa Vie de Virgile, cite le distique qui forme l'épitaphe du moustique. Cf. Virgile. La fille d'auberge suivi des autres poemes attribués à Virgile ... traduct. par M. Rat (Paris, s.d.), p. 73.—Ch. Plésent, Le Culex. Etude jur l'alexandrinisme latin (Paris, 1910).

Note 114 in page 330 Dissertationum Ludicrarum et Amoenitatum Scriptores varii (Lugd. Batavor., 1638), p. 166.

Note 115 in page 331 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 39.

115a Watson: ghest at bord and bedde et P. Woodhouse: My company at bed and boord.

Note 116 in page 331 Cottoquiorum familiarium opus ... Desid. Erasmo Roterodamo autore (Basiliae, 1566), p. 315: Nihil iucundius, quam quum serio tractantur nugae (fin du ‘Convivium fabulosum‘). —The whole familiar colloquies of D. Erasmus, transl, by N. Bailey (New York & Glascow, 1877), p. 225.

Note 117 in page 331 D. Murarasu, op. cit., pp. 94–99.

Note 118 in page 331 Cf. Margaret J. Moore, Estienne Pasquier (Poitiers, 1934), pp. 85–90.

Note 119 in page 331 Vigny reproche aux “graves magistrats comme Etienne Pasquier” de faire servir la Poésie à la gloire d'une puce (Oeuvres complètes de Alfred de Vigny.—Poèmes, édit. F. Baldensperger [Paris, 1914], p. 375). La strophe 24 de “la Maison du Berger” fut remaniée. Vigny enleva l'allusion aux “grands jours de Poitiers” et se contenta de flétrir “le coquet madrigal, piquant comme une mouche” (op. cit., p. 185).

Note 120 in page 332 Joachim du Bellay, La Deffence et Illustration de la langue francoyse, édit. H. Chamard (Paris, 1904), 122: “Dieu [...] a donné pour loy inviolable à toute chose crée de ne durer perpetuellement, mais passer sans fin d'un état en l'autre, etant la fin et corruption de l'un le commencement et generation de l'autre.” Hk. Brugmans, La Délie de M. Scève, H. & R., ii, (1935), 392.

Note 121 in page 332 Nous distinguons, chez Ronsard, trois idées principales dans sa conception du transitoire: (A) la naissance sort de la mort—(B) l'homme, pendant sa vie, n'est qu'une série de changements.—(C) la matière est éternelle et la forme varie.

Citons les vers où nous relevons ces idées.

(A) En 1554, dans l'Epitaphe de François Rabelais.

Si d'un mort qui pourri repose
Nature engendre quelque chose,
Et si la generation
Se fait de la corruption
Œuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1930), vi, 20.

En 1560,

L'homme n'est que misere, et doit mourir expres
Afin que par sa mort une autre vive apres:
L'un meurt, l'autre re-vit, et tousjours la naissance
Par la corruption engendre une autre essence.
Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), v, 152.

En 1578,

De la corruption la naissance se suit
Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), iv, 295.

(B) En 1555,

l'homme n'est sinon, durant le temps qu'il vit,
Qu'une mutation qui n'a constance aucune
Œuvres ..., édit. Laumonier (Paris, 1935), v, 170–171.
Mais la forme se change en une autre nouvelle, Ibid., 178.

Le Discours à Maistre Julian Chauveau (1569) est tout entier consacré au même thème.

Ainsi la forme en une autre se change
Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), iv, 261.

En 1584,

Des elements confus les accablantes sommes
De tout animal né vont le corps oppressant,
De moment en moment changeant et perissant
Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), ii, 462.

(C) Outre le dernier vers de l'élégie Contre les bucherons de la forest de Gastine (Œuvres ..., édit. Vaganay [Paris, 1923], V, 246) déjà cité, il convient d'ajouter l'hymne de Mercure (1587) où Ronsard cherche à expliquer pourquoi les biens mal acquis ne se conservent pas. Quand, dit-il,

Le pere a deterré le simple gentilhomme
Par procez embrouillé, les fils en sont vangeurs,
Et des biens paternels gouspilleurs et mangeurs,
Ou les vendent du tout.

Le bien de ces “corbeaux de Court” n'est jamais transmis à la “troisiesme race,”

Soit que Dieu le permette, ou que le flot mondain
Toute chose mortelle engloutisse en son sein,
Soit que pour conserver toute espece eternelle
La matiere tousjours cherche forme nouvelle.
Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), vi, 242.

De la même époque aussi sont les vers suivants:

Apprens que le matiere eternelle demeure,
Et que la forme change et s'altere à toute heure
Œuvres ..., édit. Vaganay (Paris, 1923), iv, 470.

Cf. H. Franchet, Le Poète et son œuvre d'après Ronsard (Paris, 1922), p. 203; H. Busson, “Sur la philosophie de Ronsard,” Revue des Cours et Conférences, xxxi1 (1929–30), 48.

Note 122 in page 333 Lynn Thorndike, Science and Thought in the Fifteenth Century (New York, 1929), p. 228.

Note 123 in page 333 Lynn Thorndike, A History of Magic and Experimental Science (New York, 1934), IV, 403.

Note 124 in page 333 La Puce ..., édit. Jouaust (Paris, 1872), p. 103:

Le petit monde, qui comprend
Toutes les parties du grand.

Note 125 in page 334 Cf. Pietro Pomponazzi. Les causes des merveilles de la nature ou les Enchantements, traduit par H. Busson (Paris, 1930), p. 30.—A. Schmidt, La poésie scientifique en France au XVIe siècle (Paris, 1939).—Ne peut-on trouver un lien entre les poèmes à l'honneur de la puce et de la mouche et le regain de faveur dont jouit la démonologie au XVIe siècle? Outre qu'Etienne Pasquier parle de la “Puce-demon,” celle-ci est comparée à Phaëton (par Madeleine des Roches), et la mouche de Thomas Carew rivalise avec Phaëton, et ressemble à Icare. Or il est souvent fait allusion, au XVe et au XVIe siècle, à la chute de Simon Magus et en des termes tels que la personnalité légendaire du magicien évoque le souvenir d'Icare: (Cf. B. D. Brown, “Marlowe, Faustus & Simon Magus,” PMLA, liv, [1939], 107).—Cf. P. H. Kocher, ‘The Witchcraft Basis in Marlowe's Faustus,‘ Modern Philology xxxviii (1940), 9. —Villon, lui aussi, avait évoqué la chute de Simon Magus: “Ou puist perir comme Simon Magus.”—Œuvres de François Villon, édit. A. Jeanroy (Paris, 1934), p. 106.—Cf. J. C. Lyons, “Literary evidence of the prestige of the black arts in French literature of the Renaissance,” Studies in Philology, xxxi (1934), 224–235.

Note 126 in page 334 Ed. Bourciez, Les mœurs polies et la littérature de cour sous Henri II (Paris, 1886), p. 169.

Note 127 in page 334 D. Murarasu, op. cit., p. 52.

Note 128 in page 334 S. Reinach, Répertoire de peintures du Moyen Age et de la Renaissance (Paris, 1905), i, 636; (Paris, 1907), ii, 727, 728; (Paris, 1923), vi, 208, 209; L. Dimier, op. cit., p. 445, n. 120.

Note 129 in page 334 S. Reinach, op. cit., ii, 724; iii, 757; vi, 199–202; L. Dimier, Le Primatice (Paris, 1900), p. 447, no. 120.

Note 130 in page 334 Maurice Roy, Artistes et Monuments de la Renaissance en France (Paris, 1929), 121–137; S. Reinach, op. cit., ii, 731; iii, 762–765; iv, 643; vi, 238.

Note 131 in page 334 Ibid., iv, 636, 642; vi, 206–207; L. Dimier, op. cit., p. 428, no. 23; p. 443, no. 114; p. 496, nos. 72 et 74.

Note 132 in page 334 Ibid., p. 491, no. 34; S. Reinach, Répertoire ..., i, 631; iv, 635; vi, 202–205.

Note 133 in page 334 Ibid., i, 637: “Io aimée de Jupiter que cache un nuage.”

Note 134 in page 334 Ibid., i, 635; ii, 723.

Note 135 in page 334 L Dimier, op. cit., p. 21.—Cf. J. Lieure, La gravure en France au XVIe siècle (Paris et Bruxelles, 1927), pp. 3 et 4.—Cf. L. Rosenthal, “Pierre Brébiette, graveur français,” Gazette des Beaux Arts, 4e période t. V. (1911), 40.

Note 136 in page 335 R. Bayer, L'esthétique de la grâce (Paris, 1933).

Note 137 in page 335 Cf. W. L. Wiley, “Ovid in the French Renaissance” (Dissertation of Harvard University, 1930).

Note 138 in page 335 E. Ripert, Ovide (Paris, 1921), pp. 109–112.—Relevons la publication, par Jean de Tournes, à Lyon, en 1557, des Métamorphoses d'Ovide figurées.

Note 139 in page 335 H. Busson, “Sur la philosophie de Ronsard,” R.C.C., 311 (1929–30), p. 36. G. Lafaye (Les métamorphoses d'Ovide ... [Paris, 1904], p. 221) dit d'Ovide que ↓ns le domaine de la philosophie et de la science, l'invention, chez lui, se réduit à rien. Cf. p. 238.—Les poètes de la Pléiade semblent ignorer le fond religieux de la mythologie grecque (cf. A. Eckhardt, R. Belleau [Budapest, 1917], p. 139).

Note 140 in page 335 E. Muntz, “L‘école de Fontainebleau et le Primatice,” Gazette des Beaux Arts, 28 (1902), pp. 151, 346, 412.—Cf. L. Lieure, L‘école française de gravure des origines à la fin du XVIe siècle (Paris, s.d.), pp. 74–94.

Note 141 in page 336 A. Blum, L'estampe satirique en France pendant les guerres de religion (Paris, s.d.), p. 327.—La reine Elisabeth faisait appel à l'opinion non seulement de son peuple mais à celle du peuple français. L'ambassadeur Trockmorton écrivait à la reine qu'il serait bon ‘par le moyen des marchands de répandre la proclamation de [sa] majesté à travers la Bretagne et la Normandie afin d'exciter encore plus le peuple contre la maison de Guise.’ (H. de la Ferrière, ‘Premier rapport... .’ Archives des Missions scientifiques et littéraires, 2e série, [Paris, 1868], t. V., p. 335.