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Published online by Cambridge University Press: 02 December 2020
Note 1 in page 545 XL (1932-33), S33-S6S, 681-730; XLI (1934), 142-188; XLII (1935), 170-203. A l'avenir nous nous référerons aux Annales de Bretagne par l'abréviation AB.
Note 2 in page 545 De brefs fragments de cette lettre ont été cités par Anatole Le Braz dans son Essai sur l'histoire du théâtre celtique (Paris, 1904), pp. 158-159, 340-342.
Note 3 in page 545 Selon une ancienne légende, les Irlandais auxquels prêchait Saint Patrice voulurent s'assurer par eux-mêmes de la réalité de l'au-delà. Saint Patrice y consentit: une fosse fut creusée qui donnait accès au purgatoire et à l'enfer. L'ouvrage de Thomas Wright dont parle Renan a pour titre: Saint Patrick's Purgatory: An Essay on the legends of Purga1844). Il contient notamment une relation du voyage que fit le chevalier Owen au purgatoire. Les aventures du chevalier Owen ont inspiré le drame de Calderon El Purgatorio de San Patricio ainsi que le mystère breton Louis Eunius.
Note 4 in page 546 Sainte Tryphine et le roi Arthur, mystère breton en deux journées et en huit actes (Paris-Nantes, 1863), p. xvii.
Note 6 in page 546 Les manuscrits de Renan contiennent un jugement sévère sur La Villemarqué (Bibliothèque Nationale, MS. N.A.F. 11462, foil. 427, 446-447). Il n'en subsiste qu'une forme atténuée dans la version finale de l'essai, “La poésie des races celtiques” (Œuvres complètes, éd. H. Psichari, ii [Paris, 1948], 285, n. 2).
Note 6 in page 546 Lettre de Luzel à Renan du 6 nov. 1863 (AB, XI, 545-546).
Note 7 in page 546 Le grand mystère de Jésus, passion et résurrection. Drame breton du Moyen Age avec une élude sur le théâtre chez les nations celtiques (Paris, 1865), p. cxxxii.
Note 8 in page 546 Lettre de Luzel à Renan du 26 oct. 1865 (AB, XL, 562-563).
Note 9 in page 547 Congrès celtique international tenu à Saint-Brieuc en octobre 1867: Séances—Mémoires (Saint-Brieuc, 1868), pp. 53-54.
Note 10 in page 547 M. Geslin de Bourgogne était alors président de la Société d'Emulation des Côtes-du-Nord. Le Congrès celtique international avait été organisé par cette société.
Note 11 in page 547 A cette date, Luzel était professeur de 7e au Collège de Lorient. Il y assurait également la surveillance des élèves en retenue. Ce dernier service lui paraissait particulièrement rebutant en raison du temps qu'il devait y consacrer. Il s'était souvent plaint à Renan que ces fonctions ne lui laissassent aucun loisir pour ses propres travaux et aurait souhaité en être délivré. En raison du Congrès celtique, Luzel avait aussi demandé que son congé de l'été fût prolongé jusqu'à la fin d'octobre (lettre de Luzel à Renan du 5 Sept. 1867, AB, XL, 702-703). Renan avait accepté d'intercéder en sa faveur auprès de M. Danton inspecteur général de l'enseignement secondaire.
Note 12 in page 547 “Barzaz Breiz—Chants populaires de la Bretagne, recueillis, traduits et annotés par la vicomte Hersart de la Villemarqué, membre de l'Institut. 6e édition, Paris, Didier, 1867. 1 vol. in-8” de lxxxii, 539 et xliv pages.“ Revue critique d'histoire et de littérature, ii (1867), 100-105.
Note 13 in page 547 II s'agit des Essais de morale et de critique (Paris, 1859). Lévy était l'éditeur de Renan.
Note 14 in page 547 T. de Puymaigre, Chants populaires recueillis dans le pays messin (Metz-Paris, 1865).
Note 15 in page 547 Chants populaires de la Grèce moderne, 2 vols. (Paris, 1824-25).
Note 16 in page 548 M. Bourbeau était alors ministre de l'Instruction publique. H. d'Arbois de Jubainville avait été élu membre correspondant de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 1867. Leopold Delisle et Alfred Maury, tous deux historiens et membres de l'Institut, faisaient partie de la Commission des Antiquités de la France pour l'année 1869.
Note 17 in page 548 Luzel avait comparé la version du chant “Ar Rannou” (Les Séries) publiée dans le Barzaz Breiz et les versions qu'il avait lui-même recueillies dans le peuple, toutes invariablement sous le titre “Gousperou ar Raned” (Vêpres des Grenouilles). La Villemarqué avait vu dans ce chant l'exposition, sous forme de demandes et de réponses, des doctrines druidiques. Luzel n'y découvrait qu'un jeu destiné à faire briller la mémoire et la virtuosité de parole du chanteur. La mauvaise foi de la Villemarqué lui paraissait démontrée par cette comparaison (lettre à Renan du 5 sept. 1867, AB, XL, 700-701). Cf. La Villemarqué, Barzaz Breiz (Paris, 1846), i, 1-28, et Luzel et A. Le Braz, Soniou Breiz Izel (Paris, 1890), i, 94-115.
Note 18 in page 548 Cité par de Jubainville dans la “Nécrologie” de La Villemarqué, Revue celtique, XVII (1896), 77.