No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 02 December 2020
Studies on romanticism are numerous and exhaustive, and yet one problem of this literary upheaval has scarcely been touched by scholars—the conflicting aesthetic theories of the period from 1800-1815. Marsan has given us the history of romanticism's battle; other historians have treated problems of style, rules, and foreign influences; but, as Souriau has pointed out, an important question has been neglected: the classic versus the new liberal theory of imitation in art, a question which strikes at the very core of the classic-romantic dispute.
1 For the eighteenth-century doctrines which cannot be treated here, see Mustoxidi, L'Histoire de l'esthétique française (1920), and Folkierski, Entre le classicisme et le romantisme: Etude sut l'esthétique et les esthéticiens du 18ième siècle (1925).
2 “Recherche d'un équilibre intérieur et profond, sérénité de l'artiste patiemment appliqué à atteindre, dans le fini, le plus de perfection possible, tels sont les deux traits auxquels une tentative d'élucidation du classicisme nous contraint à revenir le plus fréquemment.” Le Classicisme français (1942), p. 144.
3 In his study of romantic painting, Rosenthal admits that there would have been great profit in Quatremère's theories even for the romantic school, but the followers of Quatremère did not set an inspiring example: “De semblables scrupules n'avaient pas arrêté David et n'arrêtèrent jamais aucun de ses disciples. C'est dans le sens le plus étroit, le plus littéral, le plus stérile qu'on entendait l'imitation de l'antiquité.” La Peinture romantique (1900), p. 5.
4 In his excellent study, La Peinture romantique (1900), Léon Rosenthal asserts that the rapprochement between romantic poets and painters has been grossly exaggerated, and that there was little or no relationship between the important painters like Delacroix and the poets: “En somme, ni Delacroix, malgré quelques relations superficielles, ni Bonnington, ni Decamps, ni d'autre part, Ingres ou Géricault ne vécurent côte à côte avec les poètes ou les écrivains leurs contemporains,” p. 281.
5 René Schneider, l'Esthétique classique chez Quatremère de Quincy (1910), p. 28.
6 “Deux tendances contraires, qui datent du 18ième siècle, s'affrontent de nouveau: d'une part l'attachement à l'idée d'un type absolu et constant du beau: d'autre part la conception relativiste et cosmopolite qui admet que le beau puisse et doive varier essentiellement selon les époques et les civilisations,” Eggli and Martino, Le Débat romantique en France (1813-1830), p. 6. For the importance of the quarrel in painting, see , L'Art français sous la Révolution et l'Empire (1897).
7 Recherches sur l'art statuaire (1863), p. 322.
8 Génie du Christianisme, deuxième partie, ii, ch. xi (1802).
9 One of the chapters is entitled “Du beau idéal antique,” and is clearly a repetition of Quatremère's theories. “Il ne faut pas copier la nature,” p. 191, 1892 edition.
10 One tendency of romanticism which must perforce be neglected in this study is its “spiritual” tendency—an idealism of escape, of dreams as contrasted to reality, which is certainly not the objective idealism of Quatremère. “On peut considérer les peintres romantiques comme une secte d'artistes spiritualistes qui oublient que, sans la connaissance des modifications de la matière, il est bien difficile d'exceller dans un art d'imitation.” Delécluze, Traité de la Peinture (1827), p. 250. Let us note in passing that Delécluze was a disciple of Quatremère.
11 Article of April 2, 1825, by Ludovic Vitet, in Le Romantisme défini par le Globe, Pierre Trahard (1925), p. 23. For a study of the realistic doctrines of romanticism, see Pellissier, Le Réalisme du romantisme (1912). “Par bien des côtés le romantisme est réaliste—et nous voudrions montrer comment il transforma la conception de l'art en vertu d'un principe éminemment naturaliste, et renouvela d'après ce principe tous les genres littéraires sans excepter le genre lyrique,” p. 6.
12 An Essay on the Nature, the End and the Means of Imitation in the Fine Arts, translated by J. C. Kent (1837), p. 22.
13 Ibid., p. 208.
14 R. Schneider, L'Esthétique classique chez Quatremère de Quincy, p. 32.
15 Schneider, op. cit., p. 42.
16 Préface de Cromwell, Flammarion, p. 10.
17 Ibid., p. 11.
18 The vulgar is to be rejected on the same grounds. “Rejetés par les classiques comme incompatibles avec leur conception de l'art, le vulgaire, le bas ou le laid peuvent cependant avoir un caractère propre que n'a point le beau convenu, le beau académique,—ils peuvent avoir du caractère. Et nous touchons ici à une des différences essentielles entre le classicisme et le romantisme: la doctrine du XVIIe siècle exclut le caractéristique, l'exclut aussi bien quand il n'est ni laid ni bas, ou vulgaire, l'exclut en tant que ‘particulier,‘ ” Pellissier, Le Réalisme du romantisme, pp. 48-49. Here again Quatremère follows traditional French classicism. Cf. Peyre, Le classicisme français (1942), p. 84. Classicism treats only the ternal: “Se refusant à frapper par le contraste ou la surprise, par la nouveauté ou le plaisir d'un moment, il a dégagé l'universel que dissimule le particulier, le permanent derrière le transitoire.”
19 Schneider, op. cit., p. 42.
20 Préface de Cromwell, p. 13. The logic of this distinction between beauty and ugliness is questionable. There are as many types of beauty as of ugliness; ugliness is certainly no more “characteristic” than beauty, nor is it more particularized.
21 Quatremère was impregnated with Platonic philosophy. Edmond Eggli, in his exhaustive study, Schiller et le romantisme français (1927), claims that Quatremère is not a true Platonist but that he considers the ideal only as the generalized imitation of the real. “Il s'en tient en somme à cet idéalisme rationaliste et mitoyen du classicisme qui s'efforce de concilier le principe de l'idéalisme avec le dogme de l'imitation du réel, et fait de l'idéal une sorte de généralisation de la réalité par l'intelligence,” p. 243. With this statement, I cannot agree. Quatremère was a Platonic idealist and, far from seeking to imitate the real, sought to demolish the whole doctrine of the model.
22 Schneider, op. cit., p. 42.
23 Ibid., p. 43.
24 Preface de Cromwell, p. 25.
25 Trahard, op. cit., p. 141.
26 Pellissier points out this characteristic of classicism, but he asserts that it derives from the desire to order the universe according to reason: “… les classiques, ne laissant guère de place au moi de chaque artiste, laissent une place prépondérante au moi humain.” Op. cit., p. 74.
27 Imitation, p. 97. Jouffroy also points out this difference in subjective idealism: “Supposez deux artistes convaincus, l'un que la source de l'émotion esthétique est dans l'invisible, l'autre qu'elle est dans la forme …. Naturellement, le premier dirigera toutes ses observations sur le spectacle intérieur, l'autre sur le spectacle extérieur” Cours d'Esthétique, 1845, p. 202, quoted in H. U. Forest, “Jouffroy et le Problème de l'Imitation,” PMLA, lvi (1941), 1097.
28 Schneider, op. cit., p. 39. Here again, Chateaubriand is in perfect agreement with Quatremère. “J'ai placé des souvenirs d'Atala et de René au bord de la cataracte du Niagara comme l'expression de sa tristesse. Qu'est-ce qu'une cascade qui tombe éternellement à l'aspect insensible de la terre et du ciel, si la nature humaine n'est là avec ses destinées et ses malheurs?” Mémoires d'Outre-Tombe, i, 387, quoted in Souriau, Histoire du Romantisme (1927), i, p. 173.
29 Imitation, p. 96.
30 Contes, Charpentier (1844), pp. 47-48.
31 Shaftesbury, Du Bos, Harris, and Diderot had treated the subject before Lessing. See Folkierski, op. cit., p. 539.
32 Among Quatremère's disciples were the successful sculptors Canova, Chaudet, Moitte, and the painters Regnault, Meynier, Gamier.
33 Schneider, op. cit., p. 61.
34 Imitation, p. 98.
35 Delécluze and Quatremère naturally considered form more important than color and deplored that in the salon of 1824, color ran riot. See Schneider, op. cit., p. 65.
36 Essai sur les limites qui séparent et les liens qui unissent les Beaux-Arts (1816), p. 141.
37 Rosenthal, op. cit., p. 149.