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Kleist at Boulogne-Sur-Mer

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

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In October, 1803, Kleist secretly left Paris and traveled alone and without the customary passports to the northern coast of France, to the vicinity of Boulogne-sur-mer. In and near this city Napoleon I. was assembling a vast army, with munitions and transports, for the ostensible purpose of making a descent upon England. Kleist wished to enter this army and share its fate on English soil, in the hope of a soldier's death.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1914

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References

page 362 note 1 Biedermann, Heinrich von Kleists Gespräche, pp. 77 ff.

page 362 note 2 Kleist's tutelage lasted till he was twenty-four years old. “Ich bin in einem Jahr majorenn”, (v. Letter to Ulrike, October 27, 1800).

page 362 note 3 Karl Leopold von Köckeritz, General Major from 1803 on, was a very incompetent man, who, however, as the favorite of the king, Friedrich Wilhelm III., was much sought after for his reputed personal influence in securing appointments to the various branches of the government service (v. Allg. Deutsch. Biog., xvi, p. 416).

page 362 note 4 “Im Allgemeinen dürfte man sagen, dasz der gegen früher bemerkbare Unterschied darin bestand, dasz, während es sieh bisher um allgemeine Freiheitsverherrlichung gehandelt hatte, nun die spezielle Vorliebe für Frankreich, besonders für Napoleon als den Retter aus der Not, sich hervorwagte.” Geiger, Berlin, Bd. ii, p. 50. Cf. Gentz's opinion of the French Revolution cited ibid., p. 42; also the Berlinese estimate of Napoleon as “der neu entstandene ägyptische Prophet Bonaparte”—“einen von Gott hoch erleuchteten, geistvollen Mann, von dessen Seite alles Gute herkomme” (1799, ibid., p. 57).

page 362 note 5 Biedermann, l. c, pp. 53 ff.

page 362 note 6 Memoirs of Prince Metternich, Vol. i, p. 48, foot-note.

page 362 note 7 V. Gentz's opinion of the French Revolution. “Wie Gentz dachten auch die übrigen Kreise der höher Gebildeten ” (Geiger, l. c, p. 42).

page 362 note 8 “Quant à la Prusse, elle avait seule à se plaindre des stipulations secrètes du traité de Campo Formio; mais elle conservait encore la croyance, malheureusement erronée, que l'intention du premier consul était réellement de pacifier l'Europe, comme de la préserver de tout bouleversement intérieur” (Hardenberg, Mémoires tirés des Papiers d'un Homme d'État, tome huitième, p. 16). “Aussi l'annonce de la paix de Lunéville produisait-elle une allégresse vive et générale. Dans les transports qu'elle fit éprouver on croyait voir succéder la plus brillante prospérité à l'oppression dont on avait souffert, et les espérances à cet égard n'avait pas plus de bornes que les désirs toujours exagérés du vulgaire” (ibid., p. 49).

page 362 note 9 “Mais arrêtons-nous ici aux intérêts de la Prusse qui se lient essentiellement à ceux de la France, etc.” (Hardenberg, l. c, p. 227). “Puis, tandis que l'Empire tombait en ruine, le premier consul semblait vouloir rendre la Prusse assez puissante pour devenir la protectrice de l'Allemagne septentrionale, intention, qu'il ne cessa de manifester jusqu‘à l‘époque de la rupture du traité d'Amiens” (p. 240). “Le roi avait même assez de peine à résister aux instances de Bonaparte pour s'unir à lui contre l'Angleterre.… et il était dans la politique de Frédéric Guillaume de n'avoir à combattre ni pour ni contre la France” (p. 345).

page 362 note 10 “Car son acceptation (the cession of Hanover to Prussia) unissait hostilement la Prusse à la France contre le reste de l'Europe maritime ou continentale, et pouvait la précipiter dans une guerre générale et terrible, dont le cours eût été ruineux et l'issue incertaine” (Hardenberg, l. c., p. 266). “Mais l'importance de son (England's) commerce, lié à celui de toute l'Europe, et la prépondérance de sa marine qui la lend aggressive partout, vulnérable nulle part, lui impriment une telle vie politique, une telle influence sur la prospérité des autres états, qu'on peut la considérer comme le siège du principe vital du corps social européen” (ibid., p. 219). “Cependant, on se battait de part et d'autre aux dépens des puissances neutres. L'Angleterre, en bloquant les côtes dont on lui interdisait le commerce, ruinait celui de la Basse-Allemagne” (1803, ibid., p. 226).

page 362 note 11 “En Prusse cette nouvelle (the execution of the Duc d'Enghien) causa la sensation la plus douloureuse” (Hardenberg, l. c., p. 332). “La violation du territoire de l'Empire, l'arrestation et le meurtre du duc d'Enghien avait excité hors de la France comme dans son sein la plus vive horreur” (ibid., p. 352). “Événements qui firent plus que jamais fermenter les esprits dans le cabinet prussien, où dominait une opinion politique devenue toute antifrançaise” (1804, ibid., p. 414).

page 362 note 12 No direct evidence as to the speed made by the stage coaches between St. Omer and Paris in 1803 is before me. In 1793 Kleist made a journey from Frankfurt a/O. to Frankfurt a/M. via Leipzig, Erfurt, Gotha, Eisenach, Gelnhausen, and Hanau, spending one whole day in Leipzig. The journey of over 450 km. in an air line required just eight days, i. e., seven days' travel. A similar speed would cover the distance from St. Omer to Paris in a fraction over two days. In 1800 the return journey from Würzburg to Berlin, 47 old Prussian miles=220 English miles=254 km., required just five days. This speed would make the St. Omer-Paris trip in less than three days. During one portion of the journey the coach made 4 Pr. m. in five and one-half hours. At this pace the trip from St. Omer to Paris would take about one and one-half days. The correctness of the traditional “nach vier Tagen” may be accepted without question.