Sur la structure du 21ème chapitre de matthieu et paralleles
Published online by Cambridge University Press: 05 February 2009
page 297 note 1 Grobel, Voir: Kendrick, Formgeschichte undSynoptische Quellenanalyse (Göttingen, 1937),Google Scholar; et Dibelius, Martin, Formgeschichte des Evangeliums (Tübingen, 1933), p. 236:Google Scholar,‘Was wir bei dem heutigen Stande der Forschung von der Quelle Q, wissen, berechtigt uns eher von einer Schicht als von einer Schrift zu reden.’ Comparer lejugement de Joachim Jeremias: ‘die schriftliche Logienquelle ist u.E. ein Produkt der Phantasie’, in Unbekannte Jesusworte (Zurich, 1948), p. 8, note 2.
page 297 note 2 A partir de p. 219. Bultmann, Cf. R., Die Geschichte der synoptischen Tradition (Göttingen, 1921), pp. 194ff.Google Scholar
page 297 note 3 Pp. 225, 227, 258.
page 297 note 4 Dans, : Die Logia Jesu (Münster i.W., 1916).Google Scholar
page 297 note 5 Zeitschrft f.d. neutestamentliche Wissenschaft, XXVII (1928), pp. 338–48.Google Scholar
page 297 note 1 Assen, (Les Pays Bas), 1954, pp. 177ff.Google Scholar
page 300 note 1 Dans, son IivreJezus en Johannes de Doper (Leiden, 1953),Google Scholar P. D. van Royen essaie de démontrer que la parabole des mauvais vignerons a été à l'origine une parabole concernant Jean Baptiste. Le fils de la parabole devrait, à cause de Matthieu xi. 9 étre mis sur le même pied que Jean Baptiste. Je ne crois pas qu'il ait raison; mon opinion est que les indications de Jésus conime Fils de Dieu se sont produites pendant la vie de Jésus et je ne vois pas très bien comment Jésus, quand ii se considérait Iui-même comme étant Ie Fils de Dieu, pouvait se servir de cette indication pour désigner Jean. Voir aussi la critique de Ch., de Beus in Nederl. Theol. Tijdschrift, ix (1954), pp. 110f.Google Scholar
page 300 note 2 Jewish Hermeneutics, pp. 182f.Google Scholar
page 301 note 1 χάραξ signifie: palissade; ℑ d'après Gesenius-Buhl ‘der Wall’, d'après Köhler, Lexicon in V. T. Libros, ‘Sturmwall mit Plasterwegen’, vague d'assaut avec des pavés en pierré. Mais s'est maintenant dans la LXX de Proverbes iv. 8 que le Pilp. du verbe ℑ est traduit avec πΕριχαράκωσσν Par là il ressort que l'on n'a pas voir une profonde différence entre la ℑ et le κάραξ.
page 301 note 2 Luc parle, en outre, de re τά τέκνα la LXX du 137ème (136ème) Psaume de τά νέπια.
page 301 note 3 Le kétib dit ;le qéré: . Cependant, l'âge de ce qéré est bien difficile à déterminer.