^{page 147 note 1} Cf. Charlier, J.-P., ‘La notion de signe (σημεīον) dans le quatrième evangile’, dans Revue des Sciences Philosophiques et Théologiques, XLIII (1959), 434–48; K. H. Rengstorf, art. σημεīον dans Th. W. N. T. vii, 241–57.Google Scholar

^{page 147 note 2} Cf. Léon-Dufour, X., ‘Le mystère du Pain de Vie (Jean vi)’, dans Recherches de Science Religieuse, XLVI (1958), 481–523.Google Scholar

^{page 148 note 1} Cf. notre jean le Théologian (Paris, 1959), pp. 251–6.Google Scholar

^{page 148 note 2} Ibid. p. 257.

^{page 148 note 3} ‘La multiplication des pains dans la liturgie de la Didachè (Did. ix, 4)’, dans Stadia Biblica et Orientalia, ii (Rome, 1959), 375–90.Google Scholar

^{page 149 note 1} Cf. Grossouw, W., ‘La glorification du Christ dans le quatrième évangile’, dans L'Évangile de jean, Études et Problèmes (Paris, 1958), pp. 131–45.Google Scholar

^{page 149 note 2} Sur l'association du pouvoir prophétique aux fonctions du grand prêtre, et les conséquences que l'on en pourrait tirer au sujet des sources du quatrième évangéliste, cf. C. H. Dodd, ‘The Prophecy of Caiaphas’, dans Neotestamentica et Patristica (Mélanges O. Cullmann) (Leiden, 1962), pp. 134–43.

^{page 150 note 1} Cf. Barrett, C. K., ‘The Lamb of God’, dans N.T.S. 1 (1955), 214–18Google Scholar; The Gospel according to St John (Londres, 1955), p. 147Google Scholar; Richardson, A., An Introduction to the Theology of the New Testament (London, 1958), pp. 226–9.Google Scholar

^{page 150 note 2} Cf. Braun, H.-Th., ‘La robe sans couture. Sa technique en regard de l'évolution historique du métier à tisser’, dans Fleur bleue, Revue des industries du lin (1951), pp. 21–8, 45–53.Google Scholar

^{page 151 note 1} Cf. de laPotterie, I., ‘Jésus roi et juge d'après Jn xix. 13 (Εκάθισεν έπ⋯ βήματος)’, dans Biblica, XLI (1960), 217–47.Google Scholar

^{page 151 note 2} Cyprien, S., De Catholicae Ecclesiae Unitate, vii.Google Scholar

^{page 152 note 1} Cf. de Vaux, R., Les institutions de l'Ancien Testament, ii (Paris, 1960), 182–7.Google Scholar

^{page 152 note 2} Cf. Barrett, , op. cit. p. 458: ‘It seems likely that the distinction drawn between the Ιμάτια…and the χιτών arose out of a failure to understand that in the parallel form of Hebrew verse Ιμάτια and Ιματισμός ( and ) are to be regarded as synonyms, and not to be distinguished.’Google Scholar

^{page 153 note 1} Cf. Bultmann, R., Das Evangelium des Johannes (Goettingue, 1941), pp. 542–3; Barrett, op. cit. pp. 479 s.Google Scholar

^{page 153 note 2} Cf. Bauer, W., Das Johannesevangelium, 4^e éd. (Tubingue, 1933), pp. 234–5; A. Schlatter, Der Evangelist Johannes, Wie er spricht, denkt and glaubt (Stuttgart, 1948), pp. 367–77; E. Ruckstuhl, Die Literarische Einheit des Johannesevangeliums, Der gegenwärtige Stand der einschlägigen Forschungen (Fribourg en Suisse, 1951), pp. 134–49; A. Feuillet, ‘L'Heure de Jésus et le Signe de Cana’, dans Ephemerides Theologicae Lovanienses, xxxvi (1960), pp. 12 s.Google Scholar

^{page 153 note 3} Cf. Vaganay, L., ‘La Finale du quatrième évangile’, dans Revue biblique, XLV (1936), 512–28.Google Scholar

^{page 153 note 4} Cf. Boismard, M.-E., ‘Le chapitre xxi de saint Jean, Essai de critique littéraire’, dans Revue biblique, LIV (1947), 497.Google Scholar

^{page 153 note 5} In Ezech. XLVII, 9–12.

^{page 153 note 6} Cf. Grant, R. M., ‘One Hundred Fifty-three Large Fishes (John xxi. 11)’, dans H.T.R. XLII (1949), 273–5; J. A. Emerton, ‘The Hundred and Fifty-three Fishes in John xxi. 11’, dans J. T.S. ix (1958), 86–9; F. C. Grant, The Gospel and the Epistles of John (Londres, 1958), 11, 38.Google Scholar

^{page 154 note 1} Cf. Barrett, , op. cit. p. 484: ‘The Church remains one, in spite of the number and variety of its members.’Google Scholar

^{page 154 note 2} Cf. Feuillet, , art. cit. p. 13: ‘Nous croyons devoir insister sur le caractère essentiellement ecclésial de l'événement raconté ici par saint Jean. On serait tenté de penser que cette pêche s'ajoute aux sept miracles du ministère public et constitue un huitième miracle du Christ. Il n'en est rien. Cette pêche n'est pas une action du Christ, mais un acte de son Église, dont l'apostolat ne sera fructueux que grâce à l'assistance de son Fondateur, conformément à la parole: Sans moi vous ne pouvez rien faire (xv. 5).’Google Scholar

^{page 154 note 3} Cf. Barrett, , op. cit. p. 486: ‘The threefold question corresponds to the threefold denial; so does the threefold charge to keep the flock. In spite of the rebuke administered in v. 22 a very high view of the office and importance of Peter is taken. He takes the lead of fishing (v. 3); he is also the chief shepherd.’ Comme l'a noté O. Cullmann (Saint Pierre, Disciple-Apôtre-Martyr, Neuchâtel–Paris, 1952, p. 56), dans le Document de Damas (C.D. xiii. 9), le chef de la Communauté de l'Alliance est également présenté comme ‘berger de son troupeau’.Google Scholar

^{page 154 note 4} Au lieu de άρνία les MSS. C^* et D ont πρόβατα, qui en A D θ ω se lit également à la place de προβάτια. Si ces leçons ne sont pas originales, elles prouvent pour le moins que les scribes dont proviennent ces manuscrits avaient conscience des affinités entre la charge dévalue a Pierre et celle du Pasteur de la Parabole (x. 1–18).