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Note sur la structure littéraire de Lc i. 68–79

Published online by Cambridge University Press:  05 February 2009

Abstract

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Type
Short Studies
Copyright
Copyright © Cambridge University Press 1978

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References

page 248 note 3 Die lukanische Verfasserschaft ist zuletzt nachdrücklich Schottroff, von L. behauptet worden: ‘Das Gleichnis vom verlorenen Sohn’, Z.Th.K. 68 (1971), 2752.Google Scholar

page 248 note 4 Zum Sprachlichen s. den stringenten Nachweis von Jeremias, a. a. O., 172 ff., der aufgrund einer detaillierten Analyse urteilen kann: Die Hypothese, Lukas sei der Verfasser des ganzen Gleichnisses, ‘scheitert … am sprachlichen Befund’ (181). Zum Inhaltlichen vgl. Broer, I., ‘Das Gleichnis vom verlorenen Sohn und die Theologie des Lukas’, N.T.S. 20 (1973/1974), 453–62.Google Scholar

page 248 note 5 N.T.S. 12 (1965/1966), 382–9Google Scholar. C'est toujours cet article auquel nous nous référerons quand nous citerons A. Vanhoye. Nous donnerons donc la page entre parenthèses dans le corps du texte quand nous citerons cet article.

page 248 note 6 La terminologie est de Schürmann, H., Das LukasevangeliumGoogle Scholar (HTKNT), mais la distinction bien antérieure: cf. Benoit, P., Exégèse et théologie III, 184Google Scholar et les notes (= N.T.S. III (1956/1957)Google Scholar, ‘L'enfance de Jean-Baptiste selon Luc I’).

page 248 note 7 Déjà relevé par Benoit, P., op. cit. p. 182Google Scholar et note 3.

page 248 note 8 Déjà relevé par Benoit, P., op. cit. p. 185.Google Scholar

page 249 note 1 Déjà relevé par Vielhauer, P., ‘Das Benedictus des Zacharias’, in Aufsätze zum Neuen Testament, p. 40Google Scholar. La traduction proposée ci-dessous fait voir cette récurrence et celle du mot suivant.

page 249 note 2 Déjà relevé par Vielhauer, P., op. cit. p. 35Google Scholar. Cf aussi Schürmann, H., op. cit. p. 93 note 86Google Scholar. Ci-dessous, p. 255, note I.Google Scholar

page 252 note 1 A en croire A. Vanhoye lui-même: ‘Ma position consiste à dire que, pour établir la structure d'un texte, il faut rechercher attentivement les indices littéraires de composition, au lieu de se contenter de rechercher les idées du texte. J'accorde une priorité aux indices littéraires, mais non une exclusivité. Il faut d'ailleurs remarquer que ces indices ne sont pas tous “purement formels”…’ (cf. Discussions sur la structure de l'Epître aux Hébreux’, in Bib 55 (1974), 369–70).Google Scholar

page 252 note 2 Ces petites unités nous paraissent avoir la même importance que celle attachée par Rousseau, F. (‘La structure de Marc 13’, in Bib 56 (1975), 157–72)Google Scholar aux stiques, et nous faisons nôtre volontiers sa réflexion: ‘Comme on le voit, cette unité d'expression constitue une entité plus proche de la vie que ne l'est un mot isolé. Ce qui est construit directement par celui qui parle (ou écrit), c'est le stique, puis ce sont les rapports entre les stiques’ (p. 158).

page 254 note 1 Pas plus que le manque d'articulation syntaxique entre 73b et 77. Inutile de supposer avec Bultmann, (L'histoire de la tradition synoptique, p. 363 note 3)Google Scholar que 76 est un ajout, de sorte que, ‘76 enleve, le το δοναι(= donner) de 77 pourrait être parallèle à celui de 74’. Le fait que ‘tout au long de nos jours’ puisse être une conclusion dans le genre psalmique (cf Vielhauer, , op. cit. p. 39 note 59)Google Scholar, outre qu'il n'est pas aussi déterminant qu'il peut paraître (cf Benoit, , op. cit. p. 186)Google Scholar, ne constitue pas non plus une objection irréductible à une correspondance littéraire entre les deux verbes ‘donner’.

page 254 note 2 Vanhoye, A. lui-même n'hésite pas à donner comme se correspondant ‘faire rédemption’ et ‘faire miséricorde’ (p. 386)Google Scholar. Or, si la première expression est unique dans le Nouveau Testament, la seconde s'y rencontre trois fois, et après bien d'autres dans l'Ancien Testament (cf Bauer, W., Wörterbuch zum NT, col. 496)Google Scholar, si bien qu'ici aussi l'on pourrait dire que le verbe faire se fond dans l'expression ‘faire miséricorde’. Nous observons donc là aussi un certain décalage et un certain artifice dans la correspondance proposée, ce qui ne constitue pas cependant une raison suffisante pour la refuser.

page 255 note 1 Pp. 384–5. Cf ci-dessus, pp. 250–1Google Scholar, sur les rapports entre 68–69 (A) et 72–73a (B′).

page 258 note 1 On pourrait encore ajouter avec Benoit, P. (op. cit. p. 186 et note 3)Google Scholar qu'en 78 le Messie ‘est désigné par le terme d’ Άνατολή devenu traditionnel dans la Bible grecque pour évoquer les aspects connexes de rejeton qui jaillit du tronc davidique et d'astre qui surgit de l'horizon céleste', si bien qu'un certain rapport existe à partir de là entre 68–69 (A) et 78 (B′).

page 258 note 2 Il ne serait pas suffisant de fonder une telle correspondance sur le seul mot chemin: ‘Das gemein-same Stichwort όδο⋯ darf nicht verleiten, V 76 b und V 79 b in Parallele zu setzen’ (H. Schürmann: cf ci-dessus, p. 248, note 8)Google Scholar. Mais outre la parenté thématique entre 76 b et 79 b, leur correspondance dans l'ensemble décrit ci-après nous dissuade de négliger l'indice constitué par la récurrence de chemin.

page 258 note 3 op. cit. p. 34 note 30.Google Scholar