Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
To improve management of resources, such as agricultural crops or forests, scientists attempt to analyse the resource systems and to predict the consequences or outcomes of interventions. They construct models of interactions of components of the systems, drawing on knowledge and experience. In agriculture, five types of models have become common — empirical, crop–weather, crop–growth, crop–system, and crop–process. The models aim mainly to predict crop yields when a series of actions are taken. They differ markedly in complexity, from a simple regression to a series of mechanistic relations aimed at simulating the crop system. The uses to which a model is to be put, and by whom it will be used, are major determinants of the nature of the model so modellers must work with the potential users. In fact, modelling is an exercise in human relations as much as in science. All things being equal, the simpler the model is that meets the objectives of the users, the better are the chances of its being used.
Afin d'améliorer la régie des ressources telles que les cultures et les forêts, les scientistes tentent d'analyser les systèmes supportant ces ressources et de prédire les conséquences ou résultats d'interventions diverses. Ils inventent des modèles des interactions entre les composantes de ces systèmes en se référant aux connaissances et aux expériences acquises. En agriculture, cinq types de modèles sont d'usage courant : empirique, culture–météo, culture–croissance, culture–système et culture–fonction. Ces modèles tentent en général de prédire les rendements, à la suite d'une série d'interventions spécifiques. Ils diffèrent de façon marquée quant à leur complexité, variant de régressions simples, à des ensembles complexes de relations mécanistiques simulant le système. Les usages et les usagers auxquels il est destiné sont des éléments qui déterminent la nature d'un modèle, de sorte que le modélisateur doit travailler de concert avec ses usagers potentiels. En fait, la modélisation est une exercice de relations humaines autant qu'une science. Plus un modèle répondant aux objectifs visés est simple, plus grandes sont les chances qu'il soit utilisé.