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Published online by Cambridge University Press: 15 March 2011
LE service que M. Reichelt a rendu aux études sogdiennes par sa publication des textes du British Museum ne peut être pleinement apprécié que de ceux qui, pour avoir assumé une t'ache analogue, en connaissent les difficultés. Mais ceux-là savent aussi que tous les obstacles ne cèdent pas à un premier déchiffrement, même sagace. La nouveauté des documents, le nombre considérable de mots inédits, surtout de termes abstraits, et, quand il s'agit de traductions, l'absence des originaux, laissent souvent le chercheur démuni.
Page 29 note 1 Die soghdischen Handschriftenreste des Britischen Museums, Heidelberg, i, 1928Google Scholar; ii, 1931.
Page 30 note 1 A rapprocher probablement de pr” Dhyāna 260, plur. pr'tf’ 220, également obscur, mais qui paraît se rapporter aussi à quelque construction.
Page 39 note 1 δγ'n, cf. av. dag- “brûler”.
Page 39 note 2 Sur l'expression mryy 't my'wn cf. l'observation précédente. II s'agit ici d'une locution redondante signifiant simplement “un pareil, ce”.
Page 53 note 1 Sur la forme de ce nom, voir provisoirement Gauthiot, , MSL., xvi, p. 318Google Scholar et Bang, , Muséon, xxxvii, 1924, p. 113 sqq.Google Scholar
Page 55 note 1 Gramm. sogd., ii, p. 169. Etymologie déjà proposée par Schaeder, H. H., ZDMG., NF., vii, 1928, p. xcvGoogle Scholar.
Page 57 note 1 Müller, F. W. K., Handschriflenreste, ii, p. 98, 1. 2Google Scholar.
Page 58 note 1 Sur ce mot, cf. Laufer, , Sino-Iranica, p. 557 sqq.Google Scholar, et Sköld, Lehnwortersludien.