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Art. VII.—Tsieh-Yao-Tchuen de Tchou-hi (Extraits)
Published online by Cambridge University Press: 15 March 2011
Extract
La sagesse des Saints est grande; les gens d'études en s'y appliquant approchent de sa nature. Mais le destin assigné à chacun diffère, le perfectionnement de la vertu n'est pas égal en tous. Les Saints des premièrs âges s'accordent avec ceux des temps ultérieurs, comme les deux parties d'un sceau. On ne doit donc pas s'écarter d'eux; car, si on le fainsait tant soit peu, on s'en irait errant à mille lis de la vérité.
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- Original Communications
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- Copyright © The Royal Asiatic Society 1888
References
page 220 note 1 Disciples de Kong-fu-tze.
page 220 note 2 Principalement par les doctrines de Yang-tchu et Mih-tih.
page 220 note 3 Auteur du Tung-chu.
page 220 note 4 Disciple et ami de Tchou-hi. Tcheug-tze fut son maître.
page 221 note 1 Comme un pilier.—Ch. Litt. deux pierres.
page 221 note 2 D'apres le mandchou.
page 221 note 3 Grande collection des œuvres de l'école de Tchou-hi parue en 1713.
page 221 note 4 Exposé des principes de Tchou-hi, en 140 livres, ecrit par Li-tsing-ti en 1270.
page 221 note 5 Livre de Wan-kong.
page 221 note 6 Le Kin-sze-luh, exposė' des doctrines philosophiques, publié en 1175 et dont le commentaire seul est de Tchou-hi.
page 221 note 7 La 39e année du cycle. Le temps Wan-li est celui du régne de Shing-song des Ming, 1573 à 1620; il commence avec l'an du cycle Kuei-yen ou la 10e; c'est done le 29e année de cet empereur, l'an 1602.
page 222 note 1 L'un des noms littéraires pris par Tchou-hi.
page 222 note 2 On connaît suffisamment le Yang et le Yin, les deux principes des choses célestes et terrestres d'après la philosophic chinoise postérieure à Meng-tze.
page 222 note 3 L'un succédant à l'autre.
page 222 note 4 K'uan le 2d Koua du Yih-king; le premier marque l'origine des choses, le second, leur développement.
page 222 note 5 24e hexagramme désignant le renouvellement dans le nouveau système. Comp. de Harlez, C., Le texte originaire du Yih-King (Journal Asiatique, 1887, No. 3), Paris, E. Leroux.Google Scholar
page 222 note 6 L'auteur cherche à expliquer comment les principes actif et passif se combinent pour former les êtres. La succession de la vie et de la mort, de la croissance et déeroissance dans la nature, donne l'idée du Yang s'affaiblissant en Yin, pour reprendre vigueur peu aprés. Mais ce sont des mots et non des choses. Le Miroir de Kang-hi dit de même (V°. Yang): “Quand la substance du Yin se dilate et disperse, c'est le Yang. Quand la substance du Yin se condense et coagule, c'est le Yin.”
page 223 note 1 C'est à peu près le même systême que oelui du Brahmanisme. (Cp. Mânavadharmaçâstram, i. 5 et ss.
page 223 note 2 Le Koua fû V. plus haut.
page 223 note 3 Litteralement “souffle,” principe vital.
page 223 note 4 Ou: Se courbe et se dresse.
page 224 note 1 Dans les actes.
page 224 note 2 Traitant de ces ….
page 224 note 3 Commencement du Tchong-Yong.
page 226 note 1 Pour Tchon-hi le matériel des choses et la principe de raison qui est en elles ne sont pas des entités distinctes.
page 226 note 2 Bien que se raontrant on ne la voit pas, etc.
page 226 note 3 Il n'est pas pour cela invisible.
page 226 note 4 Ordinaire, fréquent, facile à pratiquer, etc.
page 226 note 5 Ce qui concerne l'etat, l'humanité, etc.
page 226 note 6 Mêe idée qu' à No. 4, 5.
page 227 note 1 Si les idées restent justes et conformes à la nature, elles seront les mêmes en tout temps.
page 227 note 2 C'est encore le li, raison, règie, rectitude!
page 228 note 1 L'humanité comprend la douceur et la bienveillance; la justice implique force, fermeté, action: les rites règlent les actes extérieurs; la sagesse engendre des actes intellectuels purs.
page 228 note 2 De tous les actes et éVénements bons.
page 229 note 1 De même des actes du cœur avant que celui ne les manifeste.
page 229 note 2 De mettre toutes choses d'accord.
page 230 note 1 La conclusion de ceci est que Shang-tzai rougissant réelleraent, non par feinte a conséquemment les qualités du cœur qui produisent cette honte, la bonté.
page 232 note 1 Se tiennent à jamais dans cet état double.
page 233 note 1 Aux sollioitation des choses extérieures, des circonstances.
page 233 note 2 Dans l'action le cœr sort de lui-même, les actes en sortent; dans le repos tout y reste inclus.
page 233 note 3 Sans objet étranger qui s'y reflète.
page 233 note 4 Déterminé ad unum, il n'est plus le fond commun, le milieu universel.
page 234 note 1 La nature est le fond, le cœur est le principe agissant.
page 236 note 1 51e exprimant “fermeté dans les principes.”
page 237 note 1 Livre de Tchu-tcheng de la dynastie des Song-Liu (vers 490).
page 238 note 1 Ou: la vigilance.
page 238 note 2 Poser comme fondement de faire, etc.
page 239 note 1 Avant l'acte il manque le mouvement et les actes.
page 240 note 1 Pour les Bouddhistes le nom est une partie de l'être accidentel et nullement une chose extérieure. Le nom contribue à déterminer l'être.
page 240 note 2 Célèbre poëte du xie siècle.
page 241 note 1 Voy. plus haut.
page 242 note 1 Sens douteux rendu d'après la Tersion mandchoue; tze=encu.
page 243 note 1 Tiré de Meng-tze I.
page 243 note 2 La bonne.
page 243 note 3 Encyclopédie de l'époque des Songs.
page 244 note 1 Par as nature.
page 244 note 2 Elles sont l'image et le modèle des vicissitudes des êtres.
page 244 note 3 Auteur contemporain de Tchou-hi; a écrit un recueil historique et littéraire.
page 246 note 1 Litt. sur un tapis, etc.
page 246 note 2 Ce sont les Kouas 31 et 32.
page 246 note 3 Les deux premiers livres du Shih-King.
page 246 note 4 Sont la loi de ce qui forme la commencement.
page 246 note 5 Tous les receptacles.
page 248 note 1 Plat à bord portant les offrandes.
page 248 note 2 Chargeoir.
page 248 note 3 Plat carré extérieurement et à fond arrondi.
page 248 note 4 Plat d' osier tressé.
page 248 note 5 Papier-monnaie qu'on brûle dans les cérémonies en l'honneur des morts. C'êtait généralement du papier de métal, de différentes formes.
page 249 note 1
page 249 note 2 C'est-à-dire par une cérémonie de joie.
page 249 note 3 Rites domestiques; œuvre de Tchou-hi.
page 249 note 4 Ou le septiéme jour du deuil.
page 250 note 1 Magnum omen à la fin de la 2e année de deuil, alors qu'on change de vêtements de deu.
page 250 note 2 Un temple ne contient que 9 tablettes. Quand une dizièrae doit yêtre apportée, la plus ancienne doit être portée ailleurs. Le Li-Ki prescrit la même chose pour la sixième.
page 250 note 3 On les ôte du trône support et on les porte dans le receptacle caché.
page 251 note 1 Le Siao-Siang, le Ta-siang et le Tan sont respectivement les sacrifices qui se font après la le, la 2e et la 3e année de deuil, alors que l'on change de vêtements.
page 251 note 2 713–742. Sous Huen-tsong des Tang.
page 253 note 1 Coton grossier.
page 253 note 2 Lettré du milreu du XIIe siècle(?).
page 253 note 3 Commentateur du Kia-Yu de Kong-fu-tze.
page 253 note 4 Collaborateur de Tchou-hi(?).
page 253 note 5 Le deuil extérieur de 3 aus a été diversement raccourci; celui du cœur ne peut l'être.
page 254 note 1 Cour des offices, fonctions.
page 255 note 1 Patent-Office (Mayers).
page 255 note 2 Surintendant de district indépendant du gouverneur, ayant affaire directement avec le gouvernement central et surveillant plusieurs préfectures ou Fous.
page 255 note 3 Ce titre appartient au temps des Songs.
page 255 note 4 Juge criminel de district.
page 256 note 1 Les discussions manquaient le sens.
page 257 note 1
page 257 note 2 Mandchou: ils donnent des repos aux efforts.
page 257 note 3 Le premier des Hans orientaux, 25–58Google Scholar P.C.
page 258 note 1 Au Fo-kien.
page 258 note 2 Arrondissement du Nan-ngan-fou, au Kian-si.
page 258 note 3 Au Fo-kien.
page 260 note 1 Du prince, du père et de l'époux avec les sujets, les enfants, l'épouse.
page 260 note 2 Humanité, droiture, convenance extéieure (rites), connaissance et foi.
page 260 note 3 Dans le nirvâna?
page 260 note 4 Par la contemplation inerte du boudhisme.
page 260 note 5 Pendant la vie et la condition d'homme.
page 261 note 1 La vie et la mort.
page 261 note 2 Après la mort dans l'état d'esprit; ou bien: après la mort on devient d'abord autre chose puis esprit.
page 261 note 3 Lea états d'homme et d'esprit.
page 261 note 4 Il est certain que ce n'est point.
page 262 note 1 Le dernier des Hia (1818) tyran détroné par le premier Shang, yao et Kie le prince modèle et le tyran.
page 262 note 2 Le bouddhisme.
page 262 note 3 Le bouddhisme était en faveur.
page 262 note 4 Comme Câkyamouni subitement illuminé sous l'arbre.
page 262 note 5 Ou: pouvoir promptement.
page 262 note 6 La vraie loi est daus la conscience et non dans l'illumination exterieure.
page 263 note 1 Leur échec dans la carrière des lettré, les a fait tourner vers le Bouddhisme.
page 263 note 2 Les annales des dynasties depuis les Tcheous.
page 263 note 3 Les livres d'histoire, les annales postérieurs qui ne relatent que les faits et ne prèchent point les principes, comme le Shuh-King.
page 263 note 4 Ou bien: qu'ils les lisent ou ne lisent pas, ce sera d'autant plus grave.
page 263 note 5 En cherchant de fausses ressemblances.
page 263 note 6 Dans leurs réflexions propres. L'illumination leur vient du dehors.
page 264 note 1 Se connaissant alors. Malgré tout cela ils sont bien loin des Saints de l'école des Lettrés.
page 265 note 1 En faisant accorder leurs doctrines avec celles de Bouddha.
page 266 note 1 Un principe fondamental différent de l'acte lui-méme.
page 266 note 2 Lettré du VI. siècle P.C. écrivit sur les régies domestiques avec tendance au bouddhisme.
page 266 note 3 Des détails, des conséquences.
page 268 note 1 Les bouddhistes “Tourner la roue de la loi,” est “la prêcher.”
page 269 note 1 Le Bouddhisme prescrit la méditation et condamne l'acte, le Karma.
page 269 note 2 Allusion à la conduite de Meng-tze qui faisait cela pour ses parents.
page 269 note 3 Il suffit de faire cela tellement quellement et c'est tout. Les lettrés exigent quelque chose de plus.
page 270 note 1 Il ne suffit pas de servir ses parents il faut le faire avec gravité et respect, et c'est ce que Pang Kui-Shi ne distinguait pas.
page 270 note 2 Les doctrines de Bouddha sont séduisantes par leur profondeur et beauté apparentes et trompsuses; quand on s'y livre, elle se rendent maîtresses de l'intelligence.
page 271 note 1 Négligeant tout ce qu'elle a de faux et d'irrationnel, on l'épure et ainsi la comprend mal. Alors elle séduit.
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- Cited by