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Art. IV.—A Treatise on Weights and Measures, by Eliyá, Archbishop of Nisíbín

Published online by Cambridge University Press:  15 March 2011

Extract

In 1877 I had the pleasure of presenting to the Society M. Sauvaire's translation of the curious treatise on weights and measures by Már Eliyá. That translation was founded on the Paris MS., which presented some considerable lacunæ; the whole of Chapters V. to X., and portions of Chapters XI. XII. and XIII., being missing. These M. Sauvaire has now been able to supply from a Gotha MS., which Dr. Pertsch was so good as to copy for him. I prefix to this supplementary translation part of M. Sauvaire's explanatory letter.

Type
Original Communications
Copyright
Copyright © The Royal Asiatic Society 1880

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References

page 111 note 1 Je dois la communication des extraits qui suivent à l'obligeance de M. le Dr. W. Pertsch, premier bibliothécaire de la Bibliothèque grand’ ducale de Gotha. Ce savant a bien voulu m'en faire parvenir une copie et m'a ainsi mis à-même de compléter la traduction de l'intéressant traité de Mâr Eliyâ. Qu'il me permette de lui en exprimer publiquement toute ma gratitude. Voy. pour la première partie de la traduction, Roy. As. Soc. of Great Britain and Ireland, June, 1877.—H. S.

page 111 note 2 Sur la signification que je donne à ce mot, cf. le Tâdj el 'aroûs, éd ar. d'Arif Pacha, sub verbo.

page 111 note 3 Deuhn. Plus ordinairement on emploie le mot zayt. Voy. les extraits de Casiri.

page 112 note 1 On donne en Egypte le nom de koûz à un vase en fer Wane muni d'une anse, avec lequel on puise l'eau qui s'égoutte du zîr. Il contient environ un demi-litre. Le Qûmoûs porte seulement: “vase connu.” On lit dans le Tâdj el 'aroûs: “On dit kâza, yakoûzou, pour siguiner boire avec un koûz, de même qu'on dit kâba, yakoûbou pour signifier boire avec un koûb, qui est le koûz sans anse.”

page 112 note 2 mesure pour le vin,—et aussi jarre à anse, du persan Qāmoūs, Oqīānos.

page 112 note 3 Ne se trouve pas dans le Qāmoūs avec le sens de mesure.

page 112 note 4 Je n'hésite pas à lire de la même racine que mot ayant le sens de “grande mesure connue servant à partager; on l'appelle aussi fâledj. Suivant quelques-uns, c'est le qajîz. La racine de ce mot est, en Syrien, falghâ; il a été arabisé … C'est de feldj que vient feldjân, que le vulgaire prononce improprement findjân et qui sert à, boire le café, etc.” Tūdj el 'aroūs.

page 112 note 5 “La grande jarre, soit en toute matière, soit en grès et, au contraire, le petit koūzQāmoūs.—[See Lane, , Mod. Eg. p. 148.] La qollah est encore en usage au Maroc pour l'huile.Google Scholar

page 112 note 6 Ne se trouve pas dans le Qāmoūs aveo le sens de mesure. C'est le (conge) des Grecs, mesure pour les liquides nontenant trois litres et un quart environ. Casiri l'appelle (hoūsy).

page 112 note 7 (sic). N'a le sens de vase qu'avec l'orthographe On peut comparer le mot d'origine étrangère avec l'expression du dialecte dorien coupe, vase à boire. a d'ailleurs le même sens et se trouve plusieurs fois dans le Qor'ân.

page 112 note 8 , le des Grecs, mystre, mesure contenant deux cuillerées, et signifiant, dans le langage ordinaire, grande cuitter.

page 112 note 9 Ne se trouve pas dans les dictionnaires avec le sens de mesure.

page 112 note 10 Les mesures qui ne sont accompagnées d'aucune remarque se rencontrent fréquemment dans les auteurs. Cf. mes Matériaux pour seivir à l'histoire de la numism. et de la métrol. musulmanes.

page 112 note 11 et plus loin Ces termes ne sont pas donnés par les dictionnaires. Peut-être faut-il lire mazrabah, comme dans le Journal As., article de M. Behrnauer.

page 112 note 12 Proprement quart. A passé dans l'espagnol et est en usage à Mazagan (Maroc) sous le nom d'arroba.

page 112 note 13 C'est-à-dire huitième.

page 113 note 1 Ne se trouve pas dans les dict, avec le sens de mesure. Plus loin ce mot est écrit plusieurs fois , ce qui me paraît être la véritable orthographe; en effet le verbe signifie “approoher les lèvres d'un vase pour y boire.”

page 113 note 2 “Certaine grande mesure de substances sèches.” Kazim.—Cette mesure était en usage dans les environs de Sedjelmâsah, Voy. El Bekri.

page 113 note 3 Le qest me paraît devoir être identifié avec le Xeste ou setier romain de deux cotyles, et de la oontenance de 54 centilitres.

page 113 note 4 Casiri, i. p. 282 dit (d'après MS. 839) que le qest de vin pèse 20 onces; ce qui fait bien 1 ratl (=12 onces) et 8 onces. Le ratl roûmy est de derhams ou 72 metqâls (Voy. El Diabarty, tableau, et Mâr Eliyâ, ch. iii.) Son once est done de 6 metqâls. En adoptant 1'évaluation du derham donnée par Mahmoud Bey (Le syst. métr. actuel de l'Eg.) de 3 gr., 0898 on a pour le metqâl (= derbam) 4 gr., 414. Ce qui donne pour le qest 20 x 6 x 4 gr., 414 = 529 gr., 68.

page 113 note 5 Ce qui fait 130 x 6 = 780 derhams, ou x 6 = derbams, suivant qu'on adopte l'estimation d'Er-Râfé'y ( + a. 623) ou celle d'En-Nawawy ( + a. 676) pour le nombre de derhams dont se compose le ratl de Baghdâd.

page 113 note 6 Soit 130 x 3 = 390, ou bien x 3 =

page 113 note 7 (sic).

page 113 note 8 De Balad. Balady signifie le plus souvent “de la ville, local”; mais je n'hésite pas à préférer le premier sens, attendu que l'auteur nous parle plus loin du Diâr-Rabî'ah, région dans laquelle était située la ville de Balad. Mâr Eliyâ. nous dit (ch. iii.) que le ratl de Balad (balady) était de 420 metqâls. 3 x 420 x 4 gr., 414 = 5 kil. 561,64 pour la falîdjah, et 55 kil. 616,4 pour les dix falîdjah ou la qollah. La qollah d'huile pèse actuellement 30 kilogr. à Casablanca et 17 kil. 280 à Mazagan.

page 113 note 9 (sic) = .

page 114 note 1 Le MS. de Gotha écrit

page 114 note 2 (sic). Dans Casiri, l.c., ce mot se trouve écrit par un , C'est la des Grecs. Un peu plus haut, le qoûtoûly n'est pas mentionné, et le mot qui précède moûsatroûn est . On pourrait supposer que le copiste n'ayant pas compris le terme qu'il avait à éorire s'est arrêté à moitié chemin.

page 114 note 3 Voir la note à la fin du chapitre. 10 x 6 x 4 gr., 414 = 264 gr., 84.

page 114 note 4 Nous sayons que 20 metqâls = derhams. Les 3⅓ onces du ratl roûmy égalent donc aussi derhams. D'où 1 once roûmy = derhams. Or x 12 = ce qui est bieu le nombre de derhams attribué au ratl roûmy par El Djabarty.

page 114 note 5 pl. de

page 114 note 6 (sic).

page 114 note 7 Deuhn.

page 114 note 8 C'est-à-dire aux du contenu de la même mesure en vin. J'ai ajouté les mots placés entre crochets, évidemment omis par le copiste et indispensables au sens, ainsi que l'indique la phrase suivante. Voy. aussi la note à la fin du chapitre.

page 114 note 9 (sic) pour .

page 114 note 10 Par exemple, le qoûtoûly contient 9 onces d'huile, 10 onces de vin et 13½ onces de miel. Voir la note à, la fin du chapitre.

page 115 note 1 Confonne au Kétâb el hâwy, qui ajoute qu'il est égal aussi à 24 kayhdjeh.

page 115 note 2 El Moqaddasy dit qu'en Mésopotamie le qaîh est le quart de la kârah, égale à 240 ratls. Voy. mes Matériaux pour servir à l'hist. de la numism. et de la métrol. mus.

page 115 note 3 Le MS. de Gotha porte (qanfal) ou (qanghal).

page 115 note 4 Le texte porte mais il est évident qu'il faut

page 115 note 5 C'est-à-dire, le makkoûk de-l'Irâq équivaut à, etc.

page 115 note 6 Le Qâmoûs, Casiri, l.c. et El Moqaddasy (pour le makkoûk de Jérusalem) donnent ce même chiffre.

page 115 note 7 Je lis au lieu de que porte le texte.

page 115 note 8 Je lis au lieu de

page 115 note 9

page 115 note 10 Mâr Eliyâ se trompe, car la proportion 9 : 135½ :: 45 : x = 6½.

page 115 note 11 L'auteur se trompe encore ici; il faut 270 et non 235.

page 115 note 12 Nouvelle erreur; la kaylah de miel contient 1080 derhams et non 900.

page 115 note 13 (sic), pl. de

page 116 note 1

page 116 note 2 (sic). On peut lire “ce qu'apporte”, c. à. d. “ce que coatient”, ce verbe toutefois n'est employé que dans le langage vulgaire; ou bien “ce que cache,” c'est-à-dire encore “ce que contient”; de la même racine vient “jarre à vin ou à huile.”

page 116 note 3

page 118 note 1

page 118 note 2

page 118 note 3 Chapitre VIII.

page 119 note 1 Le MS. porte par erreur au lieu de —Dr. Pertsch.

page 119 note 2 Deuhn. C'est toujours ce terme qu'emploie Mâr Elijâ et que je traduis par “huile.”

page 119 note 3 (sic) pour On rencontre plus généralement encore

page 120 note 1 Le MS. porte Je n'hésite pas à lire comme on lit à la ligne suivante.

page 121 note 1

page 121 note 2 Le MS. de Gotha, comme celui de Paris, porte partout (qarasloûn), et ce qu'il y a de plus curieux, e'est que ce nom a été lu ainsi par Gérard de Crémone dans sa traduction (Liber Carastonis editus a Thebit filio Chore; Liber Thebit de ponderibus, qui dicitur Liber Carastonis). Cependant il faut lire ferestoûn mot persan, ainsi que M. le Dr. Leclerc en a fait le premier la remarque en ajoutant que dans la liste d'Ebn Abî Osaybi'ah on trouve cité parmi les éerits de Tâbet ebn Qorrah le livre dit Farestoûn. Voy. Hist. de la méd. ar., ii. p. 414.Google Scholar Le liber carastonis mériterait bien d'être publié, l'auteur arabe étant mort en 901 de J. C. Je signalerai encore sur les poids et mesures, grâce à M. Leclere, le livre xxix. du Tasîf d'Abou'l Qasîs ez-Zahrâwy dont la B. Bodléienne possède l'ouvrage entier sous les Nos. 414 et 415; le chap. xxii. du Menhâdj ed deukkân de Côhen el ‘Attâr, qui écrivait en l'an 1259 de notre ére; un traité des poids et mesures d'Ebn el Beytar, qui existerait à Leyde et à Madrid; et enfin un Traité sommuire des poids et mesures, dans le Commentaire de l'Ardjoûzah d'Avicenne par Mohammad ebn Isma'îl (B. Nat. s. ar. No. 1022, exemplaire autographe de l'an 788 de l'hég.).

page 122 note 1 Le mot (taraf) signifie “partie, côté d'ou bras de la balance, et aussi bout, extrémité.”

page 122 note 2 La langue, la flè;che, la languette. Voy. sur les noms des diff. parties dont se compose la romaine ma trad, inédite d'El Djabarty.

page 122 note 3

page 122 note 4

page 122 note 5 Dans son commentaire du Bordah, Khâled el Azhary dit que les mots mablagh, qadr et meqdâr sont synonymes.

page 123 note 1 C'est la partie du corps de la romaine comprise entre les deux lésân (languettes). Ce terme n'a pas d'équivalent en français.

page 123 note 2 Je lis comme dans le MS. de Paris.

page 123 note 3 Lit. “plus lourde”

page 123 note 4 Cette leçon est préférable à celle du MS. de Paris, qui donne

page 123 note 5

page 123 note 6 Le copiste a supprimé ici le mot qu'on lit dans le MS. de Paris.

page 123 note 7 Je suis la leçon du MS. de Paris, qui est la bonne. Le MS. de Gotha écrit (la moitié).

page 123 note 8 Le MS. de Gotha porte et celui de Paris

page 123 note 9 Le copiste a supprimé tout ce que j'ai placé entre crochets.

page 124 note 1 La suite est conforme au MS. de Paris.

page 124 note 2 C'est le crochet auquel est suspendu le plateau.

page 124 note 3 Telle est dans le MS. de Gotha la fin de ce chapitre, qui manque dans le MS. de Paris.

page 124 note 4 (sic), en-nésîbîny.

page 124 note 5

page 124 note 6

page 125 note 1 Quoique le toxte porte je ne doute pas qu'il ne faille lire, comme plus haut,

page 125 note 2

page 125 note 3 Le MS. porte au lieu de

page 125 note 4 en-nésîby.

page 125 note 5

page 125 note 6 Le MS. de Gotha supprime la fin du chapitre, donnée par le MS. de Paris, et passe immédiatement au chap. xiv.