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Problèmes de l'Anamnèse1
Published online by Cambridge University Press: 25 March 2011
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L'anamnèse des liturgies eucharistiques pose deux problèmes: celui de son origine et celui de son développement. Le premier se rattache à la question plus générale de la structure de l'anaphore. Celle-ci, telle qu'elle nous apparaît dès la fin du IVe siècle, comporte six parties, abstraction faite des prières d'intercession qui représentent un développement secondaire. Ce sont: i. l'action de grâces; 2. le Sanctus; 3. le Post-Sanctus; 4. le récit de l'institution; 5. l'anamnèse; 6. l'épiclèse.
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- Copyright © Cambridge University Press 1954
References
page 16 note 2 Tradition apostolique 4, éd. Botte, B., Paris 1946, p. 32Google Scholar.
page 16 note 3 De sacramentis iv, 6, 27, éd. Botte, B., Paris 1950, p. 86Google Scholar.
page 16 note 4 Const, apost. viii, 12, 38.
page 16 note 5 Testamentum Domini nostri Iesu Christi, éd. Rahmani, I. E., Mayence 1899, 42–3Google Scholar.
page 16 note 6 Brightman, F. E., Liturgies Eastern and Western, Oxford 1896, 328–9Google Scholar.
page 16 note 7 Ibid.
page 16 note 8 Ibid., 52–3 et 87.
page 16 note 9 Ibid., 437–8.
page 16 note 10 Ibid., 133. Cf. Roberts, C. H. et Capelle, B., An Early Euchologium, Louvain 1949, 28–9Google Scholar.
page 17 note 1 Cf. Ratcliff, E. C., ‘The original form of the Anaphora of Addai and Mari,’ dans Journal of Theological Studies xxx. (1929), 23–32Google Scholar.
page 17 note 2 Cf. Botte, B., ‘L'Anaphore chaldéenne des Apôtres,’ dans Orientalia Christiana periodica xv. (1949), 262–3Google Scholar. La traduction est basée sur le texte du missel nestorien de Urmiah de 1890 et du Missale Chaldaicum de 1767, confronté avec la version de Renaudot (première édition en 1716) et celle de Menezes de 1606. Cette dernière reproduit la forme qui avait cours au Malabar vers 1490. Il n'y a pas de variantes notables. Le texte n'a done pas changé depuis la fin du XVe siècle.
page 17 note 3 Aphraate, De pasch., Patrologie Syriaque i. 273. Ephrem, Serm. IV in hebd. sancta, éd. Th. Lamy, t. i. p. 426. Voir les textes cités dans B. Botte, a.c, 271–4.
page 18 note 1 On ne trouve cette variante ni dans le Diatessaron arabe ni dans l'italien, ni dans le vieux-néerlandais. Pour ce dernier, la grande édition de Plooy néest pas encore arrivée à ce passage, à ma connaissance; mais la traduction en néerlandais moderne donnée par Van Kersbergen, G. C., Het Luiksche Diatessaron, Rijswijk 1937, 125Google Scholar, ne contient rien de semblable à notre récit.
page 19 note 1 Tradition apostolique, éd. B. Botte, 32.
page 19 note 2 De sacramentis iv, 6, 27. Le texte du Liber Pontificalis, éd. L. Duchesne, i. 124, sur le pape Alexandre nous dit: ‘His passionem domini miscuit in praedicatione sacerdotum quando missae celebrantur.’ Cette notice, d'ailleurs assez obscure, ne nous apprend rien de certain, étant donné le caractère légendaire de cette partie du livre.
page 20 note 1 Epist. ad Eph., xx. 1.
page 20 note 2 Adv. haer., i. 10, i (éd. Harvey i, 3, 1, t. i, p. 93).
page 20 note 3 Dial. 41, cf. ibid., 117.
page 20 note 4 Cf. A. Hahn, Bibliothek der Symbole, Breslau 1897, 161, n. 142, et n. 143 (version latinede saint Hilaire: passus est et resurrexit).
page 20 note 5 Ibid., 527, n. 187.
page 20 note 6 Ibid., 131, n. 123.
page 20 note 7 Ibid., 183–6, n. 153–6.
page 20 note 8 Ibid., p. 138, n. 127.
page 20 note 9 Cf. E. Renaudot, Liturgiarum orientalium collectio, Francfort 1847, t. i, p. 15 et 67. Malgré la traduction de Renaudot (passionem), le copte aussi un pluriel, cf. Assemani, J. A., Codex liturgicus Ecclesiae universae, Rome 1754, t. vii, p. 56Google Scholar.
page 21 note 1 Anaphoras syriacae, t. i, p. 20–1.
page 21 note 2 Ibid., 117–8.
page 21 note 3 Assemani, op. cit., 96–7.
page 21 note 4 Cf. Botte, , Le Canon de la messe romaine, Louvain 1935, p. 63Google Scholar.
page 21 note 5 ‘Das Mysteriengedächtnis der Messliturgie,’ dans Jahrbuch für die Liturgiewissenschaft (1926), 131.
page 22 note 1 Cf. Dial., 28.41.116.117.
page 22 note 2 Dial., 41.
page 22 note 3 Apol, i. 13. Comparez προσϕɛρμɛθα avec αυτοῖς κα τοῖςδɛομνοις προσϕρɛιν. On n'offre pas à Dieu des dons alimentaires, mais on lui rend grâces pour tous ceux qu'il nous donne à manger.
page 22 note 4 Ibid., i. 67.
page 22 note 5 Voir le texte cité plus haut p. 17.
page 23 note 1 The Shape of the Liturgy, Westminster 1945.
page 23 note 2 Altchristliche Liturgien, Goettingen 1921–2.
page 23 note 3 ‘L'épiclèse de l'anaphore d'Hippolyte,’ dans Recherches de théologie ancienne et médiévale, xiv (1947), 241–51Google Scholar.
page 24 note 1 Pour l'histoire de l'anaphore des Apôtres, je me permets de renvoyer à létude qui vient de paraître: ‘L'épiclèse dans les liturgies syriennes orientales’, dans Sarcris Erudiri 6 (1954). 48–72CrossRefGoogle Scholar.
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