¹ Guinée: prélude à l'Indépendance, I^e vol. in 8^e (Paris: Présence Africaine, 1958), 176 pp.Google Scholar

² Conférence gui fit entériner par l'administration coloniale de Guinée la décision de supprimer Ia chefferie.Google Scholar

³ Texte emprunté au préambule de la Constitution française de 1946.Google Scholar

⁴ Pacha de Marrakech, appui de l'administration française du protectorat marocain dans sa lutte contre Mohamed V.Google Scholar

⁵ Op. cit., avant-propos, 11.Google Scholar

⁶ France–Observateur, no. 440 ( 9 octobre 1958), 23.Google Scholar

⁷ Leader du gouvernement de la loi-cadre au Niger, qui appela à voter ‘non’, mais fut neutralisé par I'administration, puis destitué et vit aujourd'hui en exil.Google Scholar

⁸ Op. cit. 12.Google Scholar

⁹ Ibid.

¹⁰ Révolution, no. 3 (1963).Google Scholar

¹¹ Ameillon, B., La Guinée, bilan d'une indépendance (Paris: Maspero, 1964).Google Scholar

¹² Ibid. 24.

¹³ Argumentation développée à partir d'une intervention de Sékou Touré à la Conférence des Commandants de Cercle, qui faisait valoir l'incompatibilité des structures coutumières avec le développement industriel.Google Scholar

¹⁴ Sur cette question voir Cornevin, R., ‘Evolution des chefferies dans l'Afrique noire d'expression française’, Recueil Penant (1961), nos. 686–8,Google Scholar et Suret-Canale, J., Afrique Noire – L'ère coloniale (Paris; Ed. Sociales, 1964), 106, 406–13.Google Scholar

¹⁵ Gouvemeur général W. Ponty, rapport au conseil de gouvernement de l'A.O.F., 20 juin 1910 (Afrique française, no. 7, juillet 1910).Google Scholar

¹⁶ Vieillard, Gilbert, ‘Notes sur les Peulhs du Fouta-Djalon’, Bull. I.F.A.N. no. 1 (1940), 129.Google Scholar

¹⁷ Circulaire du 15 août 1917, Afrique française no. 12 (décembre 1917), 270.Google Scholar

¹⁸ Cf. Marty, Paul, La Politique indigène du Gouverneur général Ponty (Paris: E. Leroux, 1915), 14.Google Scholar

¹⁹ Une seule exception: la libération ‘politique’ des captifs des Peuls du Goumba, région située d'ailleurs à la limite du Fouta, suite aux incidents qui opposèrent lea autorités coloniales au ‘Ouali de Goumba’ Tierno Aliou (1911). Cf. Verdat, M., ‘Le Ouali de Goumba’, Etudes guinéennes, no. 3 (1949), 2–66.Google Scholar

²⁰ Au début de l'année 1896, Alfa Yaya écrit au commandant de cercle de Satadougou (Soudan) et au chef de Dioulafoundou Bintou Mady, pour leur demander secours: ‘…[il] demande notre protection… contre l'Almamy Bokari Birou de Timbo qui vient de lui enlever son commandement et de le donner à Mamady Salif, le chef du Gataoundou …Ce chef [Alfa Yaya] … était l'ami de l'Almamy Abdoulaye Diallo qui a été tué avec sa famille par Bokari … ’ (lettre du lieutenent Le Brun, Commandant de cercle de Satagoudou, 17 avril 1896, Archives Nationales du Mali, Satadougou).Google Scholar

²¹ ‘Dans le courant de l'année dernière [1897] Modi Yaya Alfa de Labé fit savoir au gouvernement de la Guinée que son frère Mahmadou Salif était un pillard … Lea rôles auraient Pu être renversés sans porter aucunement atteinte à la vérité. Le gouvernement de la Guinée crut cependant devoir donner carte blanche à Modi Yaya Alfa pour faire restituer par la force le produit des pillages de Mahmadou Salif… En 1895 lorsque, je commandais le poste d'Hamdallahi (haute Casamance) j'ai déjà signalé la haute valeur intellectuelle sinon morale de Modi Yaya et son inquiétante ambition. Depuis, ce chef a réussi à s'agrandir considérablement en faisant disparaître un Certain nombre de membres de sa famille et de chefs qui l'environnaient. Au mois de mars dernier, fort de l'autorisation donnée, il tomba sur le Gataoundou, s'en empara et fit tuer simplement son frère qui le gênait' (Archives Nationales du Mali, Satadougou, Rapport spécial 1^er février 1898). Alfa Yaya s'agrandira par ailleurs en direction du Nord, aux dépens du chef Peul indépendantdu N'dama, dont l'administration française le débarrassera en 1901 en le déportant au Congo.Google Scholar

²² La règle de l'alternance jouait jusque là pour les chefs des diwé comme pour les Almamys.Google Scholar

²³ Archives Nationales de Guinée, 1.E,6.Google Scholar

²⁴ Ibid.

²⁵ Arcin, André, Histoire de la Guinée française (Paris: Challamel, 1911), 592. Sur lea modalités de perception, le Journal de poste de Timbo précise: ‘Tous les chefs… sont bien avertis que l'on accepte, sur leurs affirmations, les comptes qu'ils nous donnent; mais que un jour ou l'autre, on passera chez eux compter les cases et que s'ils ont donné des comptes inexacts, non seulement les cases trouvées en plus seront obligées de payer l'impôt, mais encore seront frappées d'une an-iende d'un bceuf chacune, sans préjudice de la responsabilité des chefs et de leur révocation.’ Journal de poste de Timbo, 4 août 1898 (de la main de l'administrateur Noirot). Archives régionales de Mamou, République de Guinée.Google Scholar

²⁶ Archives Nationales de Guinée, 1.E. 6.Google Scholar

²⁷ Rapport d'ensemble sur la situation générale de la Guinée française en 1898, p. 81.Google Scholar

²⁸ Nous avons relaté cette affaire dans ‘La Guinée dana le système colonial’, Présence Africaine, XXIX (déc. 1959-janv. 1960), 16–18. Voir aussi Demongeot, A., ‘Notes sur l'organisation politique et administrative du Labé, Dakar’, I.F.A.N. et M. Crespin, ‘Alpha Yaya et M. Frézouls’, Revue indigène (1906), no 2, pp. 45–6 (âpre critique de la nouvelle politique instaurée par Frézouls; la même opinion se retrouve dans l'Histoire tie la Guinée française d'Arcin et paraît avoir été partagée par la plupart des administrateurs de l'équipe Noirot-Cousturier).Google Scholar

²⁹ Rapport d'ensemble sur la situation génerale de la Guinée française en 1906 (Conakry: Imprimerie Ternaux (1907)).Google Scholar

³⁰ Cf. Verdat, M., op. cit., Archives Nationales de Guinée, 1.E.7, et le Journal l'A.OF. (Conakry), nos. de septembre 1911.Google Scholar

³¹ Il est l'auteur d'un copieux volume de ‘Notes sur les personnalités religieuses et influentes du Fouta’ (déposé aux Archives régionales de Mamou, Guinée) qui a dû servir de source à l'Islam en Guinée de Paul Marty.Google Scholar

³² ‘Gouvernement général de l'A.O.F.’, Rapport annuel d'ensemble 1912 (Paris: Larose, 1915).Google Scholar

³³ Les Archives régionales de Mamou (Guinée) conservent un rapport justificatif de Thoreau-Levaré, daté de 1914, sur ces opérations.Google Scholar

³⁴ L'arrêté local du 21 décembre 1934 fixant les ‘soldes annuelles’ des chefs de canton attribue à l'Almamy de Dabola (descendant de la branche Soriya) 11.200 frs, contre 2 à 4.000 pour la moyenne des chefs de canton (250 frs pour celui de l'ile de Kassa, le dernier de Ia hiérarchie).Google Scholar

³⁵ Sur un de ces épisodes, la ‘colonne du Nunez’ (1885), voir Vigné d'Octon, Journal d'un marin (Paris: Flammarion, 1897);Google Scholar et Demongeot, A., ‘Histoire du Nunez’, Bulletin du Comité d'Etudes historiques et scientifiques de l'A.O.F. XXI (1938), 263.Google Scholar

³⁶ Archives Nationales de Guinée, 1.E. 15 et 1.E. 22. Cf. également Dr Méo, ‘Etudes sur le Rio Nunez’, Bulletin du Comité d'Etudes historiques et scientfiques de l'A.O.F. (1919), nos. 3 et 4, et Kaké Ibrahima Baba, ‘A propos de l'exil de Dinah Salifou’ (Présence Africaine, L1, 3^e trimestre (1964), 146–58.Google Scholar

³⁷ Jusqu'en 1899, la Haute-Guinée était rattachée au Soudan.Google Scholar

³⁸ Cf. Paulme, D., ‘La société Kissi; son organisation politique’, Cahiers d'Etudes Africaines, 1, 1 (1960), 73–85,CrossRefGoogle Scholar et Person, Y., ‘Soixante ans d'évolution en pays Kissi'Google Scholar, ibid. 86–112.

³⁹ Archives Nationales de Guinée, 1. D. 40.Google Scholar

⁴⁰ Cf. Y. Person, op. cit.Google Scholar

⁴¹ Pauime, Denise, ‘La Société Kissi; son organisation politique’, Cahiers d'Etudes Africaines, 1, 1 (1960), 77.Google Scholar

⁴² Jusqu' à la veille de la seconde guerre mondiale, les ‘cercies’ de la région forestière situés sur la frontière demeurèrent sous administration militaire.Google Scholar

⁴³ Rapport d'ensemble sur la situation générale de la Guinée française en 1903 (Conakry: Imprimerie Ternaux), 66.Google Scholar

⁴⁴ Cf. Canale, J. Suret, ‘La Guinée dans le système colonial’, Présence Africaine, XXIX (déc. 1959-jan. 1960), 25–7,Google Scholar et Afrique Noire – L'ère coloniale (Paris: Editions Sociales, 1964), 138–142.Google Scholar

⁴⁵ Person, Y., op. cit.Google Scholar

⁴⁶ Richard-Molard, J., L'Afrique occidentale française (Paris: Berger-Levrault, rééd. 1956), 168.Google Scholar

⁴⁷ Lelong, M. H., Ces hommes qu'on appelle anthropophages (Paris: Alsatia, 1946), 52.Google Scholar

⁴⁸ Molard, J. Richard, op. cit. 168.Google Scholar

⁴⁹ Archives de Kissidougou, ‘Rapport du Commandant de cercle en date du 8 février 1943.’Google Scholar

⁵⁰ Tonnages: Boké 30, Dabola 25, Dinguiraye 50, Faranah 100, Kankan 80, Kindia 20, Télimélé 40, Kouroussa 40, Labé 110, Mali 30, Mamou 40, Pita 50, Dalaba 35, Siguiri 100 (Archives de Kissidougou: A–Rapports économiques, 1935–1947).Google Scholar

⁵¹ Lelong, M. H., op. cit. 261.Google Scholar

⁵² Molard, J. Richard, op. cit. 168.Google Scholar

⁵³ Lelong, M. H., op. cit. 262.Google Scholar

⁵⁴ Ibid. 188–9.

⁵⁵ En Guinée forestière, les fonctionnaires, jusqu'en 1946 au moins, se déplacent en ‘hamac’ (sorte de chaise à porteurs).Google Scholar

⁵⁶ Lelong, M. H., op. cit. 189.Google Scholar

⁵⁷ Ouvriers agricoles saisonniers.Google Scholar

⁵⁸ Archives de Dalaba, ‘Rapports politiques annuels, 1942–1945’.Google Scholar

⁵⁹ Société Commerciale de l'Ouest Africain.Google Scholar

⁶⁰ Archives de Kissidougou.Google Scholar

⁶¹ Lelong, M. H., op. cit. 264.Google Scholar

⁶² Le Réveil (Dakar), no. du 10 octobre 1949.Google Scholar

⁶³ Op cit. 50.Google Scholar

⁶⁴ Cornevin, R., ‘L'évolution des chefferies dans l'Afrique Noire d'expression française’, Recueil Penant, no. 687 (3^e trimestre 1961), 388.Google Scholar

⁶⁵ Archives de Kouroussa, ‘Rapport politique 1942’.Google Scholar

⁶⁶ Ibid., ‘Rapport politique 1945.

⁶⁷ A Dalaba, pour les élections des 21 octobre et 18 novembre 1945, il y a 27 inscrits au collège des citoyens, 616 inscrits au collège des non-citoyens (Archives de Dalaba, ‘Rapport politique 1945’).Google Scholar

⁶⁸ Touré, Sékou, L'action politique du Parti Démocratique de Guinée 1 (Conakry, 1958), 7–12.Google Scholar

⁶⁹ A l'époque le R.D.A. le dénoncera comme provocateur, et rappellera qu'il avait été indicateur de la police à Dakar. Apr`s sa libération du bagne, le P.D.G. l'admettra dans ses rangs et il mourra en 1960 député à 1'Assemblée Nationale guinéenne.Google Scholar

⁷⁰ Renseignements oraux dus à l'obligeance de M. le Général Lansana Diané, actuel ministre de la Défense Nationale de Guinée.Google Scholar

⁷¹ Touré, Sékou, op. cit. 10.Google Scholar

⁷² Archives de Dalaba, ‘Rapport politique 1947’.Google Scholar

⁷³ La Guinée Française, 15 septembre 1951.Google Scholar

⁷⁴ Ibid. 19 octobre 1951.

⁷⁵ Archives de Dalaba, ‘Rapports trimestriels.’Google Scholar

⁷⁶ Touré, Sékou, op. cit. 11.Google Scholar

⁷⁷ Archives de Dalaba, ‘Dossiers des chefs de canton.’Google Scholar

⁷⁸ Il a succédé à son père, Ba Thierno Oumar, le 2 février 1948.Google Scholar

⁷⁹ Archives de Dalaba, ‘Rapports trimestriels, 1950.’Google Scholar

⁸⁰ Ibid. 1^er trimestre 1952.

⁸¹ ‘Rapport du Commandant de cercle de Dalaba, 9 janvier 1955’, Archives de Dalaba.Google Scholar

⁸² Probablement chaque fête religieuse musulmane.Google Scholar

⁸³ Archives de Dalaba, ‘Dossiers des chefs — Plaintes.’Google Scholar

⁸⁴ Archives de Dalaba, ‘Rapports trimestriels, 3^e trimestre 1954.’Google Scholar

⁸⁵ Un étonnant rapport du B.T.L.C. (Service de renseignements du Ministère de la France d'Outre-Mer) communiqué en confidentiel sous le no. 710 APA/BTLC du 13 septembre 1950 explique que la nouvelle base du ‘Kominform’ en Afrique est …’ le Libéria, d'où des armes sont acheminées aux éléments subversifs guinéens par une série de routes … dont l'administrateur de N'Zérékoré doit faire observer qu'elles n'existent pas!’ (Archives N'Zérékoré, Confidentiel — Libéria. Note et réponse du 17 octobre 1950).Google Scholar

⁸⁶ Archives de Kissidougou, Rapports politiques 1955.Google Scholar

⁸⁷ Archives de Kouroussa, Rapport politique 1951.Google Scholar

⁸⁸ Ibid. Rapport politique 1952.

⁸⁹ Le Réveil (Dakar), 4 avril 1949.Google Scholar

⁹⁰ Archives de Macenta, ‘Archives des cantons.’Google Scholar

⁹¹ Ibid.

⁹² L'usage semble avoir été introduit en provenance du Libéria ou de la Sierra Leone, entre 1920 et 1940 (cf. Afrique Noire — L'è.re coloniale, 546). Cf. également Archives de Kissidougou, dossier animisme; un rapport signale que le chef de canton de Doukou (cercle de Gueckédou) est accusé de détenir le ‘Kokozale’ (sic).

⁹³ Archives Nationales de Guinée, ‘Fonds de l'inspection des affaires administratives de Haute Guinée (non classé).’ Cf. sur la même affaire, Rau, E., ‘Le juge et le sorcier’, Annales Africaines (Dakar, 1957), 305–20. Dénoncé par un domestique congédié, Beavogui Wogbo et ses complices furent déférés à la Cour d'Assises en 1953, pour un total de 6 assassinats reconnus de 1942 à 1950.Google Scholar

⁹⁴ Ibid.

⁹⁵ Archives de Kouroussa, Rapport politique 1954.Google Scholar

⁹⁶ Archives de Dalaba, Rapports trimestriels — 2^e trimestre 1953.Google Scholar

⁹⁷ Archives de Dalaba, Rapport du 9 janvier 1955 sur l'état de la chefferie.Google Scholar

⁹⁸ Ibid., 2^e trimestre 1995.

⁹⁹ Ibid. 3^e trimestre 1955.

¹⁰⁰ Archives de Kouroussa, Rapport politique 1956.Google Scholar

¹⁰¹ Archives de Faranah, D., ‘Procés verbal de passation de service,’ 22 décembre 1956.Google Scholar

¹⁰² Ibid.

¹⁰³ Ibid. rapport du 26 mars 1944.

¹⁰⁴ Ibid. P.V. du 22 décembre 1956.

¹⁰⁵ Archives de Macenta, Archives des cantons.Google Scholar

¹⁰⁶ Archives de Macenta, Archives des cantons.Google Scholar

¹⁰⁷ Témoignage oral de M. Mamady Sagno, ancien Maire de N'zérékoré (1959) a propos du cercle de N'zérékoré.Google Scholar

¹⁰⁸ Archives de Dabola, Rapport de passation de services du 31 décembre 1956.Google Scholar

¹⁰⁹ Archives de Dalaba, Rapports trimestriels, 1955–1956.Google Scholar

¹¹⁰ Archives de Dalaba, rapports trimestriels, 1^er trimestre 1956.Google Scholar

¹¹¹ Ibid. 2^e trimestre 1956.

¹¹² Archives Nationales de Guinée, no. 26/CAB du 14 avril 1956.Google Scholar

¹¹³ ‘Je considère que leur solde et indemnités sont des rentes dont us bénéficient sans que le Territoire et le cercle en tirent profit. Je n'hésite pas à dire que Ia chefferie de Mali est une hérésie qui coūte quatre millions par an’ (intervention du Commandant de Cercle de Mali, in Guinée: Prélude à l'indépendance, 44).Google Scholar

¹¹⁴ A titre indicatif, voici quelques extraits de leurs dossiers. Kankalabé: ‘Très bien noté … malgré son ivrognerie et ses “joyeuses soirées”, encouragées par de très hauts fonctionnaires qui ne dédaignent pas d'y participer.’ Plainte (pour assassinat et concussion) classée par ordre du Gouverneur qui admet que les ‘faits sont vraisemblables’ mais qu'il n'y a pas lieu d'y donner, suite. ll donne ordre de classer également la plainte en diffamation déposée contre le dénonciateur, ‘à surveiller’. Licienciéle 31 août 1957. Par lettre du 25 octobre 1957 adressée au Commandant de cercle, il lui demande ‘en tant que citoyen’, en vertu de quel texte la sous-section R.D.A. de Kankalabé représente l'administration et la justice. Sur le chef de Kebali, voir supra, p. 479.Google Scholar

¹¹⁵ Archives de Dalaba, ‘Rapports trimestriels’, note du 4 octobre 1957.Google Scholar

¹¹⁶ Guinée: Prélude à l'Indépendance (compte rendu de la conférence des commandants de Cercle), 23.Google Scholar

¹¹⁷ Ibid. 41.

¹¹⁸ Ibid. 49.

¹¹⁹ Ibid. 35.

¹²⁰ Ibid. 37.

¹²¹ Ibid. 38.

¹²² Ibid. 39.

¹²³ Ibid. 38.

¹²⁴ Ibid. 38.

¹²⁵ Ibid. 38.

¹²⁶ Ibid. 30.

¹²⁷ Ibid. 41.

¹²⁸ Témoignage oral du secrétaire général du P.D.G. de Faranah, 1959.Google Scholar

¹²⁹ On me rappella qu'en 1955, lorsque lea dirigeants du R.D.A. de Macenta furent arrêtés, il osa venir leur apporter en prison 3.000 frs et des mesures de riz.Google Scholar

¹³⁰ Témoignage oral du chef de circonscription Savané Moricandian, 1959.Google Scholar