^{page 185 note 1} Frédéric Siordet: Inter arma caritas. CICR, Genève, 1947.

^{page 187 note 1} Elles signifient, la première, «par l'humanité vers la paix» et, la seconde, « charité entre les armes ».

^{page 188 note 1} Résolution XXV de la XIV^e Conférence internationale de la Croix-Rouge Bruxelles, 1930.

^{page 188 note 2} Résolution XXIV du Conseil des Délégués, Genève, 1963.

^{page 189 note 1} En 1962, lors de la grave crise internationale qui avait éclaté, le CICR avait été sollicité de vérifier que les navires se rendant à Cuba ne transportaient pas de fusées nucléaires. Le CICR y avait souscrit et mis sur pied une équipe de contrôleurs qualifiés. Finalement, la détente politique survint avant que cette équipe entre en fonction. Mais l'acceptation, par le CICR, de cette tâche, qui sortait totalement du cadre de sa mission traditionnelle, avait favorisé cette détente et frappé les esprits. Le CICR avait naturellement subordonné son entrée en jeu au consentement des trois parties directement interessees et il avait reçu, a cet égard, des assurances formelles du Secrétariat général des Nations Unies. Toutefois, plus tard, lors d'une Conférence de la Croix-Rouge, le représentant cubain déclara que son gouvernement n'avait pas été consulté.

^{page 189 note 2} Résolution XX de la XXI^e Conférence internationale, tenue à Istanbul.

^{page 189 note 3} Décision I du Conseil des Délégués de la Croix-Rouge internationale, Bucarest, 1977.

^{page 190 note 1} Le dernier Conseil des délégués a créé une Commission qui veillera à l'application du programme de Belgrade et proposera les mesures propres à réaliser les objectifs découlant de ce programme.

^{page 191 note 1} Cependant, au cours de récents échanges de vues au sein de la Croix-Rouge Internationale, on a souligné que la paix est inséparable de la justice et qu'il ne saurait y avoir de paix véritable là où la personne humaine n'est pas respectée.

^{page 194 note 1} Préface du Bon Samaritain.

^{page 195 note 1} J. Pictet: Les principes de la Croix-Rouge.

^{page 196 note 1} Pour les Sociétés nationales ce sera le plus souvent dans les limites de leur pays. Personne n'attend d'elles qu'elles dispersent leurs ressources aux quatre coins du monde, ainsi que nous le verrons à propos de l'universalité.