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Documents sur l'activité du Comité international de la Croix-Rouge en faveur des civils détenus dans les camps de concentration en Allemagne (1939–1945)

Published online by Cambridge University Press:  19 April 2010

Abstract

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Type
Comité International de la Croix-Rouge
Copyright
Copyright © International Committee of the Red Cross 1946

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References

page 164 note 1 Voir page 188.

page 168 note 1 La Conférence internationale de la Croix-Rouge, qui groupe les représentants de toutes les Sociétés nationales de la Croix-Rouge, du Comité international, de la Ligue des Sociétés de la Croix-Rouge et des Gouvernements, est la plus haute autorité délibérante de la Croix-Rouge. Elle se réunit en principe tous les quatre ans.

page 169 note 1 Rappelons qu'une Conférence diplomatique est une réunion de représentants autorisés des Etats. Elle a pour objet notamment la conclusion ou la revision de conventions internationales.

page 172 note 1 Voir page 189.

page 172 note 1 Les civils ennemis résidant dans un pays occupé mais étrangers à ce pays, tels que, par exemple, les civils de nationalité britannique se trouvant en France occupée, peuvent être rattachés à la première catégorie. Ils furent d'ailleurs traités de la même manière.

page 173 note 1 Voir page 189.

page 173 note 2 Voir page 193.

page 175 note 1 Seul le Gouvernement allemand se déclara prêt à discuter la conclusion d'une convention sur la base du Projet de Tokio (voir page 192).

page 175 note 2 Voir page 200.

page 175 note 3 Voir page 202.

page 176 note 1 Voir page 208.

page 176 note 2 Ces détenus étaient dénommés Schutzhäftlinge par les Autorités allemandes.

page 177 note 1 Voir page 211.

page 177 note 2 Le 9 décembre 1944, le Comité international proposait encore au Ministre des Affaires étrangères du Reich, de même qu'aux autres Gouvernements, la réunion à Genève de représentants plénipotentiaires des Gouvernements intéressés, en vue de l'adoption d'un accord pratique — en application de l'art. 83 de la Convention de Genève — sur tous les problèmes relatifs aux civils en mains de l'ennemi (voir page 235).

page 178 note 1 Souvent des détachements de travail formés de prisonniers de guerre se trouvaient mêlés dans les usines à des détachements venant des camps de concentration.

page 178 note 2 C'est-à-dire Nacht und Nebel, mots signifiant « nuit et brouillard »

page 179 note 1 On sait, en effet, que le Comité international ne dispose pas de moyens financiers propres lui permettant d'entreprendre des actions de secours. Il n'est que l'intermédiaire qui transmet aux bénéficiaires désignés par les donateurs les dons mis à sa disposition par les Gouvernements, les Sociétés nationales de la Croix-Rouge et les organisations privées.

page 183 note 1 Voir page 237.

page 185 note 1 Des rapatriements eurent également lieu via Lubeck et la Suède, soit avec le concours de la Croix-Rouge suédoise soit directement par elle.

page 185 note 2 Voir en troisième partie, les rapports des délégués et page 247 la carte des principaux camps de concentration.

page 187 note 1 Dans ce sens, il a déjà entrepris de rassembler la documentation permettant de développer et de reviser le Projet de Tokio.

page 188 note 1 Seuls ont été supprimés les passages ne se rapportant pas directement à la matière traitée ou jugés d'importance secondaire. Les suppressions sont chaque fois indiquées par des points de suspension.

page 189 note 1 Dans les documents qui suivent, le Comité international de la Croix-Rouge est désigné par l'abréviation : CICR, sauf toutefois dans les textes reproduits in extenso.

page 192 note 1 Par lettre du 30 novembre 1939, le Ministère des Affaires étrangères du Reich confirmait que « du côté allemand, on estimait que le « Projet de Tokio » pourrait servir de base à la conclusion d'un accord international sur le traitement et la protection des civils se trouvant en territoire ennemi ou occupé ».

page 208 note 1 Chef du Département des relations extérieures de la Croix-Rouge allemande.

page 213 note 1 Cette autorisation fut retirée par la suite avant que les visites aient pu avoir lieu.

page 214 note 1 Il convient de préciser qu'en avril 1943 déjà, le représentant de la Croix-Rouge de Norvège à Genève remit au CICR une liste de 250 détenus norvégiens auxquels, à cette époque, des colis furent expédiés de Suède pour le compte du Gouvernement norvégien et par l'entremise de la Croix-Rouge suédoise.

page 216 note 1 Voir page 213.

page 222 note 1 En date du 18 juillet, le Chargé d'affaires de Hongrie donna certaines assurances relatives au sort des Juifs en Hongrie. Il déclara notamment que les déportations d'Israélites en Allemagne avaient été suspendues et que le Gouvernement hongrois autorisait le CICR à distribuer des secours à tous les Israélites se trouvant dans les ghettos et dans les camps.

page 222 note 2 Le CICR ne peut rendre compte ici de l'activité de secours qu'il déploya en faveur des Israélites, notamment en Hongrie et en Roumanie. Il se réserve de le faire éventuellement dans une publication spéciale.

page 229 note 1 Le Comité international de la Croix-Rouge rappelle ici qu'en ce qui concerne les internés civils proprement dits, il a pu obtenir par la suite, de la plupart des belligérants qu'ils acceptent d'accorder à ces internés un traitement analogue à celui que prévoit, pour les prisonniers de guerre, la Convention de Genève de 1929.

page 232 note 1 Il s'agit là d'un rapport de caractère interne et limité, pris parmi d'autres du même genre. Toutefois, vu son intérêt, il a été reproduit à titre d'exemple.

page 243 note 1 L'entrevue du Président du CICR avec le général Kaltenbrunner avait eu lieu le 12 mars 1945. Commentant cette entrevue et les accords qui en résultèrent devant les délégués des Croix-Rouges intéressées et les représentants de diverses organisations, le 26 mars 1945, le Président du CICR déclarait notamment :

« La question des prisonniers de guerre, détenus et internés civils a fait l'objet de ces entretiens, et on peut parler dès maintenant de résultats acquis. Le CICR ne pouvait jusqu'alors visiter les camps de détenus civils. Les quelques visites des délégués du CICR eurent lieu dans la Périphérie des camps. Elles étaient restreintes aux seuls contacts avec les commandants de camps. Lors des récentes conversations, par contre, il a été prévu que des délégués pourraient être envoyés dans les camps, à la condition qu'ils y restent jusqu'à la fin des hostilités. »

Des pourparlers entre les représentants du CICR et les représentants des Autorités allemandes sur les modalités d'application des accords Burckhardt-Kaltenbrunner eurent lieu le 10 avril à Constance et le 24 avril à Innsbruck.

page 243 note 2 Le CICR ne reproduit ici que les passages relatifs aux diverses catégories de détenus civils.