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D'Argenson et la question sociale
Published online by Cambridge University Press: 18 December 2008
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In 1789, d'Argenson (1771–1842) who was a grandson of one of the ministers of Louis XV, embraced the new ideas. For a considerable time he held himself aloof from public life, while conscientiously managing hisextensive estates. All the same he was a “prefét” unter Napoleon. It is only with the Restauration, however, that he started out on his political career. Elected a deputy, he was a member of the leftist opposition, though paying far more attention than his faction to social questions, and particularly to the lot of the peasants whom he had come to know very well. In 1824 he announced the birth of a new science, viz. “the Science of Social Justice”, which was to correct the evils of inequality.
The revolution of 1830 fired him with passionate ardour in the defence of his ideas. He was encouraged, moreover, through his intimate connection with the aged Buonarotti, a friend of Babeuf's.
D'Argenson published a brochure of a revolutionary character entitled Boutades d'un riche à sentiments populaires, and defended this before the jury—by which he was acquitted—and before the Chamber. As he was not re-elected in 1834, he retired to his properties, remaining true to the socialist doctrines, however, up to the end of his life.
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- Copyright © Internationaal Instituut voor Sociale Geschiedenis 1938
References
Page 161 note 1) La meilleure biographie de celui-ci est la longue notice anonyme, rédigée par son fils, qui se trouve en téte de l'ouvrage publié en 1845, Discours et Opinions de Voyer d'Argenson (Paris, 2 vol. in-8). Je désignerai cet ouvrage par le seul mot d'Argenson.Google Scholar
Page 162 note 1) Broglie, , (due de) Souvenirs, 1886, t. I, p. 100–102.Google Scholar
Page 163 note 1) Lanzac, de Laborie, La domination francaise en Belgique, t. II, 1895, p. 151 et 270 sqq. Ajoutons en passant que le jury de Bruxelles acquitta Werbrouck; Napoléon usa de la complaisance du Sénat pour faire casser le verdict par un sénatus-consulte en 1813, apres quoi le Sénat trouva lá un motif en 1814 pour justifier la déchéance de Napoléon.Google Scholar
Page 163 note 2) D'Argenson, t. I, p. 258.Google Scholar
Page 163 note 3) D'Argenson, t. I, p. 296 et 467.Google Scholar
Page 163 note 4) Ibid., p. 397–401, 506.
Page 163 note 5) Moniteur Universel, 26 juillet 1822. Sur Beauséjour, v. RéVeillaud, Histoire des départements de la Charente et de la Charente-Inférieure, 1911, p. 586.Google Scholar
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Page 165 note 1) D'Argenson, t. II, p. 10–11.Google Scholar
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Page 167 note 1) V. d'Argenson, t. II, p. 351. Le député du Bas-Rhin fit paraltre aussi une traduction allemande: Unwille eines von Volks Thumlichen Geist beseelten Reichen (Bib. Nationale, Lb.51 1925).Google Scholar
Page 167 note 2) A la môme époque, d'aprés un rapport de police, d'Argenson invitait la Société des Droits de l'homme á soutenir les gréves des ouvriers parisiens et a préparer fa formation d'une sorte de C. G. T. ( Gabriel, Perreux, Au temps des Sociétés secrétes, 1930. p. 296, sqq.).Google Scholar
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Page 168 note 2) Sur, cette vie, Georges Weill dans, v. Revue Historique, 1901 et 1905. –Romano- Catania, Filippo Buonarroti, 2e édit., 1902. –Robiquet, Buonarroti et la secte des Egaux, 1910. – Pia Onnis dans Rivista storica italiana, 1937.Google Scholar
Page 169 note 1) Ces portraits ont été reproduits par Madeleine Rousseau dans Revue des Etudes italiennes, 1938.Google Scholar
Page 169 note 2) Buonarroti's history of Babeuf's conspiracy for equality… Translated from the' French language – by Bronterre. Londres, 1836 (p. 429).Google Scholar
Page 169 note 3) On peut voir encore aujourd'hui cette tombe au cimetiére Montmartre. La colonne qui la surmonte porte un petit médaillon en bronze; c'est le portrait de Buonarroti avec son nom gravé.
Page 169 note 5) National, 5 août 1842.Google Scholar