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Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
Trypanosoma congolense and T. simiae have been the two recognized species within the subgenus Nannomonas. T. congolense is pathogenic to cattle and the small ruminants but not to pigs, while T. simiae causesdisease only in plgs. The two species are difficult to distinguish from each other because both share the same developmental cycle in the tsetse and are broadly similar morphologically. However, their isoenzyme and DNA characteristics are quite different. Even more confusing is the fact that T. congolense itself is composed of a number of “strains”, or types; historically the different types of T. congolense were often considered as separate species by different workers.
Now isoenzyme and DNA charaterizatlon show that T. congolense is composed of at least three different types, which are probably equivalent to subspecies. Furthermore, evidence for another species within the subgenus Nannomonas has come recently from isolates from tsetse midguts in The Gambia.
Specific DNA probes have now been produced for the different kinds of Nannomonas. With these, it is now possible to identify the different infections from midgut dissections of wild tsetse. This should now facilitate an elaboratestudy to determine the distribution and prevalence of the different types across Africa, their association with the different species of tsetse, and the significance of each in the causation of disease in domestic livestock. The information gained will also help clarify the taxonomic status of each type within the subgenus.
Trypanosoma congolense et T. simiae ont été les deux espèces identifiées à partir du sous genre Nannomonas. T.congolense est pathogène pour les bovins et les petits ruminants mais non pour les pores. En ce qui concerne T. simiae, il est uniquement pathogène pour les pores.
Il est difficile de différencier ces deux espèces l'une par rapport à l'autre car leurs cycles de développement dans la glossine sont identiques. De plus leurs morphologies sont très proches. Cependant les isoenzymeset I'ADN qui les caractérisent permettent de les distinguer. Toutefois le fait qu'ilexiste différentessouches de T. congolense, rend la différentiation plus delicate. Dans le passé, lesdifférentes “souches” de T. congolense étalent souvent considérés comme des espèces différentes par les chercheurs.
Maintenant, gràce aux caractéristiques des isoenzymes et de l'ADN que possède T. congolense, on peut demontrer qu'il est composé de au moins trois différents types qui sont probablement èquivalents à des sous espèces. De plus une autre espèce du sous genre Nannomonas a été récemment isolée des intestins moyens de glossines au Gambie.
Des sondes d'ADN spéciflques ont été realisé pour les différentes sortes de Nannomonas. Avec ces résultats, il est maintenant possible d'identifier les différentes infections gràce aux dissections des intestins moyens des glossines sauvages. Ceci devrait faciliter l'élaboration d'une étude sur la répartition et la fréquence des différents types de Nannomonas sur le continent africain, leurs associations avec les différentes espèces de glossines, ainsi que l'importance de chaque combinaison (espèce de mouche avec le type de Nannomonas) en ce qui concerne les maladies des animaux domestiques. Les informations nouvelles aideront aussi à clarifier le statut taxonomique de chaque type dans le sous genre Nannomonas.