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Structures Et Littérature

Published online by Cambridge University Press:  28 July 2009

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Abstract

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Notes Critiques
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Copyright © Archives Européenes de Sociology 1973

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References

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(4) Granger, , op. cit. p. 254Google Scholar.

(5) Piaget, , op. cit. pp. 67Google Scholar.

(6) Ibid. p. 53.

(7) Boudon, op. cit. passim.

(8) Ibid. p. 79.

(9) Ibid. p. 90.

(10) Boudon, , op. cit. p. 213Google Scholar.

(11) Furet, op. cit.

(12) Barthes, , L'activité structuraliste, in Essais critiques, op. cit. pp. 213214Google Scholar.

(13) Ibid. p. 214.

(14) Genette, op. cit.

(15) Cf. Sur la méthode critique de Barthes, R., La linguistique (1969) 2, 141154Google Scholar.

(16) Richard, J. P., L'univers imaginaire de Mallarmé (Paris, Le Seuil, 1961), pp. 1516Google Scholar: «Nous aurons à montrer à quel point la notion de structure obséde son intelligence et sa rêverie […] Voici définie une parfaite méthode de lecture: remplaçons la danseuse par Mallarmé lui-même, substituons au texte chorégraphique les figures verbales d'un poéme, et nous aurons trouvé le moyen le plus commode d'entrer dans son univers tout en restant fidèle à sa leçon». Cf. p. 22: «A cette poésie, de nature essentiellement réticulaire, et que gouverne une imagination tout obsédée de liaisons et de structures, nous pouvons done appliquer l'exquise description que Mallarmé nous a donnée de cette autre réalité arachnéenne: une langue».

(17) Ibid. p. 415.

(18) Richard, , op. cit. p. 26Google Scholar: «A l'intérieur de ce système actif, les thèmes auront tendance à s'organiser comme dans toutes les structures vivantes: ils se combineront en des ensembles souples dominés par la loi d'isomorphisme et par la recherche du meilleur équilibre possible. Cette notion d'équilibre, née d'abord dans les sciences physiques, mais resudont Cl. Lévi-Strauss et J.Piaget ont montré l'extrême importance en sociologie et en psychologie, nous paraît pouvoir être utilisée avec fruit dans la compréhension des domaines imaginaires. On peut y voir en effet les thèmes s'arranger en couples antithétiques, ou, de manière plus complexe, en systèmes multiples compensés. Dans sa rêverie de l'idée, par exemple, Mallarmé nous a paru osciller entre un vœu d'ouverture (l'idée éclatée, vaporisée en suggestion ou en silence) et un besoin de clôture (l'idée sommée, résumée en un contour et une définition)».

(19) Rousset, J., op. cit. p. XIGoogle Scholar. Nous soulignons la présence du mot structure dans le titre.

(20) Dilthey, W., Origine et développement de l'herméneutique. Compléments tirés des manuscrits, in Le Monde de l'esprit (Paris, Aubier, 1947), t. I, p. 334Google Scholar.

(21) Todorov, T., Introduction à la littérature fantastique (Paris, Le Seuil, 1970), p. 8Google Scholar.

(22) Ibid. p. 26.

(23) Hérault, D., Éléments de théeorie moderne des probabilitées (Paris, Dunod [Cours du Centre de linguistique quantitative], 1967), p. 78Google Scholar.

(24) Popper, Karl, Conjectures and Refutations3 (London, Routledge and Kegan Paul, 1969), p. 37Google Scholar: «One can sum up all this by saying that the criterion of the status of a theory is its falsificability, or refutability, or testability». C'est la thèse qu'établit avec précision The Logic of Scientific Discovery.

(25) Todorov, , op. cit. p. 27Google Scholar.

(26) Ibid. p. 8.

(27) Ibid. p. 21.

(28) Ibid. p. 21.

(29) Popper, , Conjectures…, op. cit. p. 37Google Scholar: “Astrology did not pass the test. Astrologers were greatly impressed and misled by what they believed to be confirming evidence—so much that they were quite unimpressed by any unfavourable evidence. Moreover, by making their interpretations and prophecies sufficiently vague they were able to explain away anything that might have been a refutation of the theory had the theory and the prophecies been more precise. In order to escape falsification they destroyed the testability of their theory. It is a typical soothsayer's trick to predict things so vaguely that the predictions can hardly fail: that they become irrefutable”.

(30) Todorov, , op. cit. p. 126Google Scholar. Il y a beaucoup plus à apprendre sur la littérature fantastique dans la thèse de Vax, L., La séduction de l'étrange (Paris, P.U.F., 1968)Google Scholar qui n'est curieusement pas mentionnée dans la bibliographie de Todorov (seul est mentionné le «Que sais-je ?» de Vax, qui est loin de remplacer sa thèse).

(31) Todorov, , op. cit. p. 25Google Scholar.

(32) Genette, , op. cit. p. 149Google Scholar.

(33) Sollers, Ph., La science de Lautréamont, Critique, XXII (1967), 794795Google Scholar.

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(35) Ruwet, , ses deux articles cités; aussi: Sur un vers de Charles Baudelaire, Linguisties [(1965) 17, 6977Google Scholar; Limites de l'analyse linguistique en poétique, Langages (1968), 12, 5670Google Scholar.

(36) Jakobson, R., Linguistique et poétique, in Essais de linguistique générale (Paris, Ed. de Minuit, 1963), p. 220Google Scholar.

(37) Ruwet, , Limites de l'analyse linguistique en poéetique, op. cit. p. 61Google Scholar: «Nous ne possédons, jusqu'à présent, aucun critère sûr qui nous permette de choisir parmi la multitude des équivalences possibles, celles qui sont réellement pertinentes, dans tel poéme, chez tel auteur, dans tel ou tel style. Dés que l'on essaie de dégager des rapports d'équivalence, dans un sonnet par exemple, on en découvre une multitude, allant de certaines qui sont évidentes, massives (comme les équivalences codifiées, obligatique, toires, du type de celles données par les rimes), à d'autres qui sont pratiquement imperceptibles».

(38) Mounin, G., De la lecture à la linguistique, in La communication poétique précédée de Avez-vous lu Char? (Paris, Gallimard, 1968), p. 23Google Scholar.

(39) Jakobson, , op. cit. p. 220Google Scholar.

(40) Ruwet, , Limites… p. 58Google Scholar.

(41) Il est permis de penser que les problèmes de méthode en poétique n'ont guère fait de progrès vers la clartè depuis les admiprecedee rabies analyses de Estève, C. L., si peu connues, rèunies dans le recueil Études philosophiques sur l'expression littèraire (Paris, Vrin, 1939)Google Scholar.

(42) Ruwet, , Limites… op. cit. p. 57Google Scholar.

(43) Benvéniste, E., Les niveaux de l'analyse linguistique, in Problèmes de linguistique générale (Paris, Gallimard, 1966), p. 131Google Scholar.

(44) Harris, Zellig S., Discourse Analysis, Language, XXVIII (1952), 130CrossRefGoogle Scholar; trad. fr. de Dubois-Charlier, F. in Langages (1969) 13, 845Google Scholar; cf. Discourse Analysis Reprints (La Haye, Mouton, 1963)Google Scholar. Comme le reconnaîit Harris (Langages p. 43): «Le tableau à double entré du slogan ne présente pas grand intérêt en lui-même»; en effet, comme le montre le résultat, Harris aboutit à la répartition en deux classes d'équivalence P et W qui sont respectivement les groupes nominaux sujets et les groupes verbaux. Cf. l'analyse esquissée par Ruwet, , Introduction à la grammaire générative (Paris, Plon, 1967), pp. 233236Google Scholar.

(45) Barthes, , Introduction à l'analyse structurale des récits, op. cit. p. 3Google Scholar.

(46) Todorov, , Poétique, in Qu'est-ce que le structuralisme? (Paris, Seuil, 1968), p. 108Google Scholar.

(47) Ibid. p. 110.

(48) Ibid. p. 116: «Cette énumération des registres de la parole ne peut se prétendre exhaustive: son but est de donner une image de leur variété, mise en œuvre dans le livre de fiction. Elle ne présente pas non plus un système coherént et logique: pour atteindre un tel résultat, il faudra de nombreuses recherches se fondant sur les connaissances que nous fournit la linguistique». Pourquoi, dans ce cas, parler de structuralisme, de structure, de rigueur et de science?

(49) Barthes, , Introduction à l'analyse structurale…, op. cit. pp. 127Google Scholar.

(50) Ibid. p. 3.

(51) Ibid. p. 4.

(52) Ingarden, R., Das literarische Kunstwerk (Tübingen, Max Niemeyer, 1965), p. 395Google Scholar: «Wir haben im Laufe unserer Untersuchungen öffers auf die Wertqualitäten hingewiesen, die sich in den einzelnen Schichten des literarischen Werkes konstituiren und in ihrer Gesamtheit zu einer polyphonen Harmonie fülhren».

(53) Selon les mots de Todorov, (Les caté gories du récit littéraire, Communications (1966) 8, pp. 138147)CrossRefGoogle Scholar, chacun de ces termes recouvre d'ailleurs des réalités ellesmêmes hétérogènes et difficiles à cerner.

(54) Barthes, , Introduction… op. cit. pp. 615Google Scholar.

(55) Ibid. p. 125. Comme tout peut être interesmis en corrélation avec tout, comment choisir? La position du problème interdit toute solution rigoureuse pour les mêmes raisons que dans le cas de la poétique structurale. Nous n'entrerons pas ici dans la discussion du sens que pourrait avoir une telle formule pour Tynianov, J. (De l'évolution littéraire, in Theéorie de la littérature, textes choisis, présentés et traduits par Todorov (Paris, Le Seuil, 1965), p. 123)Google Scholar; nous nous intéressons seulement à sa validité opeératoire hors contexte.

(56) Cf. Tomachevski, B., Thématique, in Théorie de la littérature, op. cit. pp. 268270Google Scholar.

(57) Barthes, , Introduction… p. 9Google Scholar.

(58) Ibid. p. 8.

(59) Boudon, op. cit. p. 229.