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« Que cent chants rivalisent, qu'une musique éclose »: Étude sur le traditionalisme d'État en Chine
Published online by Cambridge University Press: 28 July 2009
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Les affaires musicales ont été, en Chine ancienne, plus qu'une simple expression artistique destinée à amuser. Liée aux rites, la Musique présidait au bon fonctionnement du gouvernement et engageait la personne impériale.
- Type
- Research Article
- Information
- European Journal of Sociology / Archives Européennes de Sociologie , Volume 31 , Issue 1 , June 1990 , pp. 60 - 80
- Copyright
- Copyright © Archives Européenes de Sociology 1990
References
(1) Discutant de la musique dans la Chine ancienne, nous avons utilisé le M majuscule pour rendre attentif le lecteur au fait qu'il s'agit alors de musique combinée à la danse et à la poésie.
(2) Nous adoptons le système pīnyīn pour la transcription du chinois.
(3) Toutes les traductions du présent article sont de nous, sauf indication contraire.
(4) NDT : Nous n'avons pas traduit le texte de la chanson, car l'original se rattache au genre de la comptine et comporte beaucoup d'onomatopées. La nouvelle version est dans le pur style « Gloire à l'édification socialiste et vive la lutte des classes ». Il nous a semblé plus intéressant de traduire les explications données sur l'adaptation mélodique que celles portant sur les modifications du texte de la chanson.
(5) NDT : La transcription de la nouvelle version n'est pas donnée complètement dans le texte original.
(6) NDT :Il s'agit d'un opéra révolutionnaire dont le livret a été écrit en 1945 par Lǔ Xùn, et la musique composée en 1952.
(7) NDT : Nous n'avons pas transcrit la musique de la nouvelle version, car la mélodie originale n'est pas donnée.
(8) Levenson, Contra J. R., Confucian China and the Modern Fate (London, Routledge and Kegan Paul, 1965), III, p. 72.Google Scholar
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- Cited by