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XXII.—Astéries, Ophiures et Échinides de l'Expédition Antarctique Nationale Écossaise
Published online by Cambridge University Press: 06 July 2012
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La collection d'Astéries, d'Ophiures et d'Échinides, dont M. le Dr. William S. Bruce a bien voulu me confier l'étude, comprend surtout les échantillons recueillis par l'Expédition de la Scotia lors de son séjour dans l'Antarctique et quelques autres provenant des îles Falkland, du banc de Burdwood et de l'île Gough, ou de dragages effectués entre le 46° et le 51° lat. S. M. Bruce y a joint quelques spécimens capturés pendant le voyage de retour de la Scotia, au Cap, à Sainte-Hélène, à l'Ascension et à Saint-Vincent.
- Type
- Research Article
- Information
- Earth and Environmental Science Transactions of The Royal Society of Edinburgh , Volume 46 , Issue 3 , 1909 , pp. 529 - 649
- Copyright
- Copyright © Royal Society of Edinburgh 1909
References
page 580 note * Cette gaine n'a pas été représentée sur les fig. 54, 55 et 56 faites d'après des échantillons desséchés.
page 615 note * Pendant l'impression de mon mémoire, j'ai reçu l'important travail Clark, de L. sur les Cidaridæ (Bull. Mus. Cornp. Zool., vol. li., 1907, p. 7).Google Scholar Cet auteur range les deux St. canaliculata et nutrix, ainsi que Sterocidaris Mortenseni cité ci-dessous, dans un nouveau genre auquel il donne le nom d'Austrocidaris et qui est caractérisé par le petit nombre de tubercules qu'offre le système apical, la forme des piquants secondaires, etc. J'ai pu constater que, par la disposition des zones ambulacraires et interambulacraires, les exemplaires de la Scotia appartenaient au St. (Austrocidaris) canaliculata tel que l'entend L. Clark.
page 616 note * Dans son travail sur les Cidaridæ, L. Clark range le Stereocidaris Mortenseni dans son nouveau genre Austrocidaris, mais avec quelque doute, parce qu'il ne oonnait pas la forme des piquants secondaires. Or, ainsi que je l'ai dit plus haut, ces piquants sont cylindriques et très légèrement renflés vers l'éxtrémite; l'espèce peut donc parfaitement rentrer dans le genre Austrocidaris.
page 627 note * Pendant l'impression de mon mémoire, j'ai reçu le beau travail de Mortensen sur les Échinides de l'Ingolf, part ii., 1907, et je regrette bien de n'avoir pas pu en profiter pour la redaction de mes Échinides. Mortensen a etudieé la Pourtalesia carinata et j'ai remarqué qu'il était arrivé, dans son étude des pédicellaires et ses comparaisons avec les dessins d'Agassiz, à des résultats très voisins des miens. Toutefois, je n'ai pas décrit, ainsi qu'on l'a vu plus haut, les pédicellaires rostrés; après la réception du mémoire de Mortensen, je les ai cherchés à nouveau et avec le plus grand soin, sans pouvoir les découvrir. Le savant naturaliste danois, auquel j'ai écrit à ce sujet, m'a dit que ces pédicellaires ne se rencontraient effectivement pas sur tous les échantillons, et ceci explique mon insuccès.
En ce qui concerne la structure du test, j'ai dit plus haut que la crainte de détériorer un échantillon unique m'avait empêché de l'examiner de près. Après avoir lu ce que Mortensen écrivait sur la face ventrale, j'ai revu mon exemplaire et je crois pouvoir confirmer ce que mon savant ami a décrit. Malheureusement, l'état de la face ventrale ne m'a pas permis de suivre tous les contours des plaques, surtout dans la région mé'diane où se trouve un gros trou, dont la présence offre en outre l'inconvénient de diminuer beaucoup la solidité du test.
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- Cited by