Hostname: page-component-586b7cd67f-t8hqh Total loading time: 0 Render date: 2024-11-26T08:59:59.311Z Has data issue: false hasContentIssue false

La réalité de l'apparence/l'apparence de la réalité1

Published online by Cambridge University Press:  05 May 2010

Luc Brisson
Affiliation:
CNRS, Paris

Extract

Comme Yvon Lafrance l'indique dans les deux premières lignes de son introduction: « Il n'existe aucune étude en français sur la théorie platonicienne de la doxa ». En ce domaine, la recherche a été Presque exclusivement le fait de platonisants allemands (cités 11–12, n. 1). D'où l'importance du livre de Yvon Lafrance, qui renouvelle la problématique sur la doxa en la situant dans un contexte intellectuel tout à fait original, celui d'un Français d'Amérique du Nord qui, dans ses recherches sur Platon, tient compte à la fois du courant analytique anglo-saxon, dont l'importance quantitative et qualitative n'a cessé de croître depuis les années cinquante, et du courant historique « continental », allemand et français surtout.

Type
Critical Notices/Etudes critiques
Copyright
Copyright © Canadian Philosophical Association 1983

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

2 Lafrance, Yvon, « Autour de Platon: continentaux et analystes », Dionysius 3 (1979), 1737Google Scholar.

3 Lafrance, Yvon, « La problématique morale de l'opinion dans le Gorgias de Platon », Revue philosophique de Louvain 67 (1979), 529CrossRefGoogle Scholar.

4 Lafrance, Yvon, « Platon et la géométrie: la méthode dialectique en République 509 d-511 e », Dialogue 19 (1980), 4693CrossRefGoogle Scholar.

5 Sur l'opposition discours du grand nombre/discours du philosophe en Grèce ancienne, un ouvrage important vient de paraître: Voigtländer, Hanns-Dieter, Der Philosoph und die Vielen: Die Bedeutung des Gegensatzes der unphilosophischen Menge zu den Philosophen (und das Problem des Argumentum e consensu omnium) in philosophischen Denken der Griechen bis auf Aristoteles (Wiesbaden: Fr. Steiner, 1980), xvi, 698Google Scholar p. (sur Platon, 133–416).