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Published online by Cambridge University Press: 05 May 2010
Pour Répondre à la question qui constitue le titre de cet essai, il faut d'abord répondre à une autre question, à savoir: qu'est-ce que la philosophie de la nature? De quoi parlons-nous au juste quand nous parlons de philosophie de la nature?
1 Editions du Seuil, 1970.
2 Cambridge University Press, 1919, p. VII.
3 Whitehead, Alfred North, The Concept of Nature, Cambridge University Press, 1920, p. 3–4, 185Google Scholar.
4 Process and Reality. An essay in cosmology, MacMillan, , 1929Google Scholar.
5 Bergson, Henri, L'évolution créatrice, 118e edition, Bibliotheque de Philosophie Contemporaine, P.U.F., 1966Google Scholar.
6 Bergson, Henri, Matiére et mémoire, 60e édition, Bibliotheque de Philosophie Contemporaine, P.U.F., 1959Google Scholar.
7 Monod, Jacques, Le hasard et la nécessité, Editions du Seuil, 1970, p. 11Google Scholar.
8 Ibid., p. 12.
9 Voir l'introduction du Précis de l' Encyclopédie des sciences philosophiques, surtout les nos 6 à 12 inclusivement; et aussi l'introduction particuliére de la Philosophie de la nature, qui constitue la seconde partie de l'ouvrage précédemment mentionné, nos 245 à 251.
10 Bachelard, Gaston, Le pluralisme cohérent de la chimie moderne, 2e edition, Vrin, 1973, p. 72Google Scholar.
11 Ibid.
12 Ibid., p. 24.
13 Ibid., p. 9.
14 Ibid., p. 8–9.
15 Id., La continuité et la multiplicité temporelles in Bulletin de la Société française de philosophic, 1937, p. 61–63, cité par Daujat, Jean, dans Physique moderne et philosophie traditionnelle, Desclée, 1959, p. 62Google Scholar.
16 l'atomisme, Sur, voir le Systéme de politique positive, Georges Cres et Cie, 1912, I, p. 520–21Google Scholar etle Cours dephilosophie positive, Schleicher, , 1907, 58e leçon, p. 455–456Google Scholar; et sur la psychologie, le Cours de philosophie positive, iéreleÇon, II, p. 18–20; 45e leçon, III, p. 408, 410–411.
17 Hegel, G.W.F., Précis de I'encyclopédie des sciences philosophiques, traduction Gibelin, de J., 2e edition, Vrin, 1967, He partie, p. 139, no. 249Google Scholar.
18 Aristote, , Physique, Iv, II, 218b 21–220a 26Google Scholar.
19 Ibid., IV, 7, 2i3b 30–217b 29.
20 Ibid., IV, 4, 212a 20–21.
21 Ibid., IV, 4,211b 15–25.
22 Ibid., IV, II, 218b 21–34.
23 Ibid., 218b 15–20, et 12, 220b 1–5. Aristote ne semble pas s'intéresser à un autre aspect de la relativité psychologique du temps, à savoir qu'il nous semble plus lent ou plus rapide, plus long ou plus court, selon que les événements qui se produisent, ou les occupations auxquelles nous nous livrons, nous semblent ennuyeuses ou pénibles, ou bien au contraire interéssantes et agréables.
24 Aristote, , Métaphysique, I, 1–2, 1003a 20–b 23; δ, 7, 1017a 6–b 9; E, 2, 1025b 33–10273 28.Google Scholar
25 Aubenque, Pierre, Le probléme de l'etre chez Aristote, P.U.F., 1962, p. 136, note 2Google Scholar.
26 Québec-Science, vol. 14, no 4, décembre 1975, p. 44–45.
27 Scheffler, Israël, Anatomie de la science, «Science ouverte», Editions du Seuil, 1966Google Scholar.
28 Ibid., p. 11–12.
